dimanche 3 décembre 2023
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Rob Galline
4 min ·
Partagé avec Public
Lettre ouverte aux « Zozos ».
La droite dite « nationale » vous affuble de ce nom par dérision, craignant sans doute l’amalgame avec ces « groupuscules » sur lesquels l’opprobre a été jeté. Le dictionnaire définit le zozo comme un « individu quelconque, naïf ». Mais vous êtes tout le contraire, car vous vous distinguez de la masse crédule, intoxiquée par les médias bien-pensants.
On ne vous appelle pas « les Jeunes », avec une pointe de respect. Car vous êtes étiquetés d’ultra-droite, pour effrayer davantage qu’extrême-droite. Avant d’être qualifiés de méga-droite sans doute, le jour où vous serez vraiment violents et que vous prendrez le nom de « White blocs » par exemple. Vous êtes condamnés en Justice pour « risques de provocations, de violences… ». On croit rêver ! Et c’est vous qui subissez la violence des antifas, lesquels viennent systématiquement perturber vos manifestations.
Votre crime est d’aimer la France, toute la France, sans qu’aucun quartier ne vous soit interdit, protégé par des fonctionnaires zélés. En réalité vous êtes de l’ultra-France. C’est parce que vous gênez qu’on vous combat avec autant de haine. Vous êtes le grain de sable dans la machine bien huilée de la mondialisation, qui veut dissoudre les nations.
Vous êtes tels les Vendéens, qui défendaient leur terre et leur identité, et que les terroristes révolutionnaires traitaient de « Brigands ».
Vous en avez assez des marches blanches, des ballons, des fleurs et des bougies. Et vous voulez agir, parce que vous avez la vie devant vous et que vous la voulez heureuse, dans votre pays, la France. Vous vous souvenez de tous ces héros français de l’Histoire, qui ont sauvé la Patrie chaque fois qu’elle était menacée.
Vous manquez peut-être de prudence, mais n’est-ce pas de votre âge ?
Vous serez un jour appelés « Résistants ». Nos rues porteront alors les noms de vos chefs et de vos martyrs, lynchés, découpés, éborgnés.
Les « Zouaves », qui constituaient autrefois des troupes d’élite craintes par nos ennemis, ont un nom qui ne fait pas sérieux aujourd’hui.
A l’inverse, demain, l’anti-France redoutera les « Zozos ».
Je suis Zozo
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