A travers la mainmise de Jean-Luc Mélenchon sur une gauche
à la dérive, nous assistons au triomphe d’une idéologie de conquête
révolutionnaire née de la confluence puis de l’engerbage de trois
courants ou forces politico-religieuses qu’il importe de bien identifier
si nous voulons la combattre efficacement.
1) Le courant
décolonial
Pour les
décoloniaux, le Français de souche est par essence esclavagiste,
colonialiste et raciste. Comme sa « domination » repose sur une
histoire et un mode de pensée fabriqués, les « dominés »
doivent donc en déconstruire les fondements culturels et
historiques en imposant de nouvelles normes raciales, philosophiques,
culturelles, esthétiques, linguistiques, sociales, politiques,
historiques, alimentaires, vestimentaires, artistiques, sexuelles et
religieuses.
En raison de la démographie, donc grâce à l’ethno-mathématique
électorale, ce courant va automatiquement occuper une place de plus en
plus déterminante dans la vie politique française ainsi que l’a fort bien
exprimé Houria Bouteldja :
« Notre simple existence, doublée d’un poids démographique relatif
(1 pour 6) africanise, arabise, berbérise, créolise, islamise, noirise,
la fille aînée de l’Eglise, jadis blanche et immaculée, aussi sûrement
que le sac et le ressac des flots polissent et repolissent les blocs de
granit aux prétentions d’éternité (…) » (Houria Bouteldja).
Pour le moment, la réussite de cette entreprise de subversion est totale
puisque les indigènes français acceptent de débaptiser leurs rues, de
dépouiller leurs musées, de renier leur histoire et d’abattre leurs
statues.
2) Le courant
islamo-gauchiste
Il s’agit là
d’un authentique courant révolutionnaire né des échecs du marxisme et du
communisme. Ayant perdu le prolétariat blanc passé au Rassemblement
national, ses membres pensent avoir trouvé dans l’immigration le
prolétariat de substitution qui leur permettra d’arriver au « grand
soir ».
Dans cet espoir, ils courtisent sans vergogne la fraction la plus
organisée de l’immigration, celle des musulmans islamistes. Par pur
opportunisme, ces derniers acceptent cette offre de collaboration qui
leur permet de faire avancer leur propre calendrier révolutionnaire… en
attendant de pouvoir mettre leurs naïfs alliés « sous l’étrier »…
3) Le courant attrape-tout des « victimes de
l’exploitation »
Ici se
retrouvent toutes les postulées « victimes » de l’exploitation
de l’homme blanc engagées dans une surenchère victimaire : tenants
du « Genre », LGBT, fractions féministes pour
lesquelles les femmes et les homosexuels sont les éternelles victimes du
patriarcat blanc hétérosexuel, comme le sont les Noirs, les Arabes et les
immigrés. Ce conglomérat gémissant et vindicatif est numériquement
extrêmement minoritaire, mais il détient et contrôle les relais
médiatiques, culturels et politiques qui permettent d’assurer
visibilité et « respectabilité » à l’idéologie de conquête.
Face à cette force révolutionnaire en expansion, acculés
dans l’impasse idéologique des « droits de l’homme », du
« vivre ensemble », du « pas d’amalgame », du
« cordon sanitaire contre l’extrême-droite » et du sépulcre
phraséologique de la « laïcité », les dirigeants de la
« droite » française sont désarmés et pour certains, déjà
prêts à tous les abandons.
Reste donc la cohorte des résistants de la pensée… Et c’est pour éviter à
ses membres de devoir un jour être contraints de choisir entre devenir
des dhimis sur la terre de leurs ancêtres ou des « émigrés de l’intérieur »,
que j’ai écrit « Pour répondre aux « décoloniaux », aux
islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance ».
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