dimanche 19 octobre 2025
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đŹ Certains films racontent des histoires. D’autres rĂ©vĂšlent un systĂšme.
Cette semaine, je suis tombĂ©e sur un film dont je n’avais jamais entendu parler : HIM.
Officiellement, c’est un drame sportif. En rĂ©alitĂ©, c’est une plongĂ©e glaçante dans l’univers des rituels, du conditionnement et du s@crifice.
Ce que j’y ai vu dĂ©passe la fiction.
DerriĂšre les images, les symboles se superposent : la franc-maçonnerie, le culte de la performance, le sang comme monnaie d’Ă©change, et cette obsession pour la “transmutation” des hommes en dieux vivants.
Et au moment oĂč l’on pourrait croire qu’il ne s’agit “que d’un simple film”, un autre titre, sorti il y a plus de vingt ans, revient frapper Ă la porte de la rĂ©alitĂ© : Snake Eyes, de Brian De Palma.
ce film de 1998 rejoue, image pour image, les événements entourant la mort de Charlie Kirk.
Un politicien nommé Charles Kirkland ; une balle dans la gorge ; un 10 septembre ; un tireur embusqué ; une foule contrÎlée.
Tout Ă©tait dĂ©jĂ lĂ , filmĂ© Ă l’avance.
đ Alors, coĂŻncidence ou programmation ?
Dans cet Ă©pisode, on dĂ©crypte les codes, les motifs et les symboles qui traversent ces deux Ćuvres ; on explore ce qu’Hollywood appelle la “RĂ©vĂ©lation de la MĂ©thode” ; et on interroge cette frontiĂšre de plus en plus mince entre la mise en scĂšne et le rĂ©el.
Peut-ĂȘtre que HIM n’est pas une simple fiction.
Peut-ĂȘtre que c’est le signal d’un basculement : celui d’un systĂšme qui, Ă force d’exhiber ses rituels, finit par se trahir lui-mĂȘme.
đ Et si la fiction n’Ă©tait plus lĂ pour nous distraire… mais pour nous prĂ©parer ?
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