Richard STERNRichard STERN J'ACCUSE LE DÉPUTÉ CARON DE PROSTITUER LE MOT "GÉNOCIDE" ! Maître Patrick Atlan à propos d’Aymeric Caron: N'hésitez pas à le RT !! J’accuse Aymeric Caron, député enragé aux allures de faux mousquetaire, d’ânonner à l’envi le récit forgé par les officines de propagande islamistes. J’accuse le député Caron de prostituer le mot « génocide », de le galvauder de façon irresponsable, jour après jour, tweet après tweet, reprenant à son compte un élément de langage juridiquement erroné, mais politiquement meurtrier.! J’accuse le député Caron de servir un agenda qui instrumentalise la souffrance – incontestable - des civils de Gaza, non pour construire une paix à laquelle le Hamas et les autres groupes djihadistes n’aspirent pas, mais pour entretenir, ici et maintenant, une vaine colère. Or personne n’a rien à gagner du ressentiment éternellement ruminé, hormis les extrémistes de tout bord. J’accuse le député Caron de réduire le réel à une fable inversée : Israël, créature monstrueuse et nazifiée ; Gaza, icône sacrificielle, et de faire de l’histoire un procès sommaire où toute défense est bâillonnée. J’accuse enfin le député Caron, idiot hyperbolique du palestinisme, de désinformer le peuple français au nom du camp du Bien et de fanatiser les esprits au nom d’une justice sélective. Il s’érige en conscience morale en entretenant l’ignorance crasse de son public et la haine pavlovienne des juifs sous couvert d’antisionisme. Agitateur antisémite comme l’était jadis un Lucien Rebatet, Caron s’est mis, consciemment ou pas, au service de ceux qui minent les sociétés européennes. On en voit chaque jour les terribles effets, hier encore, contre un groupe d’une quarantaine d’adolescents de retour d’une colonie de vacances juive sorti manu militari d’un avion espagnol. Dans la guerre des récits autour Gaza, le député Caron ne se comporte pas en élu, encore moins en penseur, pas même en bateleur de télévision: il n’agit qu’en bonimenteur, braillant les haines du moment, qui ne questionne pas, mais condamne sans nuances. Et quand il poste « génocide, génocide, génocide » pour parler de la riposte militaire israélienne au méga-pogrom du 7 octobre - évidemment brutale et tragique dans ses conséquences, mais c’est bien ce que cherchaient les chefs du Hamas -, ce n’est pas l’humanité qu’il convoque, c’est le chaos qu’il sème, ici et maintenant.