mardi 31 décembre 2024
Le cadeau du Conseil d'Etat aux islamistes et à leurs complices
Philippe Vardon
La photo ci-dessus vous choque ? Vous avez bien raison.
Eh bien, sachez que le Conseil d'Etat et - à sa suite - le Tribunal administratif de Nice y voient un "intérêt public local" !
Mieux encore ?
Pour avoir dénoncé ces prières de rue et avoir agi en justice face aux islamistes et leurs complices, c'est désormais moi qui vais devoir payer plusieurs milliers d'euros.
Mais revenons à l'origine de tout ça.
Le 15 juin 2018, une prière de rue a rassemblé plus de 1000 personnes à Nice, pour la fin du Ramadan. Cette prière était organisée par les islamistes de l'ex-UOIF, l'émanation dans notre pays des Frères musulmans.
En réalité, c'est un théâtre municipal qui avait été mis à disposition GRATUITEMENT par la municipalité Estrosi. Vous avez vu la photo : les hommes priaient en réalité dehors, sur le parking. Eh bien, les femmes, elles, étaient à l'intérieur du théâtre.
Vous me connaissez : je ne laisse rien passer ! Et j'ai donc non seulement informé et alerté sur ce scandale, mais j'ai aussi saisi le procureur de la République.
Le 19 décembre 2022, j'avais obtenu une victoire devant la cour administrative d'appel de Marseille !
J'avais d'ailleurs alors publié une vidéo revenant en détail sur les événements et cette victoire. Vous pouvez visionner la vidéo en cliquant ICI ou sur l'image ci-dessous. Attention, je vous préviens, la vidéo ne dure que 3 minutes, mais vous allez avoir votre dose de "Allah akbar"...
Vous vous demandez sans doute comment est-ce que je me retrouve aujourd'hui, presque deux ans jour pour jour après ce jugement, dans cette situation ? Contraint de verser de l'argent à ceux que je faisais condamner hier...
Il faut comprendre que c'est la seconde fois que je faisais condamner la municipalité pour ses liens avec cette mouvance islamiste, comme je l'explique dans la vidéo. Ils ne pouvaient pas laisser passer cette nouvelle victoire.
L'affaire a donc été portée jusque devant le Conseil d'Etat, qui a donné raison à la municipalité avec ce motif absolument délirant : mettre à disposition gratuitement cette salle municipale relevait d'un "intérêt public local" ! Et cela alors même que la gratuité contrevient normalement à la loi de 1905, qu'il s'agit d'une association islamiste, ou encore que tout ça s'est terminé avec une prière de rue géante qui a engendré un trouble à l'ordre public dans toute la périphérie, jusque dans les villages proches.
Je veux saluer ici l'excellent travail de notre équipe d'avocats, tout comme je veux remercier tous ceux qui parmi vous ont participé à travers leurs dons à financer notre défense et tous les frais étant liés (constats d'huissiers, intervention d'experts, etc.). Mais malgré leur talent et leur travail, que pouvaient nos avocats face à des juges politisés comme ceux du Conseil d'Etat ? Vous savez, ce sont ceux qui annulent les dissolutions d'organisation d'extrême gauche mais ont validé sans sourciller celle de Génération Identitaire.
Dans notre affaire, les juges rouges ont totalement bousculé le droit et ont même créé une nouvelle jurisprudence absolument scandaleuse.
Malheureusement, il y a quelques semaines, le Tribunal administratif de Nice - devant lequel l'affaire était renvoyée une énième fois suite à la décision du Conseil d'Etat - a docilement suivi ce dernier et donc définitivement donné raison à la municipalité et à l'association musulmane.
Après 6 ans et demi de bataille judiciaire, vous devez sans doute vous demander si je ne suis pas amer ? Bien sûr, ce résultat est dur à encaisser. C'est le droit qui est bafoué, et plus dur encore, c'est l'islamisation de notre pays qui est ici validée.
Mais la vérité est que je ne regrette rien. Ce combat devait être mené, et mené jusqu'au bout. Même si cela me place aujourd'hui dans une situation délicate...
Non seulement, les tribunaux ont donné raison aux islamistes et à leurs complices, mais en plus - en tant que plaignant ayant porté l'affaire en justice - je dois désormais les "dédommager" et rembourser leurs frais. Cela représente plusieurs milliers d'euros... Et je dois payer sous 15 jours désormais !
Dans un tel délai, je ne peux pas faire face seul.
Je sollicite aujourd'hui votre soutien et votre générosité.
Si je vous écris ce 31 décembre, c'est pour deux raisons :
- D'abord, parce que j'ai découvert hier ce commandement de payer en rentrant chez moi. C'est mon petit cadeau de nouvelle année !
- Ensuite, parce que, comme vous le savez, 66% du montant de votre don est déductible de vos impôts sur le revenu* mais pour que cela soit valable sur vos impôts 2024, ce don doit être effectué avant ce soir à minuit.
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