Moussa Darmanin et l’imam Iquioussen copains comme cochons
Les virtuoses en taqîya ne cesseront jamais de me surprendre. On croit
avoir fait le tour de leurs palinodies, dénoncé leurs mensonges,
décortiqué leur double langage… et on s’aperçoit qu’on est encore
passé à côté de l’essentiel : l’enfumage des mahométans infiltrés dans
les rouages de la ripouxblique.
Affaires de familles
Moussa et l’imam Iquioussen fiché S ne se connaissent pas. Version officielle.
Pourtant, le 27 mars 2003, un acte de vente notarié est signé entre la
société Darmanin Père et Fils et un certain Hassan Iquioussen, pas
encore célèbre mais qui va le devenir, lorsque Moussa prétendra le
renvoyer au Maroc. Quel manque de tact !
L’objet de la transaction n’est pas un « Hachéloum » délabré à
l’ascenseur cassé et à l’entrée constellée de graffiti de pissotières.
Mais une propriété bourgeoise sise dans un parc de 3,5 hectares à
Lourches dans le Nord. Un « jardinet » de 35 000 m2, rien que ça. Et
plusieurs SCI pour gérer avantageusement l’ensemble.
Après avoir signé les papiers chez le notaire, vendeurs et acheteurs
ont déjeuné ensemble. Moussa ne s’en souvient pas. Anosognosie comme
Chiracula pour ses malversations à la mairie de Paris. Étonnant à 39
ans.
À tout hasard, les conseillers de Moussa ont allumé un contre-feu : «
C’est possible… Mais évidemment cela n’a aucun rapport avec ses
actions de ministre. »
À traîtres, traîtres et demi
Le plus piquant dans cette histoire est que l’info a été sortie par «
Mediapart » dont nul n’ignore la complaisance envers les mahométans.
Comme j’observais, à propos de « Canal » et « Libé » dénonçant le
financement de groupes extrémistes en France par le Qatar, il faut
vraiment qu’il y ait le feu au lac pour que les plus fidèles alliés
des mahométans retournent leurs burnous.
Moussa avait retourné une fois de plus sa cachabia en annonçant le 28
juillet 2022 un arrêté d’expulsion contre ce prédicateur proche des
Frères musulmans, qui avait fait l’apologie de Ben Laden et lancé des
appels à la haine et à la violence contre les Juifs.
Sur le fond, on ne saurait critiquer cette sage décision. Même si on
sait que les juridictions françaises truffées d’islamo-gauchistes
annulent systématiquement ce genre de dispositions. Moussa ne pouvait
l’ignorer, pas plus que les juristes qui hantent son cabinet.
L’annulation de l’arrêté par le tribunal administratif le 5 août
s’inscrit donc dans cette tradition de dhimmitude. Et même si le
Conseil d’État réforme ce jugement, qui reconduira l’imam dans son
vrai pays s’il refuse de partir ?
Des gens mal intentionnés pourraient voir chez Moussa une manœuvre
digne d’un petit Machiavel en babouches, qui satisfait ainsi à moindre
frais une partie de son électorat, sans mécontenter ceux de l’autre
bord.
Et à propos d’électorat, il y a d’autres faits qui font désordre
Toujours selon « Mediapart », Moussa et l’imam imprécateur (qui ne se
connaissent pas, même si l’imam dit en avoir conservé un bon souvenir
!) auraient dîné ensemble au cours de la campagne des élections
municipales en 2014.
L’imprévisible Plenel qui risque de se prendre une fatwa dans les
rotules précise :
« D’une durée d’environ deux heures, ce dîner, organisé dans un
domicile privé du quartier Gambetta de Tourcoing, a réuni une petite
dizaine de personnalités de la communauté musulmane locale dont l’imam
Hassan Iquioussen. (…) Le futur ministre de l’Intérieur et l’imam
controversé auraient échangé politesses et conseils dans l’objectif de
capter les voix des musulmans de Tourcoing et les ramener dans
l’escarcelle de Gérald Darmanin, en misant notamment sur l’influence
du prédicateur. »
Moussa sera élu maire de Tourcoing cette année là. De justesse en
majorité relative.
Un mahométan honteux ou un chacal indécis ?
Gérald Moussa se dit catholique. On peut en douter lorsqu’on voit avec
quel empressement il accourt pour assurer de son soutien les
mahométans dont une mosquée a été souillée par une inscription
injurieuse. Et son indifférence absolue lorsque des églises, des
chapelles, voire une cathédrale crament comme du petit bois.
Son grand-père maternel, Moussa Ouakid, était né en 1907 en Algérie
dans le douar d’Ouled Ghalia (ex-commune d’Orléansville). Ce serait
étonnant que sa mère n’ait pas été élevée dans la foi islamique.
Un autre élément troublant interpelle dans la conduite de Moussa : il
a déposé des gerbes et rendu hommage aux fellaghas qui ont assassiné
des dizaines de milliers de soldats français, de pieds-noirs et de
musulmans fidèles à la France… Par contre, jamais, il n’a eu un mot de
compassion pour évoquer les victimes.
Son papy a servi la France en tant que tirailleur algérien, puis
harki. Le petit-fils a dû oublier ce proverbe berbère bien connu : «
Si tu déshonores tes pères, tu vaux moins qu’un chacal ! »
Moussa le conquérant d’apparence insignifiante
Donc d’autant plus dangereux. Car on ne se méfie pas. À première vue,
il a plutôt l’air d’un bécasson comme disait ma grand-mère.
Politicard bas de gamme, il a fait Sciences Peaux d’ânes, l’école des
rhétoriciens préformatés. Tics de langage, ton nasillard, regard en
biais, lèvres serrées trahissent le complexé pas franc du collier, qui
compense par un immense culot.
Mais il sait aussi pratiquer la taqîya avec un talent inné. Ainsi, à
ses débuts, il échappe de justesse à la condamnation qui frappe son
patron Christian Vanneste pour avoir osé critiquer des gays. Des
perruches journalistiques prennent alors Moussa pour un catho
homophobe ! En fait, il défendait le point de vue des mahométans.
Moussa menteur filandreux et opportuniste se crée même une légende en
donnant en 2008 des articles au mensuel Politique magazine, organe de
presse de l’Action Française, lié au mouvement royaliste Restauration
nationale. L’eusses-tu crû ?
Peu importent ses errances idéologiques. Ce caméléon dispose d’un
joker rare. Plus fort que toutes les franc-maçonneries réunies :
l’oumma qui ne s’y est pas trompée et le soutient. D’ailleurs, pour ne
pas la décevoir, il ne cesse de lui donner des gages.
Ainsi lors de la dictature sanitaire, les oukases du psychopathe
élyséen, ausweis, confinements, muselières, couvre- feux, ne furent
pas appliqués dans les zones périurbaines, ces enclaves étrangères
hostiles dans une France redevenue État féodal.
Par contre, la statistique officielle de la milice s’enorgueillissait
de 100 000 vrais Français contrôlés au cours du week-end des 7 et 8
novembre 2020 pour vérifier qu’ils avaient bien une attestation leur
permettant de circuler dans leur propre pays. Tandis que cinq millions
d’étrangers clandestins, dont 98 % de mahométans, étaient libres
d’entrer et de circuler à leur guise dans la plus parfaite illégalité.
Des passe-droits normaux pour les « croyants » sur une terre de conquête
Moussa Ouakid, comme l’appellent ses coreligionnaires pour flatter ses
origines, a suivi au cours de sa vie politique, à l’insu de son plein
gré, le modus operandi défini par le Coran pour conquérir un pays
qu’on ne peut vaincre militairement.
D’abord le « Dar al-Sulh », ou « maison de la paix (provisoire)» quand
la communauté musulmane minoritaire en terre étrangère doit être peu
visible et pacifique, se livrant au commerce, à l’artisanat ou aux
services.
Peu à peu, les koufars dans leur ignorance et leur naïveté, mais aussi
du fait de la cupidité de leurs dirigeants achetés pour fermer les
yeux, tolèrent le prosélytisme islamique sans exiger la moindre
réciprocité. « L’islam laïcisé et européanisé » auquel plus personne
ne croit aujourd’hui a longtemps servi d’étiquette à cette
supercherie.
Ensuite le « Dar al hacq » ou « maison des droits » où la conquête se
fait insidieusement, à l’usure, en appliquant la charia,
progressivement mais sans relâche. Le voile, les écoles coraniques,
les privations de liberté des filles, les activités sportives et
culturelles séparées, le règlement des litiges civils et familiaux par
des cadis, les magasins et cantines halal, etc.
Puis le « Dar al-Harb » ou « maison de la guerre » quand les musulmans
sont assez nombreux et se sentent assez forts pour ne plus recourir à
la taqîya et dévoilent leurs vrais desseins. En douceur d’abord en
infiltrant les rouages du pouvoir politique, économique, judiciaire et
médiatique pour s’y répandre et coopter des « frères ».
Si des « infidèles » s’opposent aux conquérants, tous les moyens sont
bons pour les neutraliser. Émeutes, guérillas urbaines, intimidations,
insécurité permanente, assassinats ciblés. Sachant que les dirigeants
français sont assez pleutres pour accepter toutes les humiliations en
échange d’une promesse de retour au calme.
Enfin le « dar al islam » ou « maison de la soumission » dont on n’est
plus très loin en 2022 comme Michel Houellebecq l’a si bien anticipé
dans « Soumission ». Il ne vous restera plus qu’à vous convertir ou
faire vos valises.
J’ignore si Moussa a changé son nom de famille. Ou si le hasard nous
fait un pied de nez colossal. Car en arabe classique, Dar Manin
signifie : la maison de l’homme fort.