mercredi 25 septembre 2024
POURQUOI DEMANDER LES ASSASSINS ?
Nos juristes, à la manière du Sénat et de Beauvau, prononcent des mots attendus.
Un violeur ignoble, sous le coup d'une OQTF non appliquée - quelle surprise ! - récidive avec un meurtre ou un assassinat (meurtre avec préméditation), puis s'enfuit à l'étranger avec l'argent de sa victime.
Est-ce une nouveauté ?
Les discours des uns et des autres enrichissent-ils vraiment le débat ?
Faut-il créer une nouvelle loi ?
Alors que la preuve est là : la loi actuelle n'est pas appliquée. Lois, OQTF... de simples bouts de papier.
Quelle est cette étrange nation où les mots et le papier prévalent ?
Alors, comme toujours, abordons directement le sujet :
1. Changeons notre approche face à ce problème récurrent.
Décidons de changer.
Maintenant. Pas en 2027, ni à la Saint-Glinglin.
2. Prenons une décision.
Décidons dès aujourd'hui que ce criminel ne foulera plus le sol de la France métropolitaine.
Peu importe les conventions internationales.
3. Nous savons que son pays n'émettra pas de document consulaire après sa condamnation par la Cour d'Assises en 2027 à une peine de 20 ans - il sera libéré en 2040.
4. Deux options :
Première option.
Envoyons-le purger sa peine à Saint-Pierre-et-Miquelon. Construisons une prison au nord de Saint-Pierre.
Nous sommes en 2024. Si l'administration judiciaire se mobilise, elle peut trouver et réhabiliter des bâtiments en trois ou quatre ans.
Ou bien au sud de la Guyane. La fondation Taubira pourrait l'accueillir.
5. Mais chacun sait que le paragraphe ci-dessus est pure fiction.
L'administration judiciaire ne changera pas.
Elle ne sera pas réformée
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