mercredi 5 novembre 2025

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https://www.facebook.com/reel/1384698356719654
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CHRISTIAN REIG 16:02 (il y a 0 minute) À moi Jacques Peyrat, 92 ans, . N.D. /fait partie des baptiseurs de Nice , tout comme Jean MÉDECIN , et non des démolisseurs : comme Ch .ESTROSI ! - Ses 92 ans ne lui ont fait perdre ni sa verve ni son appétit politique. C'est avec gourmandise que l’ex-avocat, qui plaide depuis quarante ans pour l’union de toutes les droites, commente le séisme déclenché par le président de LR qu’il soutient sans réserve. !Cher Jacques , - Vous avez fondé dans les années 1990 votre micro-parti, l'Entente républicaine, avec lequel vous avez remporté votre 1er mandat de maire de Nice en 1995. En 2001, vous êtes réélu avec une liste d'union de la droite. Vous êtes aussi passé du Front national à l'UMP et êtes toujours resté très proche de Jean-Marie Le Pen. Soutenez-vous l’alliance des LR avec le RN scellée par Éric Ciotti ? Jacques Peyrat, ancien maire de Nice : «Éric Ciotti risque sa vie politique» avec l’union LR-RN Jacques PEYRAT - Je prêche pour cette union depuis presque toujours. L’unité est même le maître mot qu'il faut retenir de mon action politique. Celle de la droite unie contre la gauche unie. Le 11 juin, Éric Ciotti a fait preuve de courage. Accepter de diverger de la ligne directrice du parti qu’il préside et notamment sur le plan de la communication, n’était pas chose facile. Bien qu’il ait raison, il risque sa vie politique. Si jamais le rassemblement qu'il préconise, et sur lequel je le rejoins, ne réussit pas, sa carrière va prendre un coup terrible. SMS aux électeurs, plainte déposée... À Nice, la bataille des législatives entre les camps Ciotti et Estrosi bat son plein Législatives : Virgile Vanier-Guérin, le novice LR envoyé au feu face à Éric Ciotti à Nice Jacques Peyrat, ancien maire de Nice : «Éric Ciotti risque sa vie politique» avec l’union LR-RN À Nice, Estrosi et Dupond-Moretti s’écharpent dans un célèbre restaurantLe Figaro Le plus intelligent, le plus éloquent, le plus sympathique : Jordan Bardella classe ses adversaires politiquesLe Figaro «Philippe est à la loyauté ce que Richter est au séisme, une référence» : la nouvelle charge de Dupond-Moretti contre l’ancien premier ministreLe Figaro Ciotti à choisi la bonne stratégie qu'une majorité de français encourage. Le rassemblement des droites arrivera tôt ou tard au pouvoir . Si c'est tard la France que nous avons connue n'existera plus. à part le les questions d immigration , d identité nationale et le respect de l ordre , la politique economomique et l'Europev sont les 2 motifs d opposition entre LR et RN ainsi sur les retraites , LR s e'st prononcé clairement pour une augmenation de al duére de cotisation - au rique de se ciouper de sa base LE , seul parti de gouvernement crédible . tout le contriare de notrables ou de chapeaux à plume . Pourquoi systématiquement C'est la meilleure chose qui pourrait arriver, la disparition politique du traite ! Près de Nice, de l’eau potable rejetée dans la mer... par millions de mètres cubes Près de Nice, de l’eau potable rejetée dans la mer... par millions de mètres cubes Un canal vétuste, laissé pendant un siècle à l’abandon, entraîne aujourd’hui le gaspillage de millions de mètres cubes d’eau à la limite entre deux communes de la Côte d’Azur. Le chantier pour reconstruire un canal a commencé en mai et ne devrait voir le jour qu’en 2030. «Notre époque a besoin de statues» : à Meaux, l’atelier Missor signe une œuvre monumentale pour les 250 ans des États-Unis «Notre époque a besoin de statues» : à Meaux, l’atelier Missor signe une œuvre monumentale pour les 250 ans des États-Unis Atlas renaît à Meaux pour célébrer l’Amérique : l’atelier Missor dévoile «The Guardian of Liberty», une statue d’une centaine de mètres de haut destinée aux États-Unis pour leur 250e anniversaire. Menace des drones, attaques chimiques, violence anarchiste… La protection des personnalités au défi de nouvelles menaces Menace des drones, attaques chimiques, violence anarchiste… La protection des personnalités au défi de nouvelles menaces Fin mai-début juin, le grand sommet des océans à Nice mobilisera tout le savoir-faire des « superflics » du SDLP, ces anges gardiens des politiques et des civils particulièrement exposés. Ils sont soumis à une pression croissante à mesure que les missions s’empilent. «En 2026, ce sera une belle salade niçoise»: dans les Alpes-Maritimes, la guerre des droites aura bien lieu «En 2026, ce sera une belle salade niçoise»: dans les Alpes-Maritimes, la guerre des droites aura bien lieu Symbole des séismes qui ont fracturé Les Républicains, cette terre de droite est en proie aux rivalités politiques. L’élection municipale à Nice en 2026 est déjà dans toutes les têtes. Synagogue attaquée : Estrosi dénonce les «irresponsables» qui «soufflent sur les braises de l'antisémitisme» Synagogue attaquée : Estrosi dénonce les «irresponsables» qui «soufflent sur les braises de l'antisémitisme» Dans un entretien au «Parisien», le maire de Nice revient sur le climat politique et réagit à l’attaque de samedi contre la synagogue de La Grande Motte. À Nice, Éric Ciotti propose un nouvel emplacement pour le Théâtre national démoli fin 2022 En faisant cette proposition à quatre jours du second tour des législatives, le député sortant (LR-RN) veut montrer qu'il ne perd pas de vue son cap principal : Nice 2026. Festival du Livre de Nice: le courage mis à l’honneur pour cette 28e édition L’évènement littéraire, présidé par l’essayiste et romancier Boualem Sansal, se tient du vendredi 31 mai au dimanche 2 juin avec la présence de plus de 200 auteurs. Christian Estrosi : «Pendant que le gouvernement se regarde, les caïds gagnent du terrain» - Dans un entretien au Figaro, le maire de Nice étrille l’inaction gouvernementale en matière de sécurité. Il appelle Gabriel Attal et Éric Dupond-Moretti à suivre sans tarder le diagnostic et la ligne fixée par Emmanuel Macron. À Nice, le mi-mandat turbulent de Christian Estrosi - Malgré trois perquisitions en un an, le maire Horizons ne doute pas de sa réélection pour un quatrième mandat. Adversaire acharné de Christian Estrosi à Nice, Éric Ciotti attend son heure Les critiques répétées du député niçois à l’encontre de son frère ennemi dessinent sa volonté de lui disputer le siège de maire. Christian Estrosi s’inquiète une nouvelle fois d’une «cinquième colonne islamiste» en France Le maire de Nice avait déjà utilisé cette expression en 2015 provoquant l’ire d’une grande partie de la gauche.
Honneur aux Harkis À l’heure où certains hommes politiques, censés défendre la France, se permettent de reprendre les insultes que proférait le FLN à l’égard de nos harkis, il convient de rappeler haut et fort que ceux-ci ont combattu bravement aux côtés de nos soldats en Algérie. Tout commence au lendemain de la Toussaint rouge, le 1er novembre 1954, lorsqu’un couple d’instituteurs venus enseigner les enfants est assassiné par les fellagas. La première unité d’auto- défense est alors créée dans l’Aurès, organisation spontanée de la défense des villages contre les exactions rebelles, par des hommes assurant eux-mêmes leur sécurité avec quelques armes individuelles, afin de pouvoir travailler et vivre en paix. Tous volontaires, ces gardiens de villages constituèrent ce que l’on a appelé des groupes d’autodéfense. Ils n’étaient point mercenaires, car ils n’étaient pas payés. Beaucoup plus tard furent créés des supplétifs avec solde. La valeur combative de ces hommes courageux se révéla aussi bien dans la défense de leurs propres familles et de leurs biens, que dans leur capacité d’attaquer et de pourchasser les rebelles grâce à leur connaissance du terrain. Aussi le commandement décida de les armer plus fortement et de les encadrer. C’est ainsi que fut créée en 1955 la première harka de l’Aurès. Dans les décisions du congrès « historique » de la Soumann est écrit qu’il faut « Rejeter l’autorité de droit et faire reconnaître une autorité de fait, l’O.P.A. (Organisation Politico-Administrative), par le terrorisme, arme essentielle de notre combat. » Tout est dit ! Les rebelles s’introduisaient la nuit dans les villages pour massacrer les responsables locaux et semer la terreur, avant de disparaître comme des ombres. Ayant terrorisé et rendu muette la population, ils pouvaient recruter de malheureux habitants et leur faire exécuter des coupures de routes, abattre des poteaux téléphoniques. La population n’était pas responsable, elle avait dû agir contrainte et forcée, mais comment le savoir ? De novembre 1954 à juin 1957, 6 352 fermes ont été brûlées, 77 963 têtes de bétail égorgées ou volées, 687 000 arbres fruitiers coupés, 13 millions de pieds de vigne arrachés, 50 746 poteaux télégraphiques sciés, 180 routes coupées et 451 écoles détruites, pendant que s’ajoutaient un à un les cadavres mutilés des notables musulmans et des « collaborateurs » sous les yeux d’une population hallucinée par la peur. Durant cette période, dans le seul canton de Michelet, plus de 2 000 habitants ont été condamnés à mort, torturés et exécutés. Et si les exécutions individuelles ne suffisaient pas à lier la population au FLN, alors c’était le massacre collectif : Melouza, où un douar entier fut détruit au cours d’une tuerie qui a fait trois cents morts, El Halia, où les corps dépecés de notables, femmes et enfants furent laissés sur la place publique, Palestro où treize familles de fermiers furent massacrées. Quel président a parlé des « crimes contre l’humanité » des français en Algérie ? Monsieur Beteille, président de la commission de sauvegarde, écrivit à l’époque : « Les fellagas tuent pour tuer, pillent, incendient, égorgent, violent, écrasent contre les murs les têtes des enfants, éventrent les femmes, émasculent les hommes. Il n’y a pas de supplice imaginable par le cerveau le plus déréglé, le plus sadiquement porté vers la cruauté qui ne soit couramment pratiqué par les rebelles. » Il a fallu attendre 1957 pour que les premières formations de harkis soient créées et 1958 pour que leur rôle s’affirme. Au 31 décembre 1958 les effectifs atteignent :  - Harkis 28 071  - Moghaznis des S.A.S. 17 141  - Hommes des groupes d’autodéfense 16 855  - Hommes des G.M.S. 8 614 Soit un total de 70 681 hommes. Les moghaznis des S.A.S., dont le rôle était essentiellement d’assurer la sécurité de la Section Administrative Spéciale et de son personnel, afin qu’elle pût remplir sa mission de pacification, furent aussi très souvent amenés à jouer un rôle opérationnel important. Les G.M.S., Groupes Mobiles de Sécurité, ont témoigné hautement de leur valeur guerrière, de leur courage et de leur loyauté. Il en fut de même pour les fusiliers marins et les gendarmes auxiliaires. Ces hommes auraient pu être 500 000 si tous les volontaires avaient été acceptés. Ils étaient issus de la population de nos trois départements algériens, depuis les anciens combattants ayant participé à toutes les campagnes, jusqu’aux jeunes, aux paysans, aux bergers, voire même aux fellagas ralliés. On ne dira jamais assez les services que rendirent les musulmans des forces supplétives et en particulier des harkas, que celles-ci aient été autonomes ou attachées à des unités régulières de secteur ou d’intervention. Je ne traiterai pas ici du sort qui fut réservé aux harkis et à leurs familles au lendemain d’une indépendance accordée sans obligation à nos pires ennemis. Désarmés, ils ont été abandonnés pour la plupart aux bourreaux du FLN, alors qu’ils avaient cru en la parole d’un général sans honneur et sans pitié leur assurant que la France perdurerait « de Dunkerque à Tamanrasset ». Colonel honoraire Gilbert Beauval Bibliographie : Bachaga Boualam : « Les harkis au service de la France » Jean Mabire : « Commando de chasse » Guy Vincent : « Képi bleu » Jean-Yves Alquier : « Nous avons pacifié Tazalt »
Bientôt, la rosace de Notre-Dame démontée ? Catherine Goyard La rosace de Notre-Dame de Paris va-t-elle être démontée ? Les cloches seront-elles remplacées par un carillon électronique ? La statue de la Vierge à l’Enfant reléguée dans un musée ? Ces hypothèses peuvent vous sembler saugrenues… et pourtant, Emmanuel Macron s’apprête à ouvrir un précédent aux conséquences graves. Le chef de l’État souhaite décrocher six vitraux historiques de la cathédrale pour les remplacer par des créations contemporaines… dont on peut craindre le pire. Ne permettez pas cela ! S’il vous plaît, défendez Notre-Dame de Paris contre cette nouvelle agression. Pour cela, signez dès maintenant la pétition adressée au président de la République et au ministre de la Culture : « Notre-Dame ne vous appartient pas ! » JE SIGNE Après avoir échoué à imposer un geste contemporain pour la reconstruction de la toiture et de la flèche, voilà que M. Macron s’en prend aux vitraux. Concrètement, il souhaite envoyer au musée de magnifiques vitraux conçus par Viollet-le-Duc, en parfaite harmonie avec le caractère sacré de l’édifice et son style gothique… pour les remplacer par des œuvres contemporaines, abstraites ou idéologiques. La Commission nationale du patrimoine et de l’architecture a exprimé à deux reprises, la dernière en date le 12 juin 2025, sa vive désapprobation. Mais le président n’en tient aucun compte et persiste. Le plus aberrant ? Ces vitraux n’ont pas été endommagés par l’incendie. Ils sont parfaitement intacts et classés au patrimoine historique, comme l’ensemble de la cathédrale. Il ne s’agit donc pas d’une restauration, mais d’un acte de vandalisme culturel, contraire aux engagements internationaux de la France. « La France a signé la convention de Venise de 1964, qui rend absolument impossible toute dépose desdits vitraux et leur remplacement par des œuvres modernes », rappelait Roselyne Bachelot, ancienne ministre de la Culture. Elle ajoutait : « La chose est pour moi irrecevable et contraire aux conventions que nous avons signées. » Qu’est-ce qui a changé depuis pour que l’Élysée fasse un virage à 180°, au mépris de la parole de la France ? Rien. Rien, sinon la volonté de M. Macron de laisser son empreinte sur l’édifice. Protestez maintenant auprès du président et de son ministre. Ne les laissez pas défigurer Notre-Dame. JE SIGNE Notre-Dame a été sauvée de l’incendie par la bravoure des pompiers. Pour échapper au vandalisme de l’Élysée, c’est à vous et à moi qu’il revient d’agir. Catherine Goyard Secrétaire générale d’Avenir de la Culture
Catherine Goyard 10:03 (il y a 4 heures) À moi Monsieur Reig, La rosace de Notre-Dame de Paris va-t-elle être démontée ? Les cloches seront-elles remplacées par un carillon électronique ? La statue de la Vierge à l’Enfant reléguée dans un musée ? Ces hypothèses peuvent vous sembler saugrenues… et pourtant, Emmanuel Macron s’apprête à ouvrir un précédent aux conséquences graves. Le chef de l’État souhaite décrocher six vitraux historiques de la cathédrale pour les remplacer par des créations contemporaines… dont on peut craindre le pire. Ne permettez pas cela ! S’il vous plaît, défendez Notre-Dame de Paris contre cette nouvelle agression. Pour cela, signez dès maintenant la pétition adressée au président de la République et au ministre de la Culture : « Notre-Dame ne vous appartient pas ! » JE SIGNE Après avoir échoué à imposer un geste contemporain pour la reconstruction de la toiture et de la flèche, voilà que M. Macron s’en prend aux vitraux. Concrètement, il souhaite envoyer au musée de magnifiques vitraux conçus par Viollet-le-Duc, en parfaite harmonie avec le caractère sacré de l’édifice et son style gothique… pour les remplacer par des œuvres contemporaines, abstraites ou idéologiques. La Commission nationale du patrimoine et de l’architecture a exprimé à deux reprises, la dernière en date le 12 juin 2025, sa vive désapprobation. Mais le président n’en tient aucun compte et persiste. Le plus aberrant ? Ces vitraux n’ont pas été endommagés par l’incendie. Ils sont parfaitement intacts et classés au patrimoine historique, comme l’ensemble de la cathédrale. Il ne s’agit donc pas d’une restauration, mais d’un acte de vandalisme culturel, contraire aux engagements internationaux de la France. « La France a signé la convention de Venise de 1964, qui rend absolument impossible toute dépose desdits vitraux et leur remplacement par des œuvres modernes », rappelait Roselyne Bachelot, ancienne ministre de la Culture. Elle ajoutait : « La chose est pour moi irrecevable et contraire aux conventions que nous avons signées. » Qu’est-ce qui a changé depuis pour que l’Élysée fasse un virage à 180°, au mépris de la parole de la France ? Rien. Rien, sinon la volonté de M. Macron de laisser son empreinte sur l’édifice. Protestez maintenant auprès du président et de son ministre. Ne les laissez pas défigurer Notre-Dame. JE SIGNE Notre-Dame a été sauvée de l’incendie par la bravoure des pompiers. Pour échapper au vandalisme de l’Élysée, c’est à vous et à moi qu’il revient d’agir. Catherine Goyard Secrétaire générale d’Avenir de la Culture