MIGRANTS- Un bien ou un mal ??? ,,,, Mes Amis, Mes Frères, J'émerge moi-aussi de vos courriels forts interessants concernant les problèmes fondamentaux de l'Europe. Mais s'ils sont intéressants ce n'est qu'au titre de prévention. En effet, pour moi tout au moins et sans le moindre espoir, l'Europe traverse la période la plus délicate de sa courte existence. On parle d'un problème "complexe" pour décrire l'immigration. Je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas un problème complexe, mais une menace latente, qui pourrait, sous peu, se traduire en une fin en soi, L'avenir de l'Europe, l'avenir de nos progenitures, sont liées à ce que deviendra l'Europe, et de quelle façons sera-t-elle malmenée, façonnée, rétablie ou perdue à jamais. Pour moi, les Lois promulguées ou à venir, les promesses et d'autant plus les diktats ou les manques de volonté de nos dirigeants, ne sont que la ressurgence d'un état de fait qui perdure depuis trop longtemps. Et les soi-disant "Erreurs" de l'immigration sont aussi le résultat d'un manque de prise de position et d'une volonté pour le moins préjudiciable de la part de nos pleutres dirigeants. Parler des erreurs du passé ne sert strictement à rien. Les faits sont là, les pays d'Europe envahis chaque jour un peu plus, et la notion d'un envahissement inexpugnable s'estompe dans l'esprit des Vieux roublards de l'Europe, pour germer en toute innocence et crédibilité dans les têtes-bien-faites' de nos jeunesses, c'est à dire nos progenitures. A cela s'ajoute cette volonté malfaisante, mais voulue, qui germe chez les jeunes, comme quoi l'invasion des va-nu-pieds est un bien. Moralement, mais surtout humainement. De ce fait, nous les vieux, qui ont, comme le dit la chanson ""Connu aut'choz"", on est juste bons à constater le délabrement progressif de l'Europe, son invasion impunie, le saccage de certaines institutions, et surtout le Grand chambardement humain pour utiliser un terme à la mode, qui entraîne notre bonne et vieille Europe vers les abîmes d'une sorte de cohabitation avec nos ennemis d'hier. In Aeternum ....