Le metteur en scène des JO s’en prend à Jeanne d’Arc ! Catherine Goyard Jusqu’à quand allons supporter de telles provocations ? Non content d’insulter les catholiques en parodiant la Sainte Cène lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, le metteur en scène de cette abomination s’en prend maintenant à Jeanne d’Arc. D’après Thomas Jolly, la sainte patronne de notre pays - aux côtés de la Vierge Marie et de sainte Thérèse de l’Enfant Jésus -, est « l’une des plus grandes travesties de l’histoire ». Oui, vous avez bien lu, la Pucelle d’Orléans, modèle de pureté et d’obéissance à Dieu, est d’après cet individu une héroïne transgenre ! S’il vous plaît, ne vous taisez pas devant cette nouvelle provocation qui s’inscrit dans un contexte violemment antichrétien. JE PROTESTE Mais sachez que ce n’est pas tout… A l’occasion d’un entretien accordé au journal Le Monde, Thomas Jolly a avoué sans ambages que la cérémonie d’ouverture des JO était « politique » et que « la question des genres » était « partout ».Ce protégé d’Emmanuel Macron prétend que l’histoire de France est faite de « fluidité de genre », prenant en exemple sainte Jeanne d’Arc, mais aussi les rois de France qui « se poudraient et portaient des talons. » Que ce Monsieur salisse de ses obsessions, notre histoire et ses grandes figures est déjà, en soi, écœurant, vous en conviendrez. Mais qu’il soit contracté – et payé avec l’argent de nos impôts – pour diriger les grands événements culturels de notre pays est inadmissible. S’il vous plaît, signez tout de suite votre pétition au ministre de la Culture, Mme Rachida Dati, afin de lui demander de mettre fin à toute collaboration entre l’État et M. Jolly. JE SIGNE Sachez qu’avant la cérémonie d’ouverture des JO, Thomas Jolly a occupé de hautes responsabilités dans le cadre du Festival d’Avignon. Là encore, il en a profité pour imposer son idéologie LGBT+. De tels événements sont la vitrine culturelle de notre pays. Ils n’ont pas à être pris en otage par des militants antichrétiens, faisant la promotion de mœurs contre-nature. Je compte sur vous pour le dire haut et fort au ministre de la Culture. Merci pour votre réaction ! Bien cordialement, Catherine Goyard Secrétaire générale d’Avenir de la Culture