Faire taire à tout prix le camp patriote
En septembre 2019, le discours d'Eric Zemmour, prononcé lors de la convention de la droite et diffusé en direct sur la chaîne LCI, avait suscité l'émoi, voire l'effroi, ses propos ayant été qualifiés de « xénophobes et islamophobes ». Un certain nombre de journalistes – déjà – s'étaient scandalisés et avaient lancé l'hallali contre lui. Cela avait conduit le parquet de Paris à ouvrir une enquête pour « injures publiques en raison de l’origine ou de l’appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée » et « provocation publique à la discrimination, la haine ou la violence ».
Alors qu'il avait été condamné en première instance, la Cour d'appel de Paris vient – le 8 septembre 2021 – d'annuler sa condamnation et de prononcer sa relaxe. Cet arrêt de la Cour d'appel est plus important qu'on pourrait le croire, car si la condamnation de première instance pour avoir tenu des propos anti-islam et anti-immigration avait été confirmée c'est la liberté d'expression, principe garanti par notre Constitution, qui aurait été attaquée, condamnée et baillonée. La signification d'un tel arrêt aurait été lourde de conséquence puisqu'il aurait été dès lors interdit, donc impossible, de critiquer tout sujet qui touche à l'islam ou à l'immigration. On ne peut donc que se réjouir de l'arrêt – sage – rendu par la Cour d'appel.
Cette décision a – on le comprend – estomaqué non seulement les associations antiracistes qui s'étaient constituées parties civiles mais également et surtout toute cette frange médiatique bien-pensante et soumise au politiquement correct et à cette pathologie qui habite tous les déconstructeurs et les fossoyeurs de la France et de la nation. Alors, passé le premier moment de sidération, tout ce corpus anti-national, porté par la haine de soi et de ceux qui osent aimer la France et se soucient de la pérennité et de la continuité historique de son peuple, vexé et offensé par cette décision de la Cour d'appel a, de nouveau, lancé l'hallali contre Eric Zemmour.
C'est ainsi que le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), sous pression probable de l'Elysée, par sa décision inique et illégale rendue le même jour que l'annonce de l'arrêt de la Cour d'appel, a contraint la chaîne CNEWs et Eric Zemmour, le 13 septembre, à ne pas pouvoir continuer l'émission qu'ils faisaient ensemble, alors que ce dernier est journaliste politique, polémiste, essayiste. Son seul tort, être de droite, critiquer l'islam et l'immigration et dénoncer leurs conséquences désastreuses sur notre société et son avenir.
D'autres ont également participé très activement à l'hallali dans une émission de France Télévisions le 11 septembre en fin de soirée, programmée quelques jours avant la publication du dernier ouvrage d'Eric Zemmour, mais une opération cependant concertée dont le but, à écouter les deux animateurs-inquisiteurs de l'émission « On est en direct » (OEED), était de lui faire dire qu'il est candidat à l'élection présidentielle pour justifier les propos tenu par le CSA. Non seulement ces deux animateurs n'ont pas réussi à obtenir l'annonce de sa candidature mais ils ont été vexés, peut-être même se sont-ils sentis humiliés et dépassés malgré leurs invectives par un contradicteur posé et calme, ne reculant devant aucune question, bref, au sommet de son art. C'est tellement vrai, que la vidéo de cette émission ayant atteint en quelques heures près de 500 000 vues sur You Tube a été bloquée et n'est plus accessible. C'est dire l'affolement et la panique qui règne dorénavant au moins au sein des instances médiatiques et politiques et leurs tentatives de déstabilisation deviennent contre-productives.
Enfin, le 14 septembre, le parquet général décide de se pourvoir en cassation. Un tel acharnement ne démontre-t-il pas la volonté manifeste d'étouffer toute contestation de la marche forcée engagée par les déconstructeurs et les destructeurs de la nation ?
Ce nouvel épisode s'est déroulé en à peine quelques jours, entre le 9 et le 14 septembre. Il s'inscrit dans la tentative générale de déstabilisation et de décrédibilisation engagée depuis longtemps par les progressistes et les mondialistes contre le camp patriote qu'il faut faire taire et pourrait constituer, à sept mois de l'élection présidentielle, un point de bascule dans l'opinion publique si on analyse les tout derniers sondages et l'attractivité que suscite une candidature d'Eric Zemmour. Mais après une vingtaine de mois marqués par une gestion de la crise sanitaire qui n'en finit pas, il est essentiel pour le pouvoir politique qu'il en soit ainsi jusqu'au début de l'année 2022 afin de maintenir sa pression par la peur et occulter ainsi les vrais sujets qui devraient être traités. Il est temps que les Français se réveillent et prennent conscience des vrais dangers qui les menacent !
Ces dangers sont ceux que dénonce, avec d'autres, Eric Zemmour et qui ont été déjà non seulement ignorés mais sciemment et volontairement occultés par l'organisation du sabotage de l'élection présidentielle de 2017 qui s'est traduit par un véritable hold-up démocratique, chacun s'en souvient. Pourtant les problèmes de l'immigration et de l'islamisation étaient déjà pressants. Cinq ans ont été perdus d'autant plus que le quinquennat précédent (2012-2017) s'est révélé être, dans ce domaine essentiel, un quinquennat pour rien ! Que de renoncements et de lâcheté de la classe politique et en particulier de ceux qui nous ont gouvernés et de ceux qui nous gouvernent aujourd'hui !
C'est pourquoi les thématiques liées à l'immigration et à l'islamisation doivent impérativement être placées au centre du débat de l'élection présidentielle de 2022. C'est précisément ce que ne veulent pas nos dirigeants qui ont oublié ce que sont le bien commun et l'intérêt de l'Etat et de la nation. Ils vont tenter, en se servant de la crise sanitaire, de verrouiller le débat, voire de réitérer le sabotage de l'élection à venir. S'ils réussissent, la seule perspective pour la France et la nation sera le chaos. C'est donc notre droit légitime et notre devoir de les faire échouer. Car si on ne règle pas en priorité ces sujets, aucun programme politique – quel qu'il soit – ne pourra être appliqué avec efficacité et surtout donner aux Français de l'espoir et un avenir.
Alors, devant toutes ces manœuvres ignobles manifestées par les progressistes et d'autres contre Eric Zemmour parce qu'il ose dénoncer avec courage cette dérive qui conduit au drame et ose dire la vérité, je salue son engagement pour la défense de notre identité. Je l'assure de mon entière solidarité et de mon total soutien dans l'épreuve injuste et violente qui lui est imposée aujourd'hui et dans ce combat qui nous est commun et qui doit mobiliser aujourd'hui tous ceux qui aiment la France et qui veulent rester fidèles – c'est leur droit le plus légitime que nul ne peut leur contester – à son héritage historique, spirituel et culturel. La rançon de notre engagement et de notre mobilisation contre la soumission nous vaut d'être catalogués à l'extrême-droite par tous les fossoyeurs de notre France chérie, alors qu'en réalité ce sont eux les extrémistes car ils participent à la destruction de la nation. N'est-ce pas la trahir que de la laisser sciemment se fracturer et ne rien faire ? Mais poser la question, n'est-ce pas déjà y répondre ?
Le 14 septembre 2021 Général (2s) Antoine MARTINEZ
candidat à la Présidence de la République
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