jeudi 31 août 2023
No masquaran !
ls osent tout, c’est à ça qu’on les reconnaît. Sous prétexte
de l’arrivée d’Eris, un énième nouveau variant mis « sous surveillance
» par l’OMS, les malades qui nous gouvernent sortent le coco du frigo,
agitent la menace d’une reprise épidémique et n’excluent pas d’amortir
la vague automnale par un retour du masque obligatoire. C’est déjà le
cas dans certains États américains où l’obligation de porter le
bâillon est à nouveau instaurée dans les collèges. Et c’est aussi le
spectre agité en France par Aurélien Rousseau, le tout frais ministre
de la Santé au sein de l’équipe remaniée cet été. Pour l’instant, ce
guignol appelle seulement à « reprendre le réflexe de mettre un
masque si nécessaire » pour les personnes fragiles et leur entourage,
mais nous aurions tort de minimiser ce simple conseil facultatif.
Depuis bientôt quatre ans, nous savons que la « patrie des droits de
l’homme » donne le ton en matière de mesures sanitaires coercitives et
liberticides. La République Française est en pointe du totalitarisme
covidiste et ce que décide le régime autocratique Macron est souvent
adopté dans la foulée par les autres nations occidentales. Il est donc
essentiel de ne pas laisser passer (No passaran !) et de remonter aux
barricades pour empêcher le retour de la mascarade (No masquaran !).
La mobilisation est d’autant plus de mise que le nouveau sinistre de
la Santé cherche, l’air de rien, à banaliser l’usage de la muselière.
Comme il l’a répété sur les plateaux télé, le geste de se masquer
devrait être adopté spontanément par tous ceux qui manifestent des
symptômes respiratoires et ceux qui les côtoient. Or ça fait déjà
beaucoup de monde tout ça ! Par exemple tous les écoliers qui auront
la goutte au nez dans quelques semaines, leur fratrie, leurs parents
et leurs enseignants. Sous couvert d’altruisme hygiénique, le
gouvernement français s’apprête donc à « enchinoiser » l’Hexagone et à
marginaliser socialement les enrhumés qui n’auront pas le comportement
adéquat prescrit par les autorités. C’est évidemment un premier pas
sournois vers la discrimination et une obligation qui ne dira pas son
nom, comme pour les injections expérimentales. Vous saisissez
maintenant l’importance de contrer cette normalisation de l’anormal et
de lutter contre ce que la philosophe Hannah Arendt appelait la «
banalité du mal » ?
L’année dernière à la même époque, notre collaboratrice Catherine
Courson avait rédigé un texte inspiré par le projet français de
ré-imposer le masque dans les transports publics. Ce dossier a
beaucoup circulé parmi la résistance et il n’est peut-être pas
étranger à la reculade du gouvernement Borne. Depuis la sortie
médiatique d’Aurélien Rousseau, le thème redevient d’une brûlante
actualité et Catherine a donc repris la plume pour peaufiner son
article et l’enrichir de nouvelles références. Il s’agit d’un « kit de
ré-information » qui redonne et argumente les 5 bonnes raisons de
refuser résolument le retour du masque. À l’heure de sa banalisation,
il est en effet urgent de rappeler que cet objet inutile et inefficace
(selon la vraie science) est avant tout un instrument d’oppression et
un symbole d’esclavage. Si nous acceptons de le porter et de le faire
porter, même – et surtout – sans y être contraints, nous mettons le
doigt dans un engrenage capable de broyer toutes les autres libertés.
Je vous invite cordialement à lire la nouvelle version de ce message
et à la partager au maximum. Pour en faciliter la diffusion, nous
avons mis ce document en ligne sous format PDF et vous pouvez le
télécharger en cliquant ici. En voici cependant l’intégralité
ci-dessous en guise de rentrée de l’infolettre, que vous pouvez ainsi
transférer aisément à vos contacts. Grâce à vous, ils ne re-passeront
pas et ne nous re-masqueront pas !
Yves RASIR
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