vendredi 12 juillet 2024

Tout savoir ... ... SUR UNE IMPOSTURE HISTORIQUE ............ LE FAMEUX APPEL DU 18 JUIN ......OU L’HISTOIRE D’UNE IMPOSTURE !!! Le 18 juin 2024 va être célébré le 84ᵉ anniversaire du célèbre appel de Londres de Charles De gaulle qui va être lu à la BBC, est un faux . Or la version officielle, qui va êtr faux.s gaulliens. » (Nouvelles Éditions latines) Le texte prétendu être celui de l’appel du 18 juin commence par cette phrase : « Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude. Cependant, rien n’est perdu …. » Or, historiquement, charles De gaulle n’a pu prononcer cette phrase insultante pour le Maréchal Pétain et le général Weygand pour les deux raisons suivantes : À cette date du 18 juin 1940, ces « gouvernants de rencontre » n’avaient pu capituler, car non seulement l’armistice n’était pas signé, mais les plénipotentiaires français n’avaient pu encore rejoindre les lignes allemandes étant donné les difficultés des communications. Cet armistice ne sera signé que le 22 juin avec l’Allemagne, et le 24 juin avec l’Italie. Par ailleurs, on ne peut confondre armistice et capitulation. L'armistice est un acte politique, une suspension d’armes où le vaincu peut négocier certaines conditions, c’est le contraire d’une capitulation à laquelle le vaincu doit se soumettre sans condition au vainqueur, ce à quoi De gaulle a consenti le 19 mars 1962 en capitulant devant le FLN, ennemi vaincu sur le terrain, pour se débarrasser du « boulet algérien ». En demandant un armistice, la France demande et obtient, le 22 juin 1940, que ni la marine, ni l’Afrique française ne soit livrée à l’ennemi, qu’un tiers du pays reste en zone libre, et que Lyon et Clermont-Ferrand soient évacués par l’armée allemande. En cas de capitulation, il y aurait eu deux millions de prisonniers de plus, et tout le territoire aurait été occupé : les Allemands, en effet, avaient atteint Valence et se trouvaient à une étape de Marseille lorsque l’armistice a été signé. Devant l’échec total de cet « appel du 18 juin » auquel n’avait répondu aucun chef militaire de l’armée, de la marine ou de l’aviation, notamment aucun officier de la division que charles De gaulle commandait devant Arras en mai 1940 (suprême affront !) ; Aucun homme politique, aucun diplomate français accrédité à Londres ou dans une autre capitale étrangère, aucun gouverneur ou responsable des colonies de l’Afrique française, aucun ministre résidant dans les pays sous protectorat ou sous mandat, charles De gaulle va s’affoler, car il se trouve désormais à Londres complètement isolé, en rupture de ban, sans mission officielle. En effet, la guerre continue et le gouvernement français le somme de rentrer en France, sous peine d’être jugé comme déserteur. Alors De gaulle écrit au général Weygand la lettre suivante à la date du 20 juin 1940 : Londres, le 20 juin 1940 Mon Général, J’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire, car je n’ai, bien entendu, aucune autre résolution que de servir en combattant….. (MÉMOIRES DE GUERRE) charles De gaulle - Édition PLON 1954, tome I – page 269) Depuis 1958, cette lettre est supprimée dans les livres scolaires, puisque incompatible avec la légende, avec l’Histoire de France revue et corrigée par la falsification gaulliste, en vigueur encore aujourd’hui. La suite reste entourée de mystère. Car De Gaulle ne dispose à cette date d’aucun moyen de transport pour rejoindre Bordeaux où siège le gouvernement français. Il est probable que Churchill, qui venait de rompre avec la France, refusa de lui donner un avion pour que De Gaulle rentre en France. La dissidence de la « France Libre » est donc née sous la contrainte de l’Angleterre, vérité que s’efforce de masquer l’imposture de la version officielle actuelle. Si De Gaulle avait pu rejoindre Bordeaux, comme il en avait manifesté l’intention le 20 juin 1940, il n’y aurait probablement jamais eu, ni de saga, ni de fabulation gaulliste. En effet, quand un officier français écrit une telle lettre pleine de déférence et d’esprit de discipline à son supérieur hiérarchique le 20 juin 1940, il ne peut être le même que celui qui aurait déclaré le 18 juin, deux jours avant, au micro de Londres, parlant du même supérieur, que ce dernier appartenait à « un gouvernement de rencontre qui a capitulé, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude ». C’est pourtant, c'est ce faux, fabriqué après coup, qui est répandu dans tous les livres scolaires depuis 1958, qui est inscrit dans le marbre au 4 Carlton Garden à Londres, et que nous allons entendre dire et répéter des milliers de fois lors de la célébration officielle du mythe de l’Appel du 18 juin 1940, pour continuer à entretenir le mensonge de la légende gaullienne de l’homme providentiel. Quatre-vingt-quatre ans plus tard, nous allons assister, une fois de plus, à cette mascarade, puisque Emmanuel Macron va encore commémorer, pour rester fidèle à l'imposteur, l'appel du 18 juin 1940. N'est-il pas temps de mettre un terme à cette supercherie ? Alain AVELIN Président du CDFA-VERITAS

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