jeudi 6 mars 2025

Comprenez bien ceci : ce poison ne se contente pas d’effleurer la surface. Il s’enracine, il corrompt, il nous détourne de ce qui compte. La bataille est eschatologique ! Votre âme est la cible … Elle exige que nous soyons lucides, humains, libres. Alors, ouvrez les yeux, tendez l’oreille, et refusez de danser sur cette mélodie qui n’est pas la nôtre, c’est celle du diable et de son bal des V. Le monde marche sur des œufs : une lecture alternative de la géopolitique actuelle Depuis cinq ans, je martèle une vérité que beaucoup refusent encore de voir : Macron n’est pas la France. Il n’est ni un simple pion ni un technocrate zélé, mais une force destructrice, un architecte du chaos, un rouage d’un projet qui dépasse les frontières hexagonales. Avec son binôme à l’Élysée, il façonne l’Histoire dans une direction précise : dissolution, asservissement, mensonge total. Ceux qui le réduisent à un exécutant d’intérêts étrangers sous-estiment la gravité du mal qu’il incarne. Pour moi, il est un acteur clé d’une guerre eschatologique qui approche, un feu bien plus vaste que les calculs politiciens ne peuvent saisir. Longtemps, mes alertes ont résonné dans le vide. Mais voilà que Scott Ritter, ancien officier du renseignement américain, lâche une bombe verbale qui fait écho à mes mises en garde. Dans un texte récent (6 mars 2025), il déclare : « Il est temps d’affaiblir et de calmer la France. » Pour lui, tant que Macron dirigera un pays doté de l’arme nucléaire, la sécurité mondiale restera en péril. Il va plus loin, suggérant que si les Français ne règlent pas cela via les urnes, les États-Unis pourraient considérer la France comme une « menace existentielle » et agir – une allusion à peine voilée à une intervention. Ritter, comme moi, voit dans la France sous Macron un danger, non pas à cause de son peuple, mais à cause de ceux qui la mènent à sa perte. Bientôt, d’autres voix, comme celle de Jeffrey Sachs, pourraient rejoindre ce constat, pointant des dynamiques similaires à Tel Aviv, bien que dans une moindre mesure. En face, Dmitri Medvedev, dans un tweet du 5 mars 2025, adopte une posture radicalement différente. Réagissant aux propos de Macron sur la « menace russe », il ironise : Macron « ne représente pas une grande menace » et « ne manquera à personne » après 2027, date de la fin de son mandat. Cette lecture minimisante m’inquiète profondément. Elle risque de tromper les Russes – et d’autres – sur la dangerosité réelle du duo Macron, en le réduisant à une parenthèse électorale. Medvedev va même jusqu’à relayer une fake news grotesque : un message sur X (début mars 2025) prétendant que Macron aurait été « assassiné » dans un complot, une rumeur absurde qu’il amplifie avec son sarcasme habituel pour discréditer le président français. Cette désinformation, bien que risible, illustre une stratégie : minimiser Macron pour mieux détourner l’attention de son rôle, au sein de son binôme étrange d’un couple d’inconnus, dans les tensions actuelles. Là où Ritter décèle une crise immédiate – un Macron « désespéré » prêt à des actes imprudents, selon sa référence à Shakespeare (« Ô méfait, tu es prompt à entrer dans les pensées des hommes désespérés ! ») –, Medvedev mise sur une disparition banale en 2027. Ni l’un ni l’autre ne saisit pleinement la dimension eschatologique que je défends. Ritter s’arrête à une menace stratégique, Medvedev à une moquerie simpliste. Pourtant, les faits s’accumulent et j’en reprendrai beaucoup dans la suite de cette lettre : discours belliqueux de Macron sur l’Ukraine, proposition d’étendre le parapluie nucléaire français à l’Europe (5 mars 2025), fake news russes amplifiant le chaos, mais avant l’incendie de Notre Dame, les cérémonies des JO, la politique Covid de la France, etc. Ces éléments se télescopent, signes d’un bouleversement plus profond que les analyses conventionnelles ne captent. Macron n’est pas la France, mais c’est la France – et peut-être le monde – qui risque de payer le prix de ses actes. Chaque jour, des analystes chevronnés rejoignent mes pas, mais trop peu osent nommer l’ennemi pour ce qu’il est : un mal implacable qui avance tandis que les consciences reculent. Jusqu’à quand tiendrons-nous avant que le feu ne consume tout ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire