Une société dégénérée et violente
Asphyxiée, égorgée, lardée de coups de couteaux, violée. Le calvaire de Lola, assassinée vendredi est une abomination. Pour l’administration française elle n’est qu’un chiffre dans une colonne ; pour la gauche anti-pénale, elle est une exception, un fait-divers. Pour quiconque dispose d’une once d’humanité, sa mort est révoltante, écœurante et exige que justice soit rendue sous une forme légale ou non.
Les journaux de la presse de masse se sont empressés d’évoquer le caractère déséquilibré d’un des principaux suspects. A mesure que les drames s’accumulent, il apparaît que le nombre de déséquilibrés est dangereusement haut dans notre pays. Il ne s’agit d’ailleurs pas de relativiser le phénomène puisque cette société décadente et progressiste semble produire des fruits pourris, à l’image des bourreaux de Lola aujourd’hui et d’une jeune fille du nom d’Alisha à Argenteuil il y 18 mois.
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