lundi 9 septembre 2024
Barnier.......??
Il a un CDD de 300 jours. Au maximum !
. Édouard le gaspard va en profiter pour être prêt, le moment venu. Les journaleux vont-ils nous refaire le coup de l’homme politique préféré des Français ? L’homme providentiel, ça ne prend plus. Après Macronescu, le play boy de la presse poubelle avec son « épouse » rafistolée, et le Mozart de la finance des télés stipendiées, les autruches ont appris à se méfier des baudruches.
Philippe = Sciences Po + ENA + PS, la trilogie du bon à jeter !
Si ce profil a longtemps permis de duper le peuple et de favoriser les arrangements crapuleux entre sociaux-démocrates et libéraux-sociaux, aujourd’hui ça empeste le vomi acide des cuites au gros rouge. Rien qu’en entendant ces trois critères, Sciences Peaux de zob, école des ânes et socialopes, les Français encore capables de réfléchir dégueulent sur les parquets de la Ripoublique dont ils n’ont plus rien à cirer.
Édouard le renard, dit « le blaireau du Havre» à l’époque où il arborait une superbe barbe bicolore en noir et blanc, n’a pas que ces trois handicaps ! Son cas est pire. Il a accumulé mille bonnes raisons de se faire détester par les uns et mépriser par les autres.
Ancien militant socialaud que le parti n’a pas récompensé à sa juste valeur, il fait comme le Merluchon furibard, il se casse et va tenter sa chance ailleurs. Il y a partout une petite place réservée aux traîtres. Pour Philippulus, ce sera un copinage avec Ali Juppé « le meilleur de tous les salopards » disait Chiracula en sifflant sa dixième « Corona » avant midi.
Édouard le calamar participe à la création de l’UMP, le parti pochette surprise. Il y gagnera un bon job chez Areva, la bête noire des écolos. Est-ce à cause des radiations nucléaires qu’il développe un vitiligo suivi d’une alopécie ? Son changement de look, moitié Monsieur Propre dénutri, moitié Tarass Boulba sans moustache, ne passe pas inaperçu.
On a d’autres raisons de se méfier de lui
En 2010, il s’inscrit au barreau, profitant d’une disposition scélérate exonérant les politiciens qui n’ont fait ni droit, ni CAPA, ni stage comme on l’exige des citoyens lambda. Il devient alors avocat lobbyiste auprès des administrations qu’il connaît bien. Ses activités concomitantes avec des mandats publics lui valent son « omission » du barreau. Façon polie de dire qu’on ne veut plus le voir, subodorant des conflits d’intérêt.
Pas grave, en 2012 il devient « young leader » en même temps que le Foutriquet. Là, pas de risque d’omission. Il a fait campagne en 2005 pour les abandons de souveraineté de la France. Et il a chaleureusement approuvé en 2008 la forfaiture de Talonetto.
Il touchera le jackpot en 2017 avec Matignon. Contre l’avis de la Trognon. La promotion est surprenante et on se demande quel pacte secret lie Manu à Édouard le traquenard, qui soutenait Fillon.
Le blaireau du Havre avait plusieurs fois allumé Fripounette dans un passé récent. Était-ce pour se dédouaner vis-à-vis des Républicains dont il faisait partie, afin de jouer sur les deux tableaux ? Parlant sans aménité en 2014 de « cet ancien banquier dont Rothschild s’est débarrassé », il dénonçait début 2017 « ce Macron qui n’assume rien mais promet tout. Avec le cynisme d’un vieux routier de la politique.»
Sous la Ve République, en dehors des périodes de cohabitation, c’est la première fois qu’un Premier sinistre est choisi dans un parti qui n’a pas soutenu l’élection du Président. Les Républicains vireront Philippe discrètement, ce dont il semble s’accommoder sans regrets. Mais comme disait Edgar Faure « ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent. »
Les autres prétendants qui lui reprochent aujourd’hui sa précipitation pour tenter de capter l’héritage putatif ont bonne mine. Un Ganelon sera toujours un fourbe. Même s’il ne peut plus se cacher derrière sa barbe.
Embrouilles et coups tordus
Après sa nomination à Matignon, on apprend qu’Édouard le cossard a reçu un blâme de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique en raison de sa désinvolture lors de sa déclaration de patrimoine. Sans aucune sanction. Il est intouchable. Mais cela renvoie à d’autres affaires étouffées. Comme celle de MSC où il est mouillé, bien qu’il semble n’avoir été qu’un comparse complaisant.
Dans un contentieux à rebondissements multiples, le secrétaire général de l’Élysée Alexis Kohler, fut accusé de prise illégale d’intérêts, trafic d’influence et corruption en raison de sa présence au conseil d’administration de STX France, devenu Chantiers Navals de l’Atlantique, société nationalisée à 80 % par Macron, dont le transporteur maritime MSC est le client principal.
Kohler n’avait pas fait état, comme la loi l’y oblige, de ses liens familiaux avec la direction de MSC. Sa mère Sonia Hakim est actionnaire et cousine germaine de Rafaela Aponte, cofondatrice du groupe d’armateurs.
En creusant, on reprocha aussi à Alexis Kohler des votes en faveur de contrats avec une filiale française de MSC pour l’exploitation de terminaux au port du Havre, alors qu’il siégeait au conseil de surveillance de cet établissement public en tant que représentant de l’État, aux côtés d’Édouard Philippe alors maire du Havre.
Il n’y a sûrement aucune faute de personne nulle part, puisque toutes ces affaires ont été classées. Seul Anticor a été puni. L’État a retiré son agrément judiciaire à l’initiateur des enquêtes. Qui a fini par le récupérer après plus d’un an de procédures dilatoires.
Philippe éprouve comme Macron un mépris total des Français « d’en bas » assorti d’une satisfaction sadique à leur en faire baver des ronds de chapeaux.
En 2018, la vitesse limitée à 80 km/h sur le réseau routier, c’est lui. La première hausse faramineuse des prix du carburant, c’est encore lui. Le massacre des Gilets jaunes, c’est toujours lui. Il fallait voir comment il défendait les nervis auteurs des mutilations, et se délectait des énucléations auprès d’un journaleux débutant (viré depuis) qui lui demandait si on n’avait pas frappé un peu trop fort des manifestants désarmés.
Au début de la grippe pangoline, il se révèle désordonné, versatile, incompétent, ne sachant que faire. Au lieu de réunir un aréopage de sommités de tous bords, et pas seulement vaccino-maniaques, il attend de recevoir des instructions de l’OMS, courroie de transmission de Big Pharma où sévit le mari de Pustula la Hyène.
Édouard le cafard déclare la muselière inutile, mais obligatoire un mois plus tard, ferme les écoles puis les rouvre, et aggrave le confinement avec des mesures dictatoriales de surveillance, de coercition et de répression, attentant à la liberté d’aller et de venir des citoyens.
Cela ne surprendra pas ceux qui se souviennent de son projet avorté de faire inscrire, en permanence dans le droit sans avoir besoin de saisir le Parlement, l’état d’urgence qui donne les pleins pouvoirs à l’exécutif. En 2017. Quel don de double vue ! Pour une fois ni l’Eurocrature ni la CEDH n’étaient d’accord. Même si on peut imaginer que ce n’est pas le sort des vrais Français qui les préoccupait.
Après Matignon, une obsession : être calife à la place du calife
Le 3 juillet 2020 Édouard le lézard démissionne avec son gouvernement, et le 4 il réintègre le Conseil d’État avec une disponibilité jusqu’en 2026, afin de conserver les avantages de la fonction publique sans y faire acte de présence. Et ce « fonctionnaire » se fait aussitôt embaucher par ATOS, une société privée du numérique. Qui se prend un bouillon l’année suivante. Thierry Breton l’avait mise à genoux. Le blaireau l’achève.
Bien que sa gestion du covid lui vaille d’être dans le collimateur de la justice avec la Buse et le Varan, l’information judiciaire qui le vise et la perquisition à son domicile – dont il a été averti à l’avance – ne l’impressionnent guère. Il sait que les individus de son rang ne risquent rien. Ces gesticulations sont juste bonnes pour calmer la populace.
Le 9 octobre 2021, il lance le mini-parti Horizons dont il prend d’office la présidence. Franc comme un faux billet, il affirme son soutien à Macronescu, tout en disant préparer une nouvelle offre politique.
Plus besoin d’attendre 2027. Il table sur l’échec de Fripounette à constituer des gouvernements qui tiennent face à la censure. Ce qui l’amènera à dissoudre à nouveau en juillet 2025. Et si la répartition des forces n’a pas changé, il ne lui restera plus qu’à démissionner. Mais tout porte à croire que l’écuelle passera sous le nez d’Édouard le gamelard.
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