samedi 23 août 2025

Bouches-du-Rhône : Martine Vassal, reine de la métropole et impératrice des fonds publics – Quand la droite marseillaise fait la leçon à la mafia napolitaine Par Liam Anderson - Bienvenue à Marseille, capitale française de la corruption élégante Alors que les Français se serrent gentiment la ceinture sur ordre de leurs élus, ces derniers préfèrent serrer les billets, de préférence en petites coupures et en valises. Dans les Bouches-du-Rhône, Martine Vassal, présidente du Département et de la métropole Aix-Marseille-Provence (2ᵉ de France avec 4,8 milliards d’euros de budget, merci pour elle), donne une masterclass en détournement de fonds publics, corruption passive et clientélisme artistique. Un ex-collaborateur, Erwan Davoux, a osé signaler ces malversations à la justice, une erreur fatale dans un système où l’on préfère les whistleblowers grillés au barbecue. Chapitre 1 : Les voyages officiels – Tourisme de luxe aux frais du contribuable Pour Martine Vassal, un voyage officiel n’est pas une simple réunion de travail : c’est une expérience sensorielle. Naples : 70 000 euros pour une visite des ruines de Pompéi (et accessoirement, peut-être une réunion). Parfois, il faut savoir allier culture et détente, surtout quand la facture est payée par les administrés. Miami : 133 000 euros pour un séjour… sans doute consacré à étudier la gestion de l’eau à Marseille depuis les plages de Floride. Rome : 36 000 euros, une somme modeste comparée aux 120 000 euros engloutis en Arménie pour un voyage avec 30 personnes. Comme le résume si bien l’ex-collaborateur : "Aucune stratégie, aucune volonté politique" mais une sacrée volonté de se dorer la pilule. Chapitre 2 : Embauches et conflits d’intérêts – Le concubin en directorat Ah, l’amour au sein de la métropole ! Martine Vassal a embauché son concubin comme directeur de cabinet adjoint. Une belle preuve de népotisme tendre, façon "pourquoi se priver quand le budget est public ?". Chapitre 3 : Clientélisme – Les subventions qui font plaisir (à certaines communautés) Les associations de la communauté juive ou arménienne semblent particulièrement choyées par Mme Vassal. "Subventions clientélistes", précise l’ex-collaborateur. Tiens donc, ça rappelle étrangement les méthodes de Franck Allisio, député RN des Bouches-du-Rhône également visé par une enquête pour détournement de fonds publics, décidément, un terreau fertile. Chapitre 4 : La réponse de Vassal – "Infractions imaginaires" et plainte contre l’empêcheur de tourner en rond Plutôt que de répondre aux accusations, Martine Vassal a choisi la contre-attaque : plainte pour "chantage" et "propos incitant à la haine" contre Erwan Davoux. Elle publie même des captures d’écran le montrant critiquer le gouvernement israélien une habile diversion pour faire oublier les valises de billets. "La politique pour nuire à une potentielle candidate à la mairie de Marseille n’autorise pas tout", déclare-t-elle sur X. Sous-entendu : "Laissez-moi magouiller en paix." Chapitre 5 : Le système français – Bien pire que la mafia, car lui a la légitimité démocratique Pendant ce temps, au Sénat, on s’inquiète du blanchiment d’argent entre 38 et 58 milliards d’euros par an en France et de la "pénétration de l’économie réelle par les avoirs criminels". Mais visiblement, certains élus ont décidé de sauter l’étape blanchiment et de puiser directement dans la caisse. Comparaison n’est pas raison, mais la mafia italienne, elle, au moins, ne fait pas la morale aux citoyens en leur demandant de "faire des efforts". Chapitre 6 : L’hypocrisie médiatique – Silence, on corrompt ! "Elle aurait été LFI, on aurait eu droit à la une de tous les médias pendant des jours"… Exactement. Pendant que les macronistes et le RN s’étripent sur fond de crise politique historique, la droite locale continue de s’enrichir en silence. Les motions de censure ? Une comédie pour gagner du temps. La démocratie ? Un concept flexible. Chapitre 7 : La justice – Spectatrice impuissante ou complice ? Le parquet de Marseille "ne souhaite pas communiquer". Normal, quand on sait que les élus locaux ont des amis partout y compris dans les palais de justice. Conclusion : La chanson des corrompus Pour citer l’hymne non officiel de la République : "Alors, cette Martine Vassal, vous en dites quoi les Sarkozy, Fillon, Balkany, Juppé, Guéant, Hortefeux, Alliot-Marie, Falco, Wauquiez, Dati et autres LR ?" "Elle est des nôôôtres Elle abuse sévère Comme nous au-au-très !" Moralité : La prochaine fois qu’un élu vous parlera d’austérité, souriez-lui gentiment il est probablement en partance pour Pompéi. Sources : Nouvel Obs Article satirique et cynique à ne pas prendre au premier degré (malheureusement, les faits sont bien réels). ...............................

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