mardi 24 janvier 2023

 Didier,

Sans être vulgaire, tu peux l'écrire en toutes lettres : Oui, c'est de la MERDE.
Ce qui m'agace, c'est que les effluves de mon journal préféré, ""Nice Matin"", me remontent au temps ou je terminais mes etudes SUP de CO à la Chambre de Commecre Boulevard Carabacel. De ce fait, pour le canard en lui-même, j'ai une forme de nostalgie. D'autant plus, en lecture de leurs ecrits Socialo-Mon-Cul (Alors qu'ils peuvent faire mille fois mieux !) qu'ils agitent sous forme de communiqués, ou d'entre-filets, soit-disant pour aider "les nouveaux arrivants", mais qui en fait, ne sont lus que par une infime minorité. Quel Dommage !...

De ce fait, à chaque fois que le nom de "Nice-Matin" est prononcé, je me rappelle avec nostalgie cette belle et grande époque où je terminais mes études. Et pour les payer, j'étais obligé de travailler. Parlant l'anglais et l'espagnol (Comme tu le sais je suis tout autant Tangérois que l'est l'ami  Jean Luc, Mélenchon pour ne pas le citer et que je connais, mais sa Grande soeur mieux que lui...), je faisais des "Extras" aux Studios de la Victorine. Ce qui m'a fait rencontrer certains artistes dont Louis de Funes, Roger Moore, David Niven, Sean Connery, ou encore Charles Bronson (qui du reste me confia être Russe d'origine tout comme moi). A l'epoque Bronson tournait dans la region (Surtout Marseille) avec Marleine Jobert, et intercedait en ma faveur pour me refiler de petits rôles. Oui, c'etait une époque divine où l'on travaillait aussi bien aux studios de la Victorine que dans les Grands palaces de Monaco. Une Belle et Grande Vie !

Alors, depuis ma retraite canadienne, j'ai toujours une vague de nostalgie en lecture des Nice-Matin.
Bien plus ici à Toronto, que lorsque je suis face à la rade dans ma villa de Villefranche sur mer, où, tout comme les copains du "Lounge", le bistroquet de l'ami Christophe en plein centre-ville de Villefranche, je tourne les pages du Nice-Matin avec un certain delice. Mais bien entendu, il est fort dommage -et domageable- que les instances directionnelles de Nice Matin, ne fassent l'effort d'inverser leur regard politique. Prendre la defense du plus faible, du desargenté, de la veuve face aux pouvoirs publics, OUI. Mais faire de la retape au niveau bassement arabo-negrier en arrivage groupé, par mer, ou pieds-nus depuis la Frontière, je n'en vois pas l'utilité. La France est envahie. Et sincèrement, bien qu'habité d'idées profondément de gauche au point de trouver des circonstances attenuantes à Mao-Tse-Toung ou encore à l'assassin Staline, sincèrement, qui a besoin de ces bouches édentées musulmanes à la recherche d'un quignon de pain, bien que les oreilles soient cloîtrées par des talky-walky ou des smartphones dernier-cri en droite ligne des magasins huppée du centre-Ville ?...

Amitiés Certaines.
Gaï de Ropraz 
PS: Je suis bientôt à Paris avec mon Editeur préféré, concernant un nouveau Thriller 
Titre : ""Entre le soleil et la Mort "" (Une phrase de Camus) 350 pages de saines lectures... 

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