vendredi 19 juillet 2024

Une condamnation qui pourrait menacer l'avenir d'anciens militants de Génération Identitaire Un matin de mars 2019 en Seine-Saint-Denis, plus précisément à Bobigny, 19 militants de Génération Identitaire ont pris courageusement position en faveur de la préférence nationale dans l'attribution des aides sociales. Comme à leur habitude, ils ont réalisé une action spectaculaire mais pacifique en montant sur le toit de la CAF de la ville et en y déployant une banderole au message clair : « De l’argent pour les Français, pas pour les étrangers ! ». Après le premier procès et des condamnations hallucinantes de prison avec sursis, l’avocat général a requis en appel une condamnation de 100 000 euros d'amende, soit un peu plus de 5 000 euros par militant ! Le verdict sera rendu le 4 octobre prochain. Aujourd’hui, ce sont donc 19 jeunes patriotes qui risquent de voir leur vie bouleversée par cette condamnation pour avoir simplement déployé une banderole avec un message logique et incontestable pour la grande majorité des Français. Ceux dont la vie peut changer après cette condamnation s’appellent Pierre, Antoine et Damien, des jeunes papas qui risquent de se retrouver en grande difficulté. Ces pères de famille, qui travaillent dur pour offrir un avenir stable et sécurisé à leurs enfants, pourraient voir leur capacité à subvenir aux besoins de leurs familles réduite par le poids financier de cette amende, entraînant des sacrifices déchirants. Est-ce là la sentence pour s’être engagé à offrir à leurs fils et à leurs filles un avenir meilleur ? Celle dont la vie peut changer après cette condamnation s’appelle Marie, une jeune femme qui prépare activement son mariage et qui est en pleine rénovation de sa future maison. À un moment où elle devrait pouvoir se concentrer sur la construction de son foyer, cette lourde pénalité financière menace de compromettre ses projets et de plonger son couple dans une incertitude économique. Ceux dont la vie peut changer après cette condamnation sont Aymeric, Gabriel, Léa, Julien, Alexis, étudiants et travailleurs, pleins de promesses pour leur avenir et tout juste à l'aube de leur vie professionnelle. Ils pourraient voir leurs vies bouleversées et être condamnés à travailler dur pendant des années simplement pour rembourser cette amende. Ces jeunes, qui ont simplement voulu exprimer une opinion partagée par une large majorité de Français, se voient maintenant confrontés à une sanction disproportionnée. Cette condamnation risque de freiner leurs ambitions et de compromettre leurs projets futurs. L’ASLA tient à exprimer sa profonde inquiétude face aux répercussions que cette décision judiciaire pourrait avoir sur la vie de ces jeunes engagés. Nous estimons que cette condamnation serait injuste, démesurée et purement idéologique. La justice punira ainsi des citoyens qui ont exercé leur droit à la liberté d'expression pour défendre une cause qu'ils jugent juste et nécessaire pour notre pays. En pénalisant sévèrement ces militants, ils souhaitent envoyer un message dissuasif à tous ceux qui souhaitent s'impliquer pour le bien commun et exprimer librement leurs opinions. Mais nous n’allons pas les laisser faire ! C’est pourquoi l’ASLA lance un appel à la solidarité et au soutien pour ces militants. Nous avons besoin de votre soutien financier pour couvrir les importants frais d’avocats qui se sont accumulés en plus de 5 ans de procédure. Un nouveau pourvoi en cassation n’est pas à exclure suite à la décision qui sera rendue au mois d’octobre et qui engendrera aussi des frais. Il est donc indispensable que les courageux militants identitaires bénéficient jusqu’au bout de la meilleure défense possible. Ils savent qu’ils peuvent compter sur vous, faites un don ici dès maintenant. Merci pour eux

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