vendredi 8 août 2025
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Bientôt en France ? NON c'est déjà le cas, ce n'est pas officiel, ce n'est pas dans les textes mais c'est dans la réalité de nos tribunaux tous les jours:
Dernier exemple en date: Un homme vient d'être condamné à 23 ans de prison ferme plus 18 mois de sursis probatoire ! parce que la victime s'appelle Prisca Thévenot députée des Hauts de Seine, personnalité chouchoute du macronisme...
Les faits remontent au 3 juillet 2024, lors d’une opération de collage d’affiches à Meudon-la-Forêt, à quelques jours du second tour. Prisca Thévenot, alors candidate à sa réélection, était accompagnée de sa suppléante Virginie Lanlo et de deux militants. Ils ont alors été pris à partie par plusieurs jeunes, dont le prévenu, qui ont arraché leurs affiches. L’altercation a rapidement dégénéré : une vingtaine d’individus, mineurs pour la plupart, ont rejoint le groupe à l’appel du principal mis en cause...
Très émue, la députée (Renaissance) des Hauts-de-Seine a confié « vivre dans la peur » depuis les faits et s’être interrogée sur la poursuite de son engagement politique. Les jeunes « venaient pour en découdre », a affirmé devant le tribunal Prisca Thévenot.
La sanction est sans doute justifiée mais on aimerait la même sévérité lorsque les agresseurs sont des antifas, que les personnes agressées pour qui la justice rouge a les yeux de chimènes et pour un peu que les agressés soient de droite ou tout simplement monsieur ou madame tout le monde...
Cf teneur de https://www.bvoltaire.fr/au-quebec-une-justice-desormais-ouvertement-defavorable-aux-blancs/ reçue du juge Matagrin.
Merci Élisabeth F pour cette transmission:
Le 8 août 2025 à 09:55, le juge Dominique MATAGRIN a écrit :
Bonjour, ci-après, pour info., un article paru sur Bd Voltaire, qui explique comment, au Canada, la Justice est invitée à prendre en compte un critère racial dans ses décisions -au détriment des “blancs”, évidemment, dans le droit fil des thèses wokistes les plus caricaturales.
On peut gager qu'il y aura, un jour ou l'autre, une pression d'activistes pour imposer, sinon en droit, en tout cas, en fait, pareille monstruosité dans les pratiques judiciaires...
Et il se trouvera bien un Cons Cons ou une cour européenne pour valider ce racisme officiel -avec la parfaite bonne conscience de l'antiracisme...
Au Québec, une justice désormais ouvertement défavorable aux Blancs
Au Québec, un récent verdict ouvre la voie à l’instauration d’un système judiciaire défavorable aux Blancs.
C’est un tournant, au Québec. Pour la première fois dans la Belle Province, un juge a rendu un verdict basé sur la couleur de peau du prévenu. Cela s’est passé le 28 juillet dernier. Une magistrate a ainsi décidé d’alléger la peine prononcée à l’encontre d’un trafiquant de drogue en s’appuyant sur une « évaluation de l’impact de l’origine ethnique ou culturelle » (EIOEC) de l’individu, une analyse des « barrières systémiques » auxquelles il aurait pu faire face durant son existence. En clair, le concept militant de « racisme systémique » peut désormais servir de circonstance atténuante aux délinquants et criminels « racisés ».
Dans le cas du dealer en question, le rapport indique qu’il a grandi sans son père et que la monoparentalité est plus importante chez les Noirs du Canada que chez d’autres groupes ethniques. L’EIOEC soulève également son enfance passée dans un « quartier défavorisé » de Montréal où la police aurait pratiqué le « profilage racial ». Cerise sur le gâteau victimaire, les auteurs dudit rapport invitent la cour à envisager « la possibilité de syndrome post-traumatique » associé au « traumatisme intergénérationnel de l’esclavage » dont pourrait souffrir le délinquant… Des arguments dignes des pires sociologues d’extrême gauche, mais auxquels la juge en charge du dossier a été manifestement sensible : la sentence a été réduite de 35 à 25 mois de détention, comme le voulait la défense. « Nous devons apprendre. Nous devons nous adapter », a estimé la magistrate, à deux doigts de présenter ses excuses au trafiquant de drogue.
Nouvelle au Québec, cette procédure est appliquée depuis 2014 dans le reste du Canada. L’État fédéral y incite les juges à prendre en compte « l’origine ethnique et culturelle » des accusés dans leurs verdicts. Destinés à instaurer un traitement de faveur exclusif aux non-Blancs, les EIOEC s’inspirent des mesures dont bénéficient les délinquants autochtones depuis 1999. Un arrêt de la Cour suprême du Canada avait alors inscrit dans le marbre que les juges devaient considérer les « facteurs systémiques » propres aux autochtones, notamment l’impact de la colonisation, lors de la détermination de la peine.
Le privilège racisé
Cette décision québécoise – qui risque fort de faire jurisprudence – est symptomatique d’un monde judiciaire anglo-saxon de plus en plus acquis aux thèses woke. On se souvient notamment de ce demandeur d’asile algérien condamné à seulement 6 ans de prison, en 2001 à Dublin, pour le viol d’une enfant, à la faveur d’une étonnante clémence. « Si vous étiez un Irlandais, vous auriez pris 10 ans de prison ! », avoua le juge, expliquant qu’un trop long séjour dans une prison irlandaise serait une épreuve insurmontable pour un étranger tel que ce malheureux Maghrébin. Plus récemment, en mars 2025, de nouvelles directives de condamnation ont été émises au Royaume-Uni, incitant les juges à prendre en compte le facteur racial dans leurs décisions de justice...S
Cette belle citation de Lafontaine doit désormais être inversée:
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