Grenoble : une ville livrée au chaos Réalité inquiétante que traverse aujourd’hui la ville de Grenoble, et qui, malheureusement, illustre un problème bien plus large. Depuis quelques mois, Grenoble occupe régulièrement la une des journaux pour des incidents de violence et de criminalité : braquages, fusillades, trafics de drogue et crimes violents se multiplient au cœur de la ville. Chaque semaine apporte de nouveaux drames, révélant une situation de plus en plus préoccupante pour la sécurité des habitants. Le 8 septembre, la mort tragique de Lilian Dejean, tué devant l’hôtel de ville en tentant d’empêcher un délinquant de fuir, a marqué les esprits. Ce drame n'est pas isolé. Le 10 octobre, en plein jour, des convoyeurs de fonds ont été attaqués dans le centre-ville, semant la panique parmi les passants. Et au marché Saint-Bruno, des coups de feu ont récemment retenti, un acte d’intimidation d’un réseau de trafiquants qui se disputent le contrôle d’un marché de drogue lucratif. Ce qui rend cette situation encore plus troublante, c’est l’attitude de la municipalité. Malgré la montée évidente de la violence, les décisions tardent à venir, et les mesures de sécurité qui pourraient apaiser les citoyens peinent à être mises en œuvre. La police locale, sous-effectif, et les habitants se retrouvent seuls face à cette spirale de l’insécurité. Dans certains quartiers, la simple vie quotidienne est devenue un défi. Le taux de délinquance à Grenoble est désormais 60 % supérieur à celui de villes comparables, plaçant Grenoble parmi les plus dangereuses de France. Je tenais à vous faire part de cette situation car elle représente bien plus qu’un problème local : elle illustre les conséquences directes d’une immigration incontrôlé et irresponsable qui met en péril nos valeurs et notre sécurité. Je vous tiendrai informés de l’évolution de cette situation. Avec toute ma reconnaissance, Catherine Goyard Secrétaire générale d’Avenir de la Culture