mardi 4 février 2025

Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Facebook Rob Galline 1 min · Partagé avec Public A-t-on encore le droit de ne pas être de gauche en France ? Un dirigeant d’un groupe de presse régionale vient d’être poussé à la démission à la suite d’un simple « like » sur ses réseaux sociaux. Mediapart et les syndicats de gauche ont mené contre lui une véritable campagne de harcèlement, lui reprochant seulement d’avoir « aimé » des publications de la députée européenne Reconquête Sarah Knafo. Apprécier des idées de droite suffit donc aujourd’hui à vous faire perdre votre travail ! Hier, ce sont des étudiants de l’UNI, association de droite, qui ont été interdits de pénétrer sur le campus de la Sorbonne Nouvelle. Une personne se réclamant du personnel de l’université leur a refusé l’entrée, au motif que cette université serait, selon elle, de gauche (cf. vidéo). Depuis plus de six mois, des activistes empêchent une entreprise de charcuterie angevine de vendre ses produits sur les marchés. Cette charcuterie élève en plein air une race de porc locale. La Confédération paysanne dénonce, sans rire, « cette entreprise qui tente de récupérer, à des fins politiques, une race porcine préservée ». Au motif que certains salariés auraient été proches de l’extrême droite, c’est toute une entreprise qui est aujourd’hui menacée… Ce genre d’exemple est légion. Des universitaires ont d’ailleurs théorisé cette stratégie. Le philosophe Geoffroy de Lagasnerie avoue ainsi : « J'assume totalement le fait qu'il faut reproduire un certain nombre de censures, en vérité, dans l'espace public, pour rétablir un espace où les opinions justes prennent le pouvoir sur les opinions qui ne le sont pas. » Qui définit ce qu’est une opinion juste ? Poser la question, c’est déjà y répondre : lui et ses amis, évidemment. C’est le privilège exorbitant que s’est accordé la gauche depuis les années 1950 et, pour le maintenir, à défaut d’être appréciée, elle doit être crainte. Mark Bray, universitaire et théoricien du mouvement antifa, explique, dans un livre publié en 2018, que si « on ne peut pas toujours changer les croyances de quelqu’un, […] on peut évidemment les rendre trop coûteuses politiquement, socialement, économiquement et parfois même physiquement ». Il précise même la méthode à suivre : le doxing, qui consiste à « publier des informations personnelles sur quelqu’un pour l’intimider ou le faire connaître de tous afin de l’embarrasser, provoquer son licenciement ou toute autre conséquence nuisible ». Voilà les méthodes qu’utilisent de plus en plus la gauche et l’extrême gauche pour fausser le débat d’idées. Pour lutter contre cela, le CERU lance le projet Liberté. Notre objectif est de réunir les meilleurs spécialistes (juristes, politistes, experts des réseaux sociaux...) pour s’intéresser notamment aux réponses que l’on peut apporter à ces cas flagrants de discrimination politique. La défense de la liberté d'expression, de la liberté d'enseigner et d'entreprendre seront également au coeur de nos travaux.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire