dimanche 28 août 2022

 


Moussa Darmanin et l’imam Iquioussen copains comme cochons 



Les virtuoses en taqîya ne cesseront jamais de me surprendre. On croit
avoir fait le tour de leurs palinodies, dénoncé leurs mensonges,
décortiqué leur double langage… et on s’aperçoit qu’on est encore
passé à côté de l’essentiel : l’enfumage des mahométans infiltrés dans
les rouages de la ripouxblique.

Affaires de familles

Moussa et l’imam Iquioussen fiché S ne se connaissent pas. Version officielle.

Pourtant, le 27 mars 2003, un acte de vente notarié est signé entre la
société Darmanin Père et Fils et un certain Hassan Iquioussen, pas
encore célèbre mais qui va le devenir, lorsque Moussa prétendra le
renvoyer au Maroc. Quel manque de tact !

L’objet de la transaction n’est pas un « Hachéloum » délabré à
l’ascenseur cassé et à l’entrée constellée de graffiti de pissotières.
Mais une propriété bourgeoise sise dans un parc de 3,5 hectares à
Lourches dans le Nord. Un « jardinet » de 35 000 m2, rien que ça. Et
plusieurs SCI pour gérer avantageusement l’ensemble.

Après avoir signé les papiers chez le notaire, vendeurs et acheteurs
ont déjeuné ensemble. Moussa ne s’en souvient pas. Anosognosie comme
Chiracula pour ses malversations à la mairie de Paris. Étonnant à 39
ans.

À tout hasard, les conseillers de Moussa ont allumé un contre-feu : «
C’est possible… Mais évidemment cela n’a aucun rapport avec ses
actions de ministre. »

À traîtres, traîtres et demi

Le plus piquant dans cette histoire est que l’info a été sortie par «
Mediapart » dont nul n’ignore la complaisance envers les mahométans.

Comme j’observais, à propos de « Canal » et « Libé » dénonçant le
financement de groupes extrémistes en France par le Qatar, il faut
vraiment qu’il y ait le feu au lac pour que les plus fidèles alliés
des mahométans retournent leurs burnous.

Moussa avait retourné une fois de plus sa cachabia en annonçant le 28
juillet 2022 un arrêté d’expulsion contre ce prédicateur proche des
Frères musulmans, qui avait fait l’apologie de Ben Laden et lancé des
appels à la haine et à la violence contre les Juifs.

Sur le fond, on ne saurait critiquer cette sage décision. Même si on
sait que les juridictions françaises truffées d’islamo-gauchistes
annulent systématiquement ce genre de dispositions. Moussa ne pouvait
l’ignorer, pas plus que les juristes qui hantent son cabinet.

L’annulation de l’arrêté par le tribunal administratif le 5 août
s’inscrit donc dans cette tradition de dhimmitude. Et même si le
Conseil d’État réforme ce jugement, qui reconduira l’imam dans son
vrai pays s’il refuse de partir ?

Des gens mal intentionnés pourraient voir chez Moussa une manœuvre
digne d’un petit Machiavel en babouches, qui satisfait ainsi à moindre
frais une partie de son électorat, sans mécontenter ceux de l’autre
bord.

Et à propos d’électorat, il y a d’autres faits qui font désordre

Toujours selon « Mediapart », Moussa et l’imam imprécateur (qui ne se
connaissent pas, même si l’imam dit en avoir conservé un bon souvenir
!) auraient dîné ensemble au cours de la campagne des élections
municipales en 2014.

L’imprévisible Plenel qui risque de se prendre une fatwa dans les
rotules précise :

« D’une durée d’environ deux heures, ce dîner, organisé dans un
domicile privé du quartier Gambetta de Tourcoing, a réuni une petite
dizaine de personnalités de la communauté musulmane locale dont l’imam
Hassan Iquioussen. (…) Le futur ministre de l’Intérieur et l’imam
controversé auraient échangé politesses et conseils dans l’objectif de
capter les voix des musulmans de Tourcoing et les ramener dans
l’escarcelle de Gérald Darmanin, en misant notamment sur l’influence
du prédicateur. »

Moussa sera élu maire de Tourcoing cette année là. De justesse en
majorité relative.

Un mahométan honteux ou un chacal indécis ?

Gérald Moussa se dit catholique. On peut en douter lorsqu’on voit avec
quel empressement il accourt pour assurer de son soutien les
mahométans dont une mosquée a été souillée par une inscription
injurieuse. Et son indifférence absolue lorsque des églises, des
chapelles, voire une cathédrale crament comme du petit bois.

Son grand-père maternel, Moussa Ouakid, était né en 1907 en Algérie
dans le douar d’Ouled Ghalia (ex-commune d’Orléansville). Ce serait
étonnant que sa mère n’ait pas été élevée dans la foi islamique.

Un autre élément troublant interpelle dans la conduite de Moussa : il
a déposé des gerbes et rendu hommage aux fellaghas qui ont assassiné
des dizaines de milliers de soldats français, de pieds-noirs et de
musulmans fidèles à la France… Par contre, jamais, il n’a eu un mot de
compassion pour évoquer les victimes.

Son papy a servi la France en tant que tirailleur algérien, puis
harki. Le petit-fils a dû oublier ce proverbe berbère bien connu : «
Si tu déshonores tes pères, tu vaux moins qu’un chacal ! »

Moussa le conquérant d’apparence insignifiante

Donc d’autant plus dangereux. Car on ne se méfie pas. À première vue,
il a plutôt l’air d’un bécasson comme disait ma grand-mère.

Politicard bas de gamme, il a fait Sciences Peaux d’ânes, l’école des
rhétoriciens préformatés. Tics de langage, ton nasillard, regard en
biais, lèvres serrées trahissent le complexé pas franc du collier, qui
compense par un immense culot.

Mais il sait aussi pratiquer la taqîya avec un talent inné. Ainsi, à
ses débuts, il échappe de justesse à la condamnation qui frappe son
patron Christian Vanneste pour avoir osé critiquer des gays. Des
perruches journalistiques prennent alors Moussa pour un catho
homophobe ! En fait, il défendait le point de vue des mahométans.

Moussa menteur filandreux et opportuniste se crée même une légende en
donnant en 2008 des articles au mensuel Politique magazine, organe de
presse de l’Action Française, lié au mouvement royaliste Restauration
nationale. L’eusses-tu crû ?

Peu importent ses errances idéologiques. Ce caméléon dispose d’un
joker rare. Plus fort que toutes les franc-maçonneries réunies :
l’oumma qui ne s’y est pas trompée et le soutient. D’ailleurs, pour ne
pas la décevoir, il ne cesse de lui donner des gages.

Ainsi lors de la dictature sanitaire, les oukases du psychopathe
élyséen, ausweis, confinements, muselières, couvre- feux, ne furent
pas appliqués dans les zones périurbaines, ces enclaves étrangères
hostiles dans une France redevenue État féodal.

Par contre, la statistique officielle de la milice s’enorgueillissait
de 100 000 vrais Français contrôlés au cours du week-end des 7 et 8
novembre 2020 pour vérifier qu’ils avaient bien une attestation leur
permettant de circuler dans leur propre pays. Tandis que cinq millions
d’étrangers clandestins, dont 98 % de mahométans, étaient libres
d’entrer et de circuler à leur guise dans la plus parfaite illégalité.

Des passe-droits normaux pour les « croyants » sur une terre de conquête

Moussa Ouakid, comme l’appellent ses coreligionnaires pour flatter ses
origines, a suivi au cours de sa vie politique, à l’insu de son plein
gré, le modus operandi défini par le Coran pour conquérir un pays
qu’on ne peut vaincre militairement.

D’abord le « Dar al-Sulh », ou « maison de la paix (provisoire)» quand
la communauté musulmane minoritaire en terre étrangère doit être peu
visible et pacifique, se livrant au commerce, à l’artisanat ou aux
services.

Peu à peu, les koufars dans leur ignorance et leur naïveté, mais aussi
du fait de la cupidité de leurs dirigeants achetés pour fermer les
yeux, tolèrent le prosélytisme islamique sans exiger la moindre
réciprocité. « L’islam laïcisé et européanisé » auquel plus personne
ne croit aujourd’hui a longtemps servi d’étiquette à cette
supercherie.

Ensuite le « Dar al hacq » ou « maison des droits » où la conquête se
fait insidieusement, à l’usure, en appliquant la charia,
progressivement mais sans relâche. Le voile, les écoles coraniques,
les privations de liberté des filles, les activités sportives et
culturelles séparées, le règlement des litiges civils et familiaux par
des cadis, les magasins et cantines halal, etc.

Puis le « Dar al-Harb » ou « maison de la guerre » quand les musulmans
sont assez nombreux et se sentent assez forts pour ne plus recourir à
la taqîya et dévoilent leurs vrais desseins. En douceur d’abord en
infiltrant les rouages du pouvoir politique, économique, judiciaire et
médiatique pour s’y répandre et coopter des « frères ».

Si des « infidèles » s’opposent aux conquérants, tous les moyens sont
bons pour les neutraliser. Émeutes, guérillas urbaines, intimidations,
insécurité permanente, assassinats ciblés. Sachant que les dirigeants
français sont assez pleutres pour accepter toutes les humiliations en
échange d’une promesse de retour au calme.

Enfin le « dar al islam » ou « maison de la soumission » dont on n’est
plus très loin en 2022 comme Michel Houellebecq l’a si bien anticipé
dans « Soumission ». Il ne vous restera plus qu’à vous convertir ou
faire vos valises.

J’ignore si Moussa a changé son nom de famille. Ou si le hasard nous
fait un pied de nez colossal. Car en arabe classique, Dar Manin
signifie : la maison de l’homme fort.

 

L’esprit critique, c’est la santé

Chère lectrice, cher lecteur,

L’univers numérique a transformé notre langue.

Ainsi, le mot avatar, tiré du sanscrit signifiait « incarnation divine ». Mais dans la langue courante, il avait fini par prendre le sens de « mésaventure ».

Eh bien, il a plus ou moins repris son sens originel, puisqu’il signifie désormais « incarnation numérique ».

Ainsi, si votre fils ou votre petit-fils vous dit avoir « améliorer son avatar », cela n’a pas grand-chose à voir avec le dieu Vishnou.

Mais il y a plutôt des chances qu’il se soit servi de votre carte bleue pour acheter des vêtements et des accessoires clinquants au personnage qu’il incarne dans son jeu préféré.

Il en va de même pour le troll qui, au même titre que nos dieux païens, avait fini par être réduit à l’état de farfadet, et même de figurine à cheveux verts, bleus ou roses que l’on accrochait à notre porte-clefs.

Or le troll a fini par infester tout notre univers numérique, au point de polluer nos vies.

« Ne nourrissez pas les trolls »

Or le troll originel (avec le tréma) est un authentique monstre de la mythologie nordique, une puissance tellurique primordiale, et plus encore que les ogres de nos contes, un être cruel à l’appétit insatiable.

C’est ce sens qui a été repris à l’ère numérique, quand sur les espaces de discussion, on trouve toujours des personnes qui tiennent des propos sciemment provocants, voire insultants, et toujours hors sujet.

On appelle ces êtres déplaisants des « trolls », et il est recommandé, en absence de modérateurs pour les bannir, de ne pas engager la discussion avec eux, car c’est précisément ce qu’ils veulent : casser la discussion en cours et montrer qu’ils ont raison à tout prix.

Le mépris de bon aloi qu’il convient donc d’afficher à leur encontre tient donc dans cette phrase : « ne nourrissez pas les trolls », car les êtres malveillants et égocentriques se nourrissent de l’attention des autres.

Hélas, il ne me semble pas que ces personnes soient les plus nocives. Après tout, à part faire naître en vous des émotions déplaisantes, vous les oublierez bien vite. À ceci près…

À ceci près que les pires trolls sont ceux qui s’adressent aujourd’hui à vous à travers les canaux de communication autorisés.

On les appelle les chaînes d’information en continu.

Ces vampires de la bonne humeur

La santé est la pierre angulaire de l’existence, et tout peut s’y rapporter.

Les sentiments négatifs, tels que la colère, la haine, la crainte, l’angoisse et même la panique sont des émotions naturelles.

Elles n’ont rien de dangereux en elles-mêmes si on arrive à les sublimer, à les dépasser, et qu’on ne les laisse pas couver longtemps. 

Discuter avec des gens qui partagent vos sentiments et qui ne s’en offusquent pas, c’est important.

Faire de l’exercice pour évacuer la frustration est essentiel aussi, de même que méditer pour retrouver un calme sain.

Car c’est très mauvais pour la santé que d’entretenir des sentiments négatifs sans pouvoir les chasser de son esprit.

Des gens qui ne cherchent qu’à susciter de votre part que des sentiments négatifs, non par souci du vrai, mais seulement pour voler votre attention – ces trolls, vous cherchez à les éviter à tout prix dans la vie réelle.

Pourtant, dans la vie numérique, ils sont légion : c’est même le fonds de commerce des chaînes d’information en continu.

Elles ne cherchent qu’à vous effrayer sans vous éclairer sur les causes ou les solutions de la peur qu’elles instillent.

Encore pire, elles se complaisent dans la panique, qui est le nanan du journalisme contemporain : la garantie qu’une fois sous le choc, vous ne décollerez plus les yeux de l’écran, hébété, transi.

Voilà pourquoi il est indispensable de se libérer régulièrement du pouvoir de l’image mobile et de ne pas rester devant la télévision ou les réseaux sociaux plus de 2 ou 3 heures par jour.

Car ces « troll », à force d’entretenir des sentiments négatifs, ont tôt fait de nuire à votre santé morale, puis à votre santé toute courte.

C’est donc une hygiène de l’esprit (et du corps) que de savoir décrocher de l’information, même si une information critique, comme celle que nous essayons de vous apporter, reste essentiel.

La panique rapporte gros

La crise économique est là depuis 15 ans. Cela se voit notamment du point de vue artistique. Aucun courant majeur n’est apparu, peu d’œuvres majeures ont été réalisées. L’Histoire stagne.

Pour que l’économie ne s’effondre pas, et surtout, quelle demeure entre les mains de ces financiers qui se retrouvent au forum de Davos, les États ont emprunté encore et encore, de façon à mettre la poussière sous le tapis !

Mais au bout d’un moment, quand il y a trop de poussière sous le tapis, ce n’est plus un tapis. C’est un tas de poussière avec un bout de tissu au sommet.

Donc nous nous retrouvons dans une situation très étrange.

D’un côté, il n’est pas inutile d’avoir peur, car, si demain les monnaies occidentales s’effondrent, il vaut mieux avoir fait des réserves de toutes sortes de nutriments pour éviter d’avoir faim et de tomber malade.

C’est indubitable : une économie aussi internationalisée que la nôtre est en train de vaciller, et je ne fais pas confiance à ceux qui nous ont mis dans cette panade pour nous en sortir.

Mais de l’autre côté, dans leur passion pour le profit, on voit des supermarchés qui se mettent à vendre des rations de survie, comme au Canada par exemple.

On cherche donc aussi à faire du profit sur la panique qu’on vous instille.

La crise économique que nous avons vécu arrive à son terme. Ceux qui ont prévu le coup subiront moins ses effets que ceux qui n’ont pas pu ou voulu anticiper.

C’est un phénomène qui s’est produit tellement de fois dans l’histoire que je serais bien incapable de les compter. L’essentiel, c’est votre santé, avant toute autre chose.

Gardez un environnement physique et psychologique sain, continuez à faire de l’exercice, prenez les informations avec le maximum d’esprit critique, et faites-vous rire au moins une fois par jour !

Car le meilleur moyen de faire face, quand la tempête arrive, c’est de garder son calme et la maîtrise de ses facultés.

Portez-vous bien,

Dr. Thierry Schmitz

 Ukraine Réponse du Général Delawarde à Myard, sur l’affrontement Etats-Unis / Russie

 

Réponse du Général (2S) Dominique Delawarde à Jacques Myard, sur l’affrontement Etats-Unis / Russie en Ukraine

Différence de leadership des armées de Russie et de l’OTAN sur le front ukrainien

Extraits d’un article à retrouver dans son intégralité ici :

https://stratpol.com/comparatif-du-leadership-des-armees-de-russie-et-de-lotan/

En résumé :  il faut être prudent avant d’évoquer les insuffisances du leadership russe.

Si une bonne partie de votre analyse sur les risques de dérapage du conflit ukrainien me semble juste, je reviens sur la phrase: 

“Les renseignements fournis par les Américains ont été décisifs pour contrer l’avancée russe dont l’armée s’est révélée incapable de s’adapter, en raison de concepts militaires d’un autre âge.”

Ancien chef “Situation-Renseignement-Guerre électronique” de l’État-major Interarmées de planification opérationnelle, je ne partage pas du tout cette partie d’analyse qui repose sur une “appréciation de situation” inexacte qui est, en fait, la conclusion d’une prise de position atlantiste biaisée, visant à faire croire aux ukrainiens que la Russie est faible, pour pousser l’Ukraine à résister jusqu’au bout et lui laisser envisager, avec l’aide occidentale, une victoire. Voici mon argumentation:

Jusqu’à preuve du contraire, la Russie n’a pas déclaré de mobilisation partielle et encore moins générale de ses forces pour mener cette “opération spéciale”. Dans le cadre de l’Opération Z, elle n’a utilisé, jusqu’à présent, que 12% de ses soldats (des professionnels ou des volontaires), 10% de ses avions de chasse, 7% de ses chars, 5% de ses missiles et 4% de son artillerie.

Chacun observera que le comportement des élites dirigeantes occidentales est, jusqu’à ce jour, beaucoup plus fébrile et hystérique, que le comportement de la gouvernance russe, plus calme, plus placide, plus déterminée, plus sûre et maîtresse d’elle même, de son action et de son discours. Ce sont des faits.

La Russie n’a donc pas fait jouer ses immenses réserves (réserves qui n’existent quasiment plus en UE). Elle dispose de beaucoup plus d’une semaine de munitions ainsi qu’elle le démontre chaque jour sur le terrain. Nous n’avons pas cette chance à l’Ouest où la pénurie de munitions, l’obsolescence des matériels majeurs, leur maintenance insuffisante, leur faible DTO (Disponibilité Opérationnelle Technique), l’absence de réserve, le manque d’entrainement des personnels, le caractère échantillonnaire des matériels modernes et bien d’autres éléments ne nous permettent pas d’envisager sérieusement, aujourd’hui, une victoire militaire de l’OTAN face à la Russie. C’est bien la raison pour laquelle nous nous contentons d’une guerre “économique” en espérant affaiblir l’ours russe.

Venons-en à la qualité du leadership militaire de la partie russe et comparons la à celle de la “coalition occidentale”.

Le 24 février, les Russes se sont lancés, dans l’urgence, dans une “opération spéciale” préemptive, précédant de quelques jours un assaut des forces de Kiev contre le Donbass.

Cette opération était spéciale parce que l’essentiel des opérations au sol allaient se dérouler dans un pays frère et dans des zones dans lesquelles une partie importante de la population n’était pas hostile à la Russie (le Donbass). Il ne s’agissait donc pas d’une opération classique de haute intensité face à un ennemi irréductible, il s’agissait d’une opération dans laquelle la technique du rouleau compresseur russe, écrasant les forces, les infrastructures et les populations adverses par l’artillerie (comme en Allemagne lors de la 2ème guerre mondiale) était impossible à envisager. Cette opération était spéciale parce qu’il s’agissait davantage, dans le Donbass, d’une opération de libération d’une population amie, otage des bataillons de représailles ukro-nazis, et martyrisée depuis 8 ans, opération dans laquelle les populations et l’infrastructure civiles devaient être épargnées autant qu’il était possible.

Cette opération était donc réellement spéciale et particulièrement difficile à conduire avec en permanence à l’esprit les exigences contradictoires d’obtenir la victoire en avançant et en occupant le terrain, tout en ménageant la population et l’infrastructure civile et la vie de ses propres soldats.

En outre, cette opération a été menée, jusqu’à présent, en infériorité numérique (près de un contre deux), alors que le rapport de force au sol requis en offensive est de 3 contre 1, et même de 5 contre 1 en zone urbanisée. Les forces kiéviennes ont d’ailleurs parfaitement compris l’intérêt de se retrancher dans les villes et de se servir des populations civiles russophones et russophiles comme bouclier humain…

J’observe que, sur le terrain, les forces russes continuent d’avancer, jour après jour, lentement mais sûrement face à une armée ukrainienne qui a réalisé sa mobilisation générale, qui est aidée par l’occident, et qui est sensée se battre pour sa terre…

Mettre en cause la qualité du leadership russe, engagé dans une opération militaire très complexe, menée en infériorité numérique, dans laquelle tout doit être fait pour éviter les dégâts collatéraux excessifs me paraît être une énorme erreur d’appréciation. On prête aussi trop souvent aux russes, en occident, des intentions ou buts de guerre qu’ils n’ont jamais eu, juste pour pouvoir dire que ces objectifs n’ont pas été atteints.

Il est vrai que l’OTAN ne s’est jamais embarrassée de scrupules pour écraser sous les bombes les populations civiles des pays qu’elle agressait (souvent sous des prétextes mensongers), pour contraindre ces pays à demander grâce. (Serbie, Irak, Afghanistan, Libye, etc.). Plus d’un million de bombes otaniennes ont été larguées depuis 1990 sur la planète entrainant la mort directe ou indirecte de plusieurs millions d’individus dans l’indifférence la plus totale des opinions publiques occidentales.

(…)

 « Je dirai qu’il faut être prudent avant d’évoquer les insuffisances du leadership russe ».

Le leadership occidental a également sous estimé les soutiens sur lesquels pouvait compter la Russie dans la guerre économique qui lui est faite (soutien de l’OCS, des BRICS, de très nombreux pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine et même des pays du golfe, producteurs de gaz et de pétrole).

Sur le plan militaire et dans la perspective d’une guerre nucléaire, les occidentaux gagneraient enfin à ne pas sous estimer les performances des vecteurs et des technologies russes.

Il faut être prudent avant de prendre pour argent comptant et de relayer les déclarations péremptoires et les analyses des services de renseignement occidentaux et garder à l’esprit la superbe déclaration de Mike Pompéo, ex Secrétaire d’État américain:

« J’ai été directeur de la CIA et nous avons menti, triché, volé. C’était comme si nous avions eu des stages entiers de formation pour apprendre à le faire »

 Extraits d’un article à retrouver dans son intégralité ici :

https://stratpol.com/comparatif-du-leadership-des-armees-de-russie-et-de-lotan/

Hommage aux résistants morts pour libérer Nice - 28 août 1944

 Véra Sharav, rescapée de l’holocauste : "L’Holocauste a été précédé de 9 ans de restrictions. Hier les Juifs, demain les non-vaccinés !" https://lemediaen442.fr/vera-sharav-rescapee-de-lholocauste-lholocauste-a-ete-precede-de-9-ans-de-restrictions-hier-les-juifs-demain-les-non-vaccines/

Les Conversations - Eric Verhaeghe : fin stratège de la contre-révolution

lundi 22 août 2022

 


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Covid, guerre, vérités : énorme panique du Système !

Exclusif : Entretien avec Daria Douguine, assassinée dans un attentat à ...

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 L’or pourrait être proche d’un prix d’achat, selon ces indicateurs

L’or pourrait profiter de banques centrales moins restrictives

La question est de savoir si la Fed luttera contre l’inflation en remontant rapidement son taux directeur quoi qu’il en coûte, au risque de plonger l’économie en récession, ou si on peut espérer d'ici quelques trimestres une inflexion dans cette politique monétaire plus restrictive, compte tenu d’une croissance économique à la peine, un phénomène qui devrait favoriser de moindres tensions sur l’inflation. Une Fed plus accommodante pourrait mettre les taux réels sous pression, ce qui serait favorable au cours de l’or.

“Certains intervenants estiment qu’au vu de l’ampleur des niveaux de dette atteints, pour les grandes puissances, les banques centrales ne pourront pas durcir de façon trop marquée leurs politiques monétaires”, souligne Arnaud du Plessis.

À LIRE AUSSIOr : un mystérieux (gros) acheteur en soutien

“En 2021, les investisseurs avaient délaissé l’or en faveur d’actifs plus risqués (comme les actions), à raison, puisque les Bourses se sont envolées l’an dernier. Mais cette année, on observe un regain d’intérêt pour l’or, alors que de nombreux investisseurs veulent se prémunir face aux incertitudes liées à l'économie”, relève le gérant. Et si le scénario de la stagflation devait s'imposer, ce serait en théorie un terreau favorable pour une remontée du cours de l’or. Rappelons que dans les années 70, marquées par un tel environnement, le cours de l’or avait connu une trajectoire impressionnante.

Faut-il s’intéresser aux actions de sociétés de mines d’or ?

Les actions de sociétés de mines d’or (compagnies minières aurifères) ont actuellement une situation financière favorable, après une restructuration contrainte par l’effondrement des cours de l’or entre 2011 et 2015. “Le secteur n’est quasiment plus endetté. L’outil de production a été restructuré. Il y a eu un recentrage sur les gisements les plus rentables. Et de nombreux pans de l’industrie pourraient envier les niveaux de FCF (flux de trésorerie opérationnels après investissements) générés actuellement par les compagnies minières aurifères, qui sont sans précédent”, fait valoir Arnaud du Plessis.

À LIRE AUSSIFaut-il acheter de l’or, alors que l’inflation s’emballe ?

Or, les actions des valeurs minières aurifères, quoique volatiles, paraissent historiquement attractives, à l’aune de certaines jauges de valorisation. Ainsi, “même si les cours de l’or ne devaient pas grimper, les mines d’or devraient être en mesure de générer un tel niveau de cash que le marché devrait en tenir compte forcément. En outre, les actions de sociétés de mines d’or sont en retard par rapport au cours de l’or, depuis le sommet majeur de 2011”, souligne Arnaud du Plessis.