De Jean-Jacques Leandri La presse a beaucoup parlé de certains candidats présentés par le RN aux législatives. À juste titre, ces derniers n’étaient pas reluisants et avaient parfois un pedigree chargé. A cette époque, toute récente, les chacals de la Fange insoumise s’étaient déchaînés en meute et avaient hurlé au fascisme. C’est désormais le seul argument obsessionnel qu’ils savent dégainer. Le grincheux de la Canebière devrait commencer par balayer devant sa porte, car sa propre tribu fourmille de nervis vaniteux comme des poux et cons comme des balais : Léaument, Delogu, Boyard, Panot, Obono, Bernalicis… Mais la relève s’avère encore plus gratinée. Après Allan Brunon et Zoé Pebey qui se réjouirent bruyamment du meurtre sauvage de Philippine, voilà le dénommé Cottineau, violeur et tortionnaire d’enfant, qui arbore la même gueule d’empeigne que le Brunon. Il coche toutes les cases de l’intersectionnalité, fonds de commerce de LFI : pédophilie, militantisme en faveur la nébuleuse L G B T ++, défense des immigrés clandestins… Le vizir Bompard s’est empressé d’annoncer l’exclusion de cette crevure. Un peu tard et surtout insuffisant. Il devrait s’inspirer de la formule du licenciement économique pour virer la cohorte de demeurés qui encombrent les allées de son parti pseudo-révolutionnaire. Viols avec torture d'une fillette handicapée à Nantes : le suspect est un ancien candidat LFI lefigaro.fr