lundi 31 mars 2025

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Des juges se pensent au-dessus du peuple souverain Chère amie, cher ami, Depuis des décennies, le camp national et notre famille ont subi tous les coups, toutes les attaques, toutes les injustices. Des juges se pensant au-dessus du peuple souverain ont décidé d’exécuter, dans un tribunal, celle qu’ils n’ont jamais pu faire reculer dans les urnes. Marine Le Pen menait notre camp sur le chemin de la victoire. C’est sa seule culpabilité, c’est bien pour cela qu’elle est condamnée. Personne à droite ne devrait feindre de se satisfaire de ce jugement. Il y a eu François Fillon avant, Marine Le Pen aujourd’hui. Qui sera le prochain ? Je suis plus que jamais aux côtés de Marine dans ce moment. Marion Maréchal Présidente d'Identité Libertés Vice-présidente d'ECR Député au Parlement européen Des juges se pensent au-dessus du peuple souverain Chère amie, cher ami, Depuis des décennies, le camp national et notre famille ont subi tous les coups, toutes les attaques, toutes les injustices. Des juges se pensant au-dessus du peuple souverain ont décidé d’exécuter, dans un tribunal, celle qu’ils n’ont jamais pu faire reculer dans les urnes. Marine Le Pen menait notre camp sur le chemin de la victoire. C’est sa seule culpabilité, c’est bien pour cela qu’elle est condamnée. Personne à droite ne devrait feindre de se satisfaire de ce jugement. Il y a eu François Fillon avant, Marine Le Pen aujourd’hui. Qui sera le prochain ? Je suis plus que jamais aux côtés de Marine dans ce moment. Marion Maréchal Présidente d'Identité Libertés Vice-présidente d'ECR Député au Parlement européen
fuk MACROTTE !https://static-assets-1.truthsocial.com/tmtg:prime-ts-assets/media_attachments/files/114/258/101/114/437/122/original/0db3740168edf0f0.png
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en Ukraine ... ENORME TROMPERIE:/ESCROQUERIE ..... des Prélèvements d ' organes sont faits chez les combattants ukrainiens blessés , ils croyaient avoir une assurance médicale en cliniques ! https://crowdbunker.com/v/5G1py8AJZh

dimanche 30 mars 2025

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Le catharisme (du grec καθαρός / katharós, « pur ») est l'appellation contemporaine d'un mouvement — ou d'un ensemble de mouvements — religieux chrétien médiéval européen en dissidence de l'Église catholique romaine, qui s'est particulièrement répandu dans le Midi de la France au Moyen Âge, entre l'an 1000 et 1210. Dans l’historiographie renouvelée du XXIe siècle, la nature du mouvement — qui ne s'est jamais désigné lui-même avec le qualificatif cathare —, ses origines, ses doctrines, ses rites, ses croyances et son existence même sont l'objet de débats, même si la recherche s'accorde pour reconnaître la réalité d'une lutte de l'orthodoxie romaine contre des hérétiques ayant débouché, au début du XIIIe siècle, sur une « croisade contre les albigeois »[1]. Le terme « cathare » lui-même, repris des écrits de saint Augustin par le moine Eckbert de Schönau au XIIe siècle pour désigner les « hérétiques », a été popularisé en français par l'occitanisme des années 1960 au détriment des expressions « hérésie albigeoise », « albigéisme » et « albigeois » qui étaient préférentiellement utilisées jusque-là. Le terme « cathare », au même titre qu'« hérétique », correspond avant tout à une accusation, et discrimine une pensée et des pratiques religieuses perçues comme différentes et donc menaçantes pour l’Eglise romaine. Dès lors, il convient de ne pas associer forcément le vocable « cathare », utilisé dans le discours polémique des autorités ecclésiales, à des dissidences religieuses, multiples et mouvantes. Les femmes cathares tiennent un rôle prépondérant dans le mouvement cathare. Nombreuses, on les retrouve tant du côté des croyantes que des Parfaites. Les communautés religieuses féminines sont nombreuses dans les églises cathares occitanes, et sont ouvertes sur la société, combinant les fonctions d'un clergé régulier en même temps que séculier. Étymologie Le nom de « cathares » a été donné par les adversaires de ce mouvement et il faut noter qu'il est tout simplement absent des milliers de protocoles de l'Inquisition languedocienne, où il n'est mentionné par aucun inquisiteur, accusé ou témoin de la persécution[2], pas plus qu'il n'est présent chez quelque auteur médiéval ou dans quelque récit de la croisade albigeoise que ce soit[3]. En outre, c'est tardivement qu'il a été adopté par les historiens : c’est en effet seulement depuis les années 1950 que le terme de « cathare » est plus largement préféré à d'autres — auparavant, les chercheurs parlaient plus volontiers d’« albigeois » et d’« albigéisme » – dans une évolution « dont les causes relèvent de l’histoire contemporaine et non de motifs scientifiques »[2]. Exclusivement utilisé par des sources savantes, qui se réfèrent généralement davantage aux hérésies de Rhénanie ou d’Italie qu'à celle du Languedoc, l’histoire du terme « cathare » est ainsi « exclusivement une histoire savante et textuelle, qui ne se confond pas (même si elle la rencontre à partir du XIIe siècle) avec celle des comportements et des idées des populations accusées d’hérésie »[2]. L’origine du terme remonte au grec « καθαροί » (katharoi, qui signifie « purs ») qui est utilisé pour la première fois par Eusèbe de Césarée dans son Histoire Ecclésiastique pour désigner les sectateurs de Novatien, groupe chrétien rigoriste schismatique apparu au IIIe siècle qui refusait la réintégration des lapsi au sein de l'Église. Basile de Césarée qualifie pour sa part les Montanistes de ce terme[4]. Celui-ci est latinisé en cathari par les auteurs latins traitant des hérésies, au nombre desquels Augustin d'Hippone[5]. On retrouve ensuite le terme « cathare » à la fin du XIe siècle, utilisé sous la plume du canoniste Yves de Chartres[2] dans son Prologue[6], où il reprend un passage d’une lettre datée du Ve siècle adressée par le pape Innocent Ier aux évêques de Macédoine à propos de « ceux qui se nomment eux-mêmes cathares, c'est-à-dire purs »[7]. En 1163, le moine bénédictin rhénan Eckebert de Schönau reprend mot pour mot cette formule dans ses Treize sermons contre les Cathares[8] pour désigner ses adversaires dont il dénonce la doctrine et qu'il contribue à faire juger et condamner dans la région de Cologne. Ensuite, en 1164, il compose son Liber contra hereses katarorum (« Livre contre les hérésies cathares ») largement nourri de citations empruntées au De hæresibus d'Augustin. Eckbert précise que les adeptes de ces doctrines sont identifiés sous différentes dénominations : « Ces gens-là, notre Germanie les appelle “Cathares ” [en langue vulgaire], la Flandre “Piphles”, la Gaule “Texera” d'après leur usage du tissage »[9]. Eckbert attribue à ces nouveaux « cathares » des croyances manichéennes qui caractérisaient en fait d'autres sectes décrites par Augustin. Invité par l’archevêque de Cologne Rainald von Dassel à venir débattre publiquement de cette secte dont plusieurs membres venaient d’être brûlés, Eckbert avait conceptualisé le catharisme dès 1155 à partir de différentes traditions manichéennes (cathari, catharistæ et catafrigæ)[10], même s'il peinait à préciser exactement leur doctrine[9]. Le terme apparaît ensuite en 1179, dans le canon 27 du concile de Latran III, tenu sous l'autorité du pape Alexandre III, parmi d'autres noms désignant les hérétiques : « patarins », « publicains », « albigeois et autres… »[11]. Vers 1200, on retrouve le mot dans un ouvrage De hæresi catharorum in Lombardia (« De l'hérésie des Cathares en Lombardie ») et, à la même époque, Alain de Lille, qui n'ignore pas l'étymologie grecque[12], propose plusieurs autres étymologies alternatives dans De fide catholica (« De la foi catholique ») . La première rattache le mot à casti, « chaste », « juste » ; la deuxième au grec kathar, qui signifierait que des cathares suintent le vice[a] ; enfin au mot catus « car, à ce qu'on dit, ils baisent le derrière d'un chat, sous la forme duquel, dit-on, leur apparaît Lucifer »[b]. De nombreuses autres étymologies ont été proposées, souvent fantaisistes. Quoi qu’il en soit, le terme n’est jamais utilisé par les hérétiques eux-mêmes, qui se nomment généralement « bons hommes »[13] et sont simplement nommés « heretici » par l'Inquisition[14]. Vers le milieu du XVe siècle, le terme est utilisé dans les traités polémiques de deux auteurs lombards : vers 1241, le dominicain Moneta de Cremone produit une somme monumentale contre les hérétiques intitulée Adversus Catharos et Valdenses libri quinque ( « Cinq livres contre les Cathares et les Vaudois »)[15] et Raynier Sacconi, prêcheur devenu inquisiteur[16], rédige vers 1250 en Italie une Summa de Catharis et pauperibus de Lugduno (« Somme sur les Cathares et les Pauvres de Lyon »)[17]. Il faut attendre le XIXe siècle pour que le terme réapparaisse : c'est le théologien alsacien protestant Charles Schmidt qui relance l’expression en 1848 avec son Histoire ou doctrine de la secte des cathares ou albigeois[18] dans laquelle il applique de manière générique le terme « cathares » à des individus appartenant à divers mouvements de contestation évangélique ou anti-cléricale, appartenant à la chrétienté occidentale médiévale sans qu'ils soient unis[19], jusque-là nommés de manière différente selon les lieux et les époques[20]. Repris et popularisé en français par l'occitanisme des années 1960 en opposition au centralisme « jacobin » et parisien[21], le terme cathare, s'il manque de neutralité, est celui qui s’est imposé[22], même s'il ne sert jamais dans les sources médiévales à désigner les hérétiques du sud de la France qu'on a dénommés « albigeois » au XIIIe siècle qui s'appelaient ou se faisaient appeler « bons chrétiens » ou « bons hommes »[11]. Apparition et expansion en Europe Possible paternité bogomile ou provenance d’Europe de l’Est On a longtemps hésité sur les liens entre le catharisme et le bogomilisme[23]. Ces deux doctrines furent considérées alors comme proches du manichéisme, car le clergé romain disposait d'ouvrages de réfutation, notamment ceux d'Augustin, ancien manichéen lui-même. Le bogomilisme né en Bulgarie, subsista en Bosnie, où il aurait été la religion officielle jusqu'à la conquête turque, à la fin du XVe siècle. Il faut aujourd'hui revoir de fond en comble la thèse de filiation indirecte (déjà largement critiquée et récusée par Michel Roquebert)[24]. Les historiens réévaluent la possibilité d'échanges et de convergences des doctrines entre « cathares » et « bogomiles », ainsi que leurs origines doctrinales, qui remontent aux premiers siècles du christianisme (écrits canoniques de saint Paul, doctrine de Marcion, doctrine de Valentin). Les recherches menées sur les sources grecques et orientales (Pierre de Sicile) montrent que la doctrine bogomile aurait été transmise par les pauliciens expatriés volontaires ou chassés de l'Arménie (Turquie actuelle) vers la Thrace bulgare au VIIe et au IXe siècle. La doctrine paulicienne avait été fondée au VIIe siècle en Arménie par Constantin-Silas, aussi connu sous le nom de Constantin de Mananalis[25], à la suite de la transmission d'évangiles et de lettres pauliniennes par un diacre possiblement marcionite vu la région et l'époque considérées. Le lien est encore plus patent lorsque l'on examine le fondement doctrinal faisant référence au dieu étranger et inconnu notamment[c]. Apparition en Europe occidentale Des communautés hérétiques sont apparues en Europe occidentale vers l'an Mil, sous différents noms selon les régions : manichéens, néo-manichéens (terme de Bernard Gui), origénistes, piphles, publicains, tisserands (nord de la France), bougres, patarins (terme utilisé surtout en Italie), albigeois, en Allemagne, en Autriche[d], en Flandre, en Champagne, en Bourgogne. Le fait que les relevés doctrinaux soient conformes à la base de la doctrine cathare (au sens large du terme) permet de relier ces différentes émergences, même si la répression les a fait disparaître de ces régions. La présence de l'évêque de France à Saint-Félix-Caraman, cité dans la Charte de Niquinta (dont l'authenticité est largement contestée par une partie de la recherche contemporaine ainsi que l'est sa teneur), a servi d'argument pour les défenseurs d'hypothétiques liens entre ces communautés du Nord et celles d'Occitanie. Persistance dans le Midi de la France La croix occitane, fut un « symbole de ralliement cathare »[26], puisqu'elle fut la croix des armoiries des comtes de Saint-Gilles, devenues celle des comtes de Toulouse, puis du Languedoc, avant la croisade catholique et l'Inquisition visant à éradiquer le catharisme[26]. Les réactions des autorités civiles ou ecclésiastiques et des populations expliquent cette géographie du catharisme et sa persistance dans le Midi. Selon Michel Roquebert, cette tolérance religieuse est peut-être due à une longue cohabitation avec d'autres confessions : arianisme de la période wisigothe, proximité de l’Espagne islamique, présence de nombreux Juifs. Pour ce qui est de l'Italie du Nord, l'implantation du catharisme, très différent de celui qui se développa en France, profite du conflit entre le pape et l'empereur. C'est dans ces régions que les bons hommes se sont organisés en communautés d'hommes ou de femmes dirigées par des anciens, des diacres et des évêques. Ces communautés étaient constituées de plusieurs « maisons ». On y aurait souvent pratiqué des métiers liés à l’artisanat local, et fréquemment le tissage, en référence aux premières communautés chrétiennes. Plusieurs communautés constituaient une Église, ou diocèse cathare, à la tête duquel se trouvaient des évêques. Au XIIIe siècle, en 1226, un nouvel évêché fut créé, celui du Razès, dans la région de Limoux[27][réf. à confirmer]. Les femmes cathares tiennent un rôle prépondérant dans le mouvement cathare. Nombreuses, on les retrouve tant du côté des croyantes que des Parfaites. Les communautés religieuses féminines sont nombreuses dans les églises cathares occitanes, et sont ouvertes sur la société, combinant les fonctions d'un clergé régulier en même temps que séculier[28]. Des recherches dans les années 2000 ont démontré que cette hérésie a été largement instrumentalisée notamment par Raymond V, comte de Toulouse. C'est ce que l'on peut voir dans sa lettre écrite en 1177 au chapitre général de Cîteaux. En effet, c'est avant tout pour se protéger des Plantagenêt — qui dominaient Maine, Anjou, Normandie, Aquitaine et Angleterre — qu'il fait condamner en 1165 des bons hommes à Lombers[29]. L'importance de l'hérésie cathare a souvent été exagérée par les premiers écrivains et historiens du catharisme, puis par les mouvements régionalistes les évoquant. Les études actuelles rappellent que le phénomène cathare est très minoritaire, mais concerne quand même entre 2 et 5 % de la population du midi languedocien[30]. Néanmoins, « les Consuls de Carcassonne avaient bien souligné, dans un Appel au Pape, l'une des conséquences les plus désastreuses de la terreur inquisitoriale : le dépeuplement de certaines régions occitanes. […] Il est certain qu'après la chute de Montségur (1244) et dans les dernières années du XIIIe siècle, beaucoup de gens qui ne se trouvaient plus en sécurité dans leur patrie se réfugièrent en Catalogne, en Sicile, à Raguse, en Dalmatie, en Corse, et surtout en Lombardie »[31]. La majorité des cathares qui fuyaient étaient des commerçants et des artisans ; contrairement aux nobles qui dans l'ensemble n'émigraient pas, « à moins que leur tête n'eût été mise à prix [comme les défenseurs de Montségur]. Ils préféraient prendre le maquis chez eux, se nourrissant de l'espoir qu'ils finiraient par recouvrer leur château »[32]. Les Églises cathares L'élaboration institutionnelle du catharisme ressemblait à celle du manichéisme perse (le prophète Mani se déclarait successeur de Zarathoustra, Bouddha et Jésus-Christ) : il y avait deux sortes de membres, les « auditeurs » (dans le manichéisme) ou « croyants » (dans le catharisme), au premier niveau, et au niveau d'initiation élevée, il y avait les « appelés » (dans le manichéisme) ou les « parfaits/bonshommes » (dans le catharisme). Ces derniers étaient chargés pleinement du Salut. Dans le manichéisme comme dans le catharisme, ils s'interdisaient toute parole haineuse, la consommation de chair animale et de sang, et d'engendrer des enfants[33]. La doctrine cathare Fondements Article détaillé : Textes cathares. Le catharisme ne s'appuie pas sur une théologie puisqu'il considère que Dieu, inconnaissable et non accessible, est absent de ce monde. Cette doctrine est le fruit d'un travail de recherche scripturaire, prenant en compte le Nouveau Testament, notamment l'Évangile selon Jean[e] et l'Évangile selon Luc. Le Nouveau Testament est traduit au XIIIe siècle en occitan[34]. Il a longtemps été admis que ces initiatives ont été mal perçues par la papauté qui, sous le pontificat d'Innocent III, aurait interdit les traductions de la Bible en langue vulgaire[35]. Guy Lobrichon écrit : « En temps normal, les autorités ecclésiastiques ne songent pas à limiter la diffusion de telles traductions, et les interdisent encore moins. Innocent III, dans une lettre fameuse à l’Église de Metz, ne s’en prend nullement aux traductions de la Bible, mais aux interprétations qui peuvent émaner des conventicules néfastes des hérétiques. Lorsque le Concile de Toulouse (1229) décrète l’interdiction formelle pour les laïcs de posséder des traductions en langues romanes, il émet une ordonnance de police, dans la foulée d’une répression active qui paraît limitée aux domaines du comte de Toulouse »[36]. Il ajoute : « Léonard E. Boyle a fait justice d’une opinion qui court encore les manuels d’histoire »[37]. Dans le catharisme, Jésus-Christ est comparé, par sa kénose, à un oiseau, « un pélican qui est lumineux comme le soleil et qui accompagne le soleil […] afin que le mal ne pût à l'avenir mutiler ses petits [les créatures de Dieu] et leur enlever le bec. »[38]. Sur l'Esprit-Saint et l'esprit en général L'esprit est transmis, soit par les générations depuis le premier homme, soit par transmigration dans un nouveau-né après la mort (réincarnation)[39]. C’est uniquement par le Saint-Esprit que l'esprit peut être libéré du monde physique, et c’est par le baptême, par imposition des mains[40], reçu par les apôtres et transmis par eux, que l’esprit pourra accéder au Salut. Pratiques, sacrements et rites Les cathares, se considérant alors comme les seuls vrais disciples des apôtres, souhaitaient adopter le modèle de vie, les rites et les sacrements, des premières communautés chrétiennes. Ils s'appuyaient principalement sur les enseignements du Nouveau Testament, et leur unique prière était le Notre Père. Les cathares rejetaient aussi la guerre, l'Enfer, l'Incarnation et l'Ancien Testament (à l'exception des Livres des Prophètes)[41]. Ils considéraient que toutes les pratiques et sacrements instaurés progressivement par l'Église dès les premiers siècles n’avaient aucune valeur : le sacrement du baptême, que les prêtres confèrent notamment aux nouveau-nés[f] : une des justifications données à ce rejet du baptême sur les enfants était que le baptême par l'eau faisait pleurer les nouveau-nés (était donc donné contre leur gré), comme la circoncision juive, et n'avait ce faisant aucune valeur morale aux yeux des cathares[26] ; le sacrement de l'Eucharistie : ils refusent de croire en la transsubstantiation, c'est-à-dire la transformation du pain et du vin en corps et sang du Christ lors de leur consécration par le prêtre lors de la messe. En revanche, en mémoire de la dernière Cène du Christ avec ses apôtres, les cathares bénissaient le pain lors du repas quotidien pris avec leurs fidèles. C’était le rituel du « pain de l’Oraison » ; le sacrement du mariage, celui-ci légitimant à leurs yeux l'union charnelle de l'homme et de la femme, union à l'origine du péché originel d'Adam et Ève selon leur interprétation de la Genèse : « [Les cathares] se montraient simplement moins rigoristes en ce qui concerne le péché de chair [que les catholiques]. […] On sait que pour les Parfaits tout acte de chair retardait indéfiniment le salut ; mais ils n'imposaient pas la continence à ceux qui ne se sentaient ni le désir ni le pouvoir de la garder. Aussi ne faisaient-ils aucune différence entre le mariage légal et le concubinat : ils permettaient l'un et l'autre aux simples Croyants. […] Le mariage, tel que les cathares et la plupart des hérétiques méridionaux l'ont conçu, n'était point sacramentel et ne devait reposer que sur l'amour, le consentement et la fidélité réciproque. Pour Pierre Clergue, de Montaillou, le mariage est parfaitement accompli lorsque chacun des conjoints a promis sa foi à l'autre. » Les Parfaits pouvaient dissoudre le mariage quand le divorce était jugé nécessaire[42] ; la médiation des saints et le culte des reliques. De même que, dans certains courants de l'Église chrétienne primitive, l'idéal cathare était fondé sur une vie ascétique, alors que le sacrement du mariage aurait été créé plus tardivement. Ils n'attachaient pas d'importance aux églises bâties qui n'étaient pas pour eux les seuls lieux du culte, car la parole du Christ peut être enseignée partout où se réunissent les fidèles. Enfin, leur seul sacrement est le baptême par imposition des mains. Toutefois, ce baptême ne peut être administré à un jeune enfant de moins de 13 ou 14 ans, car il est jugé inapte à discerner l'importance de cet acte[g]. Le baptême cathare, nommé consolamentum, devait être administré à une personne en connaissance de cause et sur la base de sa conviction. Le melhorament Article détaillé : melhorament. Le melhorament (« amélioration » en occitan) est à peu près le seul rite que les croyants cathares devaient pratiquer. Quand un croyant rencontrait un parfait, c'était la reconnaissance du croyant dans la présence du Bien et de l'Esprit Saint en la personne du parfait. Le consolament Article détaillé : consolamentum. Le sacrement du consolament (« consolation » en occitan, du latin consolamentum) ou « baptême d'esprit et de feu » par imposition des mains et de l'évangile de Jean sur la tête du postulant, est le seul à apporter le salut en assurant le retour au ciel de la seule partie divine de l'homme : l'esprit. Il est le point de départ d'un choix de vie en accord avec la doctrine cathare (justice et vérité), permettant à la nature divine de l'impétrant de se détacher partiellement de la nature mondaine ou charnelle, et d'accéder au salut. Le consolament officialise donc le choix du novice ou du mourant à mener une vie chrétienne. Il n'est que la reconnaissance d'un état et non un apport d'une qualité extérieure[h]. Ce sacrement jouait un rôle essentiel dans les communautés cathares car il était à la fois sacrement d'ordination et de viatique (extrême-onction), alors appelé « consolament des mourants ». Le consolament était conféré par un membre de la hiérarchie et engageait celui qui le recevait dans une vie religieuse qui, comme toute ordination, suppose de prononcer des vœux et de respecter une règle. Ici il s'agissait de pratiquer l'ascèse, de s'engager à ne pas manger de nourritures provenant des animaux (viandes, œufs, lait, graisses animales…), de pratiquer la morale évangélique, comprise comme l'interdiction de jurer, de mentir, et de tuer. Il faisait d'un croyant cathare un bon homme ou une bonne dame, membre du clergé, prédicateur, et capable d'apporter lui-même le consolament aux mourants. Le consolament était donc aussi administré aux mourants qui en faisaient la demande, c'est-à-dire aux simples croyants qui n'avaient pas franchi le pas de l'ordination durant leur vie, mais souhaitaient rencontrer le Saint-Esprit, leur donnant une chance d'accéder au salut avant de mourir. Les prières des « parfaits », bons hommes ou bonnes dames, après la mort du consolé, pouvaient durer encore quatre jours. Refus de la propriété privée Le catharisme était opposé à la propriété privée[43], en particulier pour l'usage des terres. La terre ne doit « appartenir » en principe qu'à celui qui la travaille, et non à un quelconque propriétaire n'en ayant point l'utilisation directe ; le catharisme refusait clairement la féodalité de l'époque, etc., d'où son succès parmi les travailleurs non possédants[26]. L'idée que les cathares étaient des adversaires de la propriété privée est parfois débattue[44].[Passage problématique] La vie des « parfaits » et « parfaites » Travail manuel et vie communautaire Étant ordonnés, les parfaits entraient dans un ordre religieux, mais sans sortir du siècle. Ils étaient en effet astreints au travail manuel pour vivre, ce qui leur donnait un avantage considérable pour leur prédication, en les maintenant au contact de la population qu'ils instruisaient directement, via des traductions des Écritures saintes en langue vernaculaire, contrairement au clergé catholique qui refusait à l'époque l'accès direct du peuple aux textes sacrés. Cela leur rapportait également l'argent du produit de leur travail. Cet argent leur permettait, par exemple, de se déplacer et, avec les dons et les legs, de créer les conditions de l'existence d'une hiérarchie. En revanche la pauvreté personnelle était prescrite. Les cathares vivaient dans des « maisons de parfaits », intégrées aux villes et aux villages, qui leur permettaient de rencontrer la population et de prêcher, et leur servaient d'atelier. Des jeunes y étaient envoyés par leurs parents simples fidèles ou déjà ordonnés, pour leur formation en vue de leur propre ordination. Tout « parfait » rejoignait une maison de « parfaits », et y travaillait de ses mains, y compris les nombreuses épouses nobles et leur progéniture qui faisaient partie des rangs des cathares. Le sacrement de mariage n'étant pas reconnu, elles se séparaient de leur mari, généralement lui-même simple croyant. Le consolament des mourants pouvait être conféré dans les maisons des « parfaits », dans laquelle le consolé était transporté et mourait. Lorsque vint le temps des persécutions, les « parfaits » durent se cacher chez des fidèles, mais ils y payèrent toujours leur nourriture par le travail manuel. Rejet de la sexualité Pour le cathare, Dieu étant absent de ce monde, le Bien se confond avec le spirituel et le monde matériel est vu comme mauvais. Non seulement le cathare ne doit pas participer à ce monde matériel en ayant des enfants, ce qui reviendrait pour lui à emprisonner une âme dans un corps créé par le principe Mauvais, mais le corps, le plaisir sexuel sont aussi mauvais : la sexualité est une impureté[45]. Néanmoins, dans la pratique, la chasteté n'impliquait que les « parfaits » voués totalement à la religiosité cathare ; les simples croyants du catharisme étaient libres d'avoir des relations sexuelles mutuellement consenties (et même hors mariage, puisque le mariage catholique était vu sans aucune valeur), par goût de plaisir érotique réciproque ou ne serait-ce que pour permettre à des âmes de se réincarner dans une famille cathare, une cathare ayant par exemple déclaré à un inquisiteur : « Bien que toute union charnelle de l'homme et de la femme déplaise à Dieu, je ne crois pas pourtant qu'ils commettent un péché, si cela est agréable à l'un et à l'autre »[46]. Vie apostolique Avec l'intention de se rapprocher des premiers chrétiens, les « parfaits » cathares envisageaient un salut passant par un grand zèle religieux, parfois jusqu'à l'ascétisme. Afin de ne pas procréer[réf. nécessaire][i], ils étaient astreints à l'abstinence sexuelle[j], et devaient constamment aller par deux personnes du même sexe. Chacun avait son sòci, ou compagnon, ou sa sòcia pour les femmes. Cette prédication au coin du feu de deux personnes de même sexe conduira à l'accusation de bougrerie (c'est-à-dire d’homosexualité) fréquemment enregistrée dans les registres de l'Inquisition. Cette façon de vivre toujours au moins à deux tenait à la conviction que l'esprit seul ne peut éviter de se fourvoyer alors qu'avec au moins un compagnon ou une compagne, les tentations de la chair sont plus faciles à combattre. Les « parfaits » ne devaient ni mentir, ni jurer[k], s'abstenir de tout vice, de toute méchanceté, en un mot être simplement de bons chrétiens selon les Évangiles. Cela devait inévitablement conduire à l'édification de toute la population chrétienne. Néanmoins, le catharisme toucha essentiellement une population bourgeoise ou noble, sauf dans la dernière période. Outre l'interdit du meurtre, les « parfaits » ne devaient pas tuer les animaux. Ils devaient s'abstenir de toute consommation de produits animaux car issus de la reproduction animale. En cela ils s'interdisaient toutes viandes. Le jeûne était de pratique courante, mais le jeûne le plus strict prévoyait du pain et de l'eau. Trois carêmes annuels étaient pratiqués. L'« endura » est un jeûne à mort, suivant le consolament et qui a pu conduire certains « parfaits » à la mort pendant l'inquisition en raison de situation particulière. Dernière obligation faite surtout aux hommes : la prédication. Les « parfaits » devaient prêcher le salut par l'ordination du consolament et la morale évangélique. Cette prédication se faisait dans les maisons ateliers, mais également parfois chez des fidèles ou sur la place publique. Refus de l'alimentation carnée Article détaillé : Végétarisme#Religions abrahamiques. « Dès la fin du XIIe siècle dans le Midi de la France, « manger de la viande » et se convertir au catholicisme sont synonymes. » — René Nelli, La Vie quotidienne des Cathares du Languedoc au XIIIe siècle, 1969. Pour les cathares, l'abstinence de nourriture animale n'est pas une privation[47]. Guilhem Bélibaste, dernier « parfait » cathare connu, a dit à propos des pratiques de privations catholiques : « le jeûne que vous faites vaut autant que le jeûne du loup »[26]. Il s'agit plutôt d’un prolongement de l’interdit du meurtre à toute vie animale. Le catharisme, là encore, se distingue par son interprétation des Prophètes d'Israël (les seuls écrits de l'Ancien Testament acceptés par le catharisme), ces Prophètes d'Israël étant considérés comme rejetant les pratiques sanglantes pour obtenir de la viande, même sous couvert d'un culte religieux (avec Osée, VI, 6 ; Michée, VI, 6-7-8 ; Isaïe). En effet, tous les animaux, dans la perspective cathare, sont susceptibles d'avoir reçu une âme céleste[26] ; la théorie de ce principe est expliqué ainsi par un parfait cathare : « Les esprits déchus habitent et entrent dans les corps qui se présentent indifféremment, comme ils le peuvent, entrant aussi bien dans le corps des bêtes que dans un corps humain. […] Les esprits des animaux fuient ce qui leur est nuisible et recherchent ce qui leur est profitable. C'est pourquoi c'est un égal péché de tuer un animal ou un homme puisque l'un comme l'autre est doué de raison et de connaissance. » — cité par Jean Duvernoy, La religion des cathares, Bibliothèque historique Privat, p. 64[48]. Le végétarisme cathare était un refus de commettre la violence à l'égard d'une créature « ayant du sang », principe pour eux des « vrais chrétiens » : « Si un criminel dangereux les attaquait, ils pouvaient se défendre ; tuer la vipère ou le loup. Encore qu'à l'époque du catharisme triomphant, un « parfait » ne l'eût sans doute point fait, car il était aussi grave de tuer une bête « ayant du sang » que de tuer un homme. » — René Nelli, la vie quotidienne des Cathares du Languedoc au XIIIe siècle[26]. On retrouve, à l'autre extrémité de la période cathare, des indications explicites de l'idée d'âme reçue également par toute vie animale : deux femmes de Montaillou (Ariège), vers 1300, discutent religion : « ma commère, ce serait un grand péché de tuer cette poule ! – Est-ce un si grand péché de tuer une poule qu'on le dit ? – Oui, car dans notre religion, les âmes humaines, quand elles sont sorties des corps des hommes et des femmes, se mettent ou s'introduisent dans des poules[26] ». Le refus de tuer la volaille est un topique de la littérature médiévale[26] : un inquisiteur dénonce à l'empereur les cathares amenés à Goslar par le duc Gérard Ier de Lorraine vers 1053, un autre inquisiteur fait brûler un Toulousain qui lui avait répondu qu'il ne voyait pas quelle faute avait commise ce coq, pour qu'il dût le tuer (vers le milieu du XIIIe siècle)[26] ; le même fait brûler deux dames de Foix dont les déguisements de maures lors de leur fuite n'avaient pas abusé leur aubergiste toulousaine, qui renseignait l'inquisition : prétextant qu'elle s'en allait faire le marché, l'aubergiste leur demanda de tuer et de plumer les poules pendant son absence afin de l'avancer dans son travail ; comme lorsqu'elle fut revenue les poules étaient toujours vivantes, l'aubergiste ne dit pas un mot, appâtée par la prime promise aux délateurs ; elle ressortit et revint avec deux sergents de l'Inquisition qu'elle avait déjà alertés[26]. Cette épreuve remplaçait avantageusement les ordalies en usage si longtemps contre les hérétiques dans le nord de la France[26]. Les poulets ne sont pas seuls en cause[26]. Les cathares fréquentaient les paysans et essayaient de modifier leur mentalité[26]. Ils leur recommandaient, par exemple, de traiter les animaux avec douceur[26]. Si les parfaits tombaient par hasard sur un animal pris au piège, ils avaient le devoir de le délivrer, mais, de ce fait, ils causaient un dommage au chasseur. Alors, bien que leur rituel ne leur en fît pas obligation, ils faisaient partir le lièvre et laissaient à sa place une pièce de monnaie[26]. La fin du mouvement cathare Les Inquisiteurs exigeaient des sympathisants hérétiques — seulement en tant que premiers repentants (en cas de récidive, il y avait condamnation au bûcher) — qu'une croix latine jaune fût cousue sur leurs vêtements, l'une sur le dos l'autre sur la poitrine, signe d'infamie[49]. Ils restaient sous la surveillance active des recteurs qui chaque dimanche les frappaient avec des verges[26]. Un sujet d'inquiétude pour l'Église En 1119, le pape Calixte II réunit un concile à Toulouse. Celui-ci dénonce notamment les déviants qui condamnent les sacrements du Baptême, de l'Eucharistie, du Mariage et le Sacerdoce et enjoint au comte de Toulouse de sévir contre eux. L’Église juge le catharisme dangereux car il décourage la procréation, puisqu’il considère le corps comme une chose mauvaise et les rapports sexuels comme impurs. Quant aux femmes enceintes, Rome n'admet pas que les hérétiques considèrent que leur âme ne peut être sauvée si elles meurent pendant la grossesse. La pratique du jeûne intégral, appelé « endura », est également condamnée comme une forme de suicide[50]. Mais l’Endura (dont l'équivalent dans l'hindouisme et le jaïnisme est le Prayopavesa ou Sallekhana) n'était « valable que pour ceux qui allaient mourir » (afin d'abréger les souffrances de l'agonie dans un détachement ascétique) ; de plus, les « Croyants ayant reçu le Consolamentum choisissait librement de se laisser mourir. […] Des malades, écrit Rainier Saconi, qui ne pouvaient plus dire le Pater, aimaient mieux mourir d'inanition que de pécher, et ils demandaient à ceux qui les servaient de ne plus les alimenter. […] L’Endura a toujours été, cependant, exceptionnelle »[51]. En 1139 a lieu le deuxième concile du Latran. La présence des hérétiques dans le Midi de la France inquiète l'Église Catholique qui envoie Bernard de Clairvaux, fondateur de l'Ordre des Cisterciens, et le cardinal-évêque d'Ostie en inspection dans la région de Toulouse et d'Albi. Motif supplémentaire de crainte, les hérétiques ont recruté à Toulouse de « riches personnages » et des chevaliers de la région se sont également laissés entraîner. Pire encore, la doctrine séduit « des clercs, des prêtres, des moines et des religieuses »[52]. En 1163, le concile de Tours fustige « l'hérésie condamnable qui a surgi il y a longtemps dans le pays de Toulouse ». Enfin, en 1167, le concile de Saint-Félix de Lauragais permet de mesurer l'ampleur de l'hérésie et redéfinit les territoires des différents évêchés en sus de celui d'Albi, Toulouse, Agen et Carcassonne. Causes de la persécution L'Église s'inquiétait beaucoup de l'hostilité cathare envers la maternité et la famille. Les croyantes enceintes étaient mises en garde de porter des démons dans leur ventre. Une « perfecta » conseillait une croyante de prier Dieu pour être libérée du démon dans son ventre ; une autre avertissait une femme enceinte que si elle était morte pendant la grossesse, elle ne pouvait pas être sauvée[53]. Mais ces apostrophes de Parfaites refusant la maternité furent assez exceptionnelles[54], car « les Parfaits enseignaient que, tant que l'appétit des plaisirs charnels n'était pas éteint, les réincarnations étaient nécessaires pour purifier les âmes […]. De toute façon, on ne voit pas que le Languedoc se soit dépeuplé aux XIIe et XIIIe siècles, sinon, dans une certaine mesure, par l'effet des guerres et de la persécution »[54]. Ainsi que beaucoup d'autres mouvements dissidents ou contestataires tels que l'arianisme ou le valdéisme, les cathares deviennent l'objet d'une lutte permanente. L'Église romaine tente de protéger la chrétienté occidentale des hérésies mettant en péril la société féodale qu'elle tente de discipliner depuis le début du Xe siècle. Un critère qui sera souvent utilisé est leur refus du mariage, qui permettra de les nommer orgiaques et impies. Les tentatives d'éradication de l'hérésie par la prédication Dispute entre saint Dominique et des albigeois, où les livres des deux parties furent jetés au feu pour une ordalie. L’histoire raconte que ceux de saint Dominique furent miraculeusement préservés des flammes. Peinture par Pedro Berruguete. L'Église catholique confie aux cisterciens, au XIIe siècle, puis, avec plus de succès, au XIIIe siècle, aux ordres mendiants (aux franciscains et au nouvel ordre des dominicains, ayant reçu leur constitution en 1216) le soin de combattre ce danger de l'hérésie. Les cathares sont difficiles à convaincre. La prédication ou le débat doctrinal instaurés à cette fin dans le Midi de la France par l'Église tourne court pour le moment, malgré la prédication de saint Dominique, qui fut par la suite mise en valeur par l'Église. La croisade contre les albigeois Article détaillé : croisade des albigeois. Face à cet échec de faire disparaître cette hérésie ainsi que celle des vaudois, le pape Innocent III lance en 1208 contre les « albigeois[N 1] », ou cathares, la première croisade qui se déroulera sur le territoire de la chrétienté occidentale. L'objectif ecclésiastique de la croisade contre les albigeois est de mater une hérésie, mais pour les chevaliers participants, le riche comté de Toulouse est une proie de choix, moins loin que la Terre sainte. Philippe Auguste, roi de France, en guerre contre le roi d'Angleterre Jean sans Terre et réticent à voir le pouvoir pontifical s'octroyer le droit de démettre un suzerain, ne veut pas participer personnellement à cette croisade. Il laisse toutefois ses vassaux libres de toutes actions. La guerre durera vingt ans (1209–1229). Eudes III, duc de Bourgogne, le comte de Nevers et le comte de Saint-Pol prennent la tête des troupes levées par le pape. Le pouvoir spirituel est assuré par Arnaud Amaury, qui nomme Simon IV de Montfort chef de la croisade. photo couleur montrant un château vu de la cour intérieure. Une tour, au fond, est reliée à deux murailles percées de trous montrant des emplacements de poutre anciens. Le château de Montségur, pris en 1244 après un siège de plusieurs mois, et reconstruit vers la fin du XIIIe siècle. L'ost croisé s'ébranle au début de l'été 1209. Le siège de Béziers s'achève sur le massacre de la population, puis le siège de Carcassonne s'achève avec la capture et l'assassinat du vicomte Raimond-Roger Trencavel. En 1210, le nouveau vicomte guerroie dans les environs de Carcassonne pour asseoir son autorité. L'été, il bénéficie de renforts croisés venus du nord, mais l'hiver, il ne peut compter que sur une poignée de fidèles dont Guy Ier de Lévis et Bouchard de Marly. En 1211, le comte de Toulouse Raymond VI est excommunié ; ce fait autorise Simon de Montfort à attaquer son fief. Il conquiert d'abord l'Albigeois puis mène en vain le siège de Toulouse. Pierre II d'Aragon prend alors la mesure du danger d'une conquête française de l'Occitanie sur laquelle il lorgne. En 1212, il joint ses troupes à celles du comte de Toulouse et assiège Muret où est enfermé Simon de Montfort. Lors de la bataille, le roi d'Aragon est tué. Le comte de Toulouse se retire mais les milices toulousaines sont massacrées. Cette victoire croisée consacre le triomphe de Montfort et une période de paix relative suit en 1214-1215. Manuscrit du XIIIe siècle représentant un cathare mourant dans un bûcher. Le conflit reprend en 1216, par le siège de Beaucaire. En 1217, Toulouse se révolte et les croisés assiègent Toulouse au printemps 1218 ; Simon de Montfort y est tué. Son fils Amaury VI de Montfort reprend la lutte mais perd progressivement toutes les conquêtes de son père. En 1224, il cède ses droits en Languedoc au roi de France Louis VIII. Le rapport de force s'inverse et la puissance royale oblige le comte Raymond VII de Toulouse à se soumettre au roi. En 1229, il signe le Traité de Meaux-Paris où il donne en épouse sa fille Jeanne, unique héritière, au frère du roi, Alphonse de Poitiers. La croisade armée prend fin et la paix revient. Une période de prospérité débute, matérialisée par une forte augmentation de la population ; pour la loger, la région se lance dans la construction de nombreuses bastides. L'Inquisition Deux cathares condamnés par les dominicains (détail d'Autodafé présidé par saint Dominique de Guzmán, par Pedro Berruguete, vers 1493-1499, musée du Prado). La répression contre les cathares commence dès le début de la croisade : les hérétiques pris ont le choix entre revenir dans le giron de l'Église catholique romaine ou périr sur le bûcher. La paix revenue, en février 1231, Grégoire IX publie la constitution Excommunicamus, qui prescrit la détention à vie pour les hérétiques repentis et la peine de mort pour les hérétiques obstinés. Il confie la mission d'éradication à l'Inquisition, confiée aux ordres religieux des Prêcheurs, ou Dominicains, du nom de son fondateur Dominique de Guzmán et Franciscains. Leur mission repose sur l'emprisonnement des hérétiques et leur questionnement pour révéler la liste de leurs coreligionnaires. Les arrestations se font en série et ne touchent pas les catholiques pratiquants. Cet état de fait permet un essor économique après les ravages de la croisade. Les opérations militaires ne cessent pas pour autant. La plus connue est le siège de Montségur en 1243-1244 et la mort sur le bûcher de plus de 200 croyants cathares. L'histoire a retenu le nom de Guilhem Bélibaste comme étant le dernier cathare brûlé en 1321 à Villerouge-Termenès.
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samedi 29 mars 2025

31 mars: Mega Silver Squeeze & la coline Fiat est en feu

CHUTE BITCOIN https://static-assets-1.truthsocial.com/tmtg:prime-ts-assets/media_attachments/files/114/249/775/237/225/971/original/940f6426fb326989.png
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Michel Cau Pâques approche...🔔🔔🔔 Prions comme un seul Homme , sortons des Temples , des Mosquées, des Synagogues , des Églises et des Cathédrales ... Dieu en parlant de bâtir, ce n'était pas des temples ces maisons fermées ... Comprendre les messages du Christ, c'est de nos cœurs qu'il voulait parler... "Allez et Bâtissaient la PAIX dans vos cœurs " Sortaient tous de vos maisons et de vos Temple , votre terre , la nature , la faune , la flore , les mers , le soleil , les astres les étoiles vous attendent , c'est l'étoile du berger ... J'ai envoyé des signes dans le ciel , les forces célestes sont là parmis vous Peuples et Nations en guerre , Pierre sur cette pierre je batirais mon Église ... Ce n'est pas de "Rome" dont t-il s'agissait, C'est de la vie éternelle qui bât dans votre poitrine , c'est ça la pierre dont je parlais , Dieu est en nous tous , votre cœur ❤️ est celui qui doit battre pour la paix. Et comme disaient les Cathares ( les premiers et les vrais Chrétiens) pratiquant l'abstinence durant 40 jours avant Pâques, c'est eux qu'il fallait suivre et plus tard les Templiers ( ne pas confondre avec la trilatérale satanique ) qui s'emploie à aider le malin à détruire le "Paradis"cette terre que mon père vous avez confié. ✝️ Saint-Michel et ses Légions Célestes sont prêts, Notre Dame est là , son message a été clair, elle est dehors au dessus de la terre , c'est la "Maman du Ciel" . Comprendre le message du feu céleste ... Je suis au dessus de vous , dans le ciel , dans l'eau , dans une grotte , dans l'air , c'est la puissance de Dieu , Père, Fils et Saint Esprit , Sortaient de vos systèmes terrestres et terroristes, Satan à perdu , Saint-Michel Archange et la Sainte armée ont gagné... Ouvrez les yeux , Dieu est en vous , l'ange déchu et les forces du mal sont terrassés , voici votre terre que vous avez sali et pollué de vos péchés... Les forces du bien ont gagné ! Les signes ont pourtant étaient vu du monde entier ,France fille aînée de l'église tu as eu le signe suprême " le feu sacré , la flamme et la lumière que les êtres de lumière ont vu , quand la flèche est tombée...Rappelle toi Notre Dame est au ciel.... ✝️Ils frappent des enfants Juifs et leurs Familles ,c'est de nos Frères dont ont parle ! Peuple de Dieu , nous sommes tous Frères et sœurs devant l'éternel ... En ces temps de carême nos prières vont à tous d'abords aux victimes des démons qui se permettent de dire qu'ils tuent et massacrent au nom de dieu ( c'est faux , notre Dieu à Tous fera payer cette infamie )! À ces hommes qui font du mal... Jésus a dit : " Dans chaque Homme que Dieu fait et même le plus mauvais...Il y a un coin de ciel Bleu et je m'y trouve"... Parole de notre Seigneur , Père , Fils et Saint Esprit. Que les Nations protègent les enfants d'Israël et que les frères et sœurs du Monde s'agenouillent devant le très haut. Que la paix entre les Peuples Juifs , Musulmans, Chrétiens et toutes les autres Nations de notre terre Sainte , s'unissent et banissent la guerre , pour qu'enfin les serpents soient définitivement terrassés ! Celui qui touche à l'enfant devra en répondre devant le très haut ! Ainsi soit-il .. Amen . Déo Gracias "Non Nobis domine non nobis sed nomini tuo da gloriam " Jacques-Marie de Sainte-Cluque Ordre de Saint-Jacques de France.✝️ ✝️Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem
L'Informateur France : Macronie en PLS : perquisitions, oligarques russes et… la fille de Brigitte dans la tempête ?! (Mais non, tout va bien, circulez, il n’y a rien à voir… si, si !). Par q.actus.infos le 29 mars 2025 Macronie en PLS : perquisitions, oligarques russes et… la fille de Brigitte dans la tempête ?! (Mais non, tout va bien, circulez, il n'y a rien à voir… si, si !). Publié le 29.3.2025 à 12h21 - Par Liam Anderson - Temps de lecture mn 1. "Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude"... sauf peut-être les amis du pouvoir ? Notre célèbre journal Mediapart, toujours prompt à dénicher les sujets qui brûlent... pour finalement nous servir un énième feuilleton judiciaire sans suite. Entre les révélations fracassantes et les jugements réels, il y a décidément un abîme... Les articles défilent, les scandales aussi, mais les condamnations ? Mystère et boule de gomme. Blanchiment d’argent, des perquisitions menées chez l’associé de Tiphaine Auzière, fille de Brigitte Macron. Une enquête judiciaire sur les montages financiers de l’oligarque Suleyman Kerimov, éclabousse l’avocat fiscaliste Frédéric Moréas. Ce dernier travaille depuis huit ans avec la belle-fille d’Emmanuel Macron. Suleyman Kerimov Cette fois, c'est le cabinet d'avocats où officie Tiphaine Auzière (oui, la fille de Brigitte, celle qu'on ne montre jamais... sauf quand ça coince) qui a reçu la visite des hommes en bleu. Perquisition surprise, comme par hasard, juste après la démission de Kohler et celle au ministère de l'Économie... Quelle étrange synchronicité ! France : BINGO ! Kohler lâche Macron : le fossoyeur de la France file à l’anglaise… avec une belle “pantoufle”, mais la justice l’attend au tournant. Une enquête sur l'oligarque russe Souleïman Kerimov a déclenché des perquisitions au ministère de l'Economie Surnommé le «Gatsby russe», le sulfureux milliardaire aurait acquis des propriétés de luxe sur la Côte d’Azur en utilisant des prête-noms ➡️ https://t.co/AL5TiDcN2o pic.twitter.com/juN7Sp1x4F — Le Parisien (@le_Parisien) March 28, 2025 🚨 AFFAIRE EXPLOSIVE : perquisitions pour blanchiment d’argent russe chez l’associé de Tiphaine Auzière, la fille de Brigitte Macron. Oui, vous avez bien lu. L’enquête cible les montages financiers d’un oligarque proche de Poutine : Suleyman Kerimov. Et devinez qui se retrouve… pic.twitter.com/zy3BO200zG — Planetes360 (@Planetes360) March 28, 2025 Le 28 mars au matin, des perquisitions ont été menées dans le cadre d’une enquête sur des montages financiers liés à l’oligarque russe Suleyman Kerimov, proche de Vladimir Poutine. Parmi les personnes visées : Frédéric Moréas, avocat fiscaliste et partenaire professionnel de Tiphaine Auzière, la fille de Brigitte Macron, depuis huit ans. Suivant Médiapart les magouilles financières des oligarques macronistes commencent à éclater… Rappel vidéo de notre cher souverain complètement blanc comme une oie... France : Macron : Pourquoi il joue les gros bras avec Poutine… mais rampe devant l’Algérie ? L’État français sous chantage ? France : Le “En même temps” de Macron : une arme de dissonance cognitive Décryptage par la psychologue Marion Saint Michel. Mais que cherchent-ils, au juste ? Le coffre-fort de Benalla ? (Déjà expédié à Dubaï avec les autres "souvenirs" de l'Élysée.) La preuve que Macron a un jour dit non à un oligarque ? (On peut rêver...) Ou simplement le reçu de la vente de la Villa Monéjan (Touquet) à l'ami russe Suleyman Kerimov pour la modique somme de 3,7 millions ? (Non, non, aucun lien bien sûr... juste une coïncidence de timing !) 2. "Tiphaine n’est pas concernée"… mais son associé, si ! (Comme par hasard.) Ah, Me Frédéric Moréas, l’avocat fiscaliste spécialiste des montages opaques, est dans le collimateur pour blanchiment d’argent russe. Mais rassurez-vous, Tiphaine "n’est pas mise en cause"… pour l’instant. (Petit rappel juridique pour les distraits : "Nemo auditur propriam turpitudinem allegans" = "Personne ne peut invoquer sa propre crapulerie". Traduction macroniste : "On est très très clean… mais si on l’était moins, on ne le dirait pas !") 3. Les juges se réveillent… avant de se rendormir ? Après les Sarkozy, les Macron ? Quelle surprise ! *(Enfin… si on oublie que *toujours* ça finit en "non-lieu" ou en "prescription".)* Mais cette fois, les magistrats semblent vouloir jouer les trouble-fêtes. Petite question : Combien vous pariez que ça finira en "pschitt" ? (10€ ? 100€ ? 3,7 millions ?) Conclusion : "La Macronie, un roman policier… dont tout le monde connaît déjà la fin : 👉 Personne ne sera condamné. 👉 Tout le monde s’en foutra. 👉 Et dans 6 mois, on parlera d’autre chose. Mais en attendant… savourez le spectacle ! (Et gardez le pop-corn, ça va peut-être durer… deux articles de presse.)" À diffuser largement… avant la prochaine "actualité" soigneusement balayée par l’Élysée. Affaire à suivre !
karim parle anglais ? https://fb.watch/yDwB2jzdIp/

EXCLUSIF - « L’UE n’a pas compris qu’elle a PERDU la guerre ! » - Piotr ...

vendredi 28 mars 2025

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Thaïlande : Tremblement de terre à Bangkok, un gratte-ciel s’est effondré. https://ci3.googleusercontent.com/meips/ADKq_NYPZL3K0GjhESjfDqPKx3nqgNV0DLGPAHG62NdK_zO4jmpnbCAkskiZI4PhJzf4xEiMg1bFGVwm89Rio2f9a8EkOsl2BRIRbtm9JFcnCVPGSubRFmUfbreI4N21TTP_OTV7d2I09t0ez_0aifk7yznz9EM=s0-d-e1-ft#https://qactus.fr/wp-content/uploads/2025/03/KMO_162543_61599_1_t249_111949-Moyenne.jpg?w=750
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jeudi 27 mars 2025

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1700 ans ! Concile de Nicée ......! 1700 ans qu’il n’y a rien à retoucher, à retrancher ou à rajouter à un texte qui se lit en deux minutes, qui se chante en cinq tous les dimanches et qui harmonise tous les articles de foi qu’un catholique, s’il veut être tel, doit professer. Rien que ça pourrait être la preuve que la religion catholique est bien la seule vraie religion. Notre Credo est issu du concile de Nicée qui se déroula en 325 et développé ensuite par celui de Constantinople en 381. Et Lectures Françaises ne pouvait pas laisser passer un tel anniversaire. Le professeur Jean-Baptiste Geffroy, que nous remercions bien chaleureusement, a dès lors convoqué un concile pour célébrer dignement cet événement. Le père Jean-Dominique, de l’ordre des prêcheurs, le père Damien-Marie, chartiste, de la Fraternité de la Transfiguration et Thomas Deswarte, médiéviste de l’université d’Angers, vous invitent à une immersion totale en vous plongeant au cœur de la crise arienne, tandis que le professeur Geffroy en tirera les conclusions et en déterminera les influences dans notre monde moderne. Tout au long de l’année 2025, nous publierons leurs travaux sous forme de dossier dans différents numéros pour que le concile de Nicée n’ait plus aucun secret pour vous ! 2025 exhume au 6 février un autre anniversaire, dont nous sommes peu fiers et qui cependant nous est cher : le 80e de la mort ignominieuse de Brasillach. D’autres l’ont commémoré avant nous et d’abjecte manière : en souillant, dans la nuit du 7 au 8, la terre de Charonne où il repose. «Un bon faf est un faf mort » ! N’eussent-ils pu, ces cuistres, montrer un peu de talent, trouver dans leur odieuse propagande quelques vers élégants à servir à l’enfant des Quatre Jeudis, à ce Virgile des temps modernes, à ce Chénier de l’épuration ? Et non bien sûr, mais comme toujours, de leurs caberlots ne sort que ce qu’il y a de plus vil, et de plus lâche, et de plus mesquin. Quelques jours avant, eux ou leurs semblables, trinquaient à la mort de Le Pen – qui, en passant, clamait de mémoire les plus beaux poèmes de Brasillach – dont ils profaneront aussi le tombeau quelques jours plus tard. N’ont-ils pas un Corneille à eux, un Corneille rouge, pour leur enseigner qu’à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ? Qu’à combattre les morts, on finit comme Sancho Panza à pas très bien savoir quoi faire devant un moulin à vent ? Concluons avec notre poète, et partageons sa souffrance et son espérance : Mon pays m’a fait mal par ses fosses creusées Par ses fusils levés à l’épaule des frères, Et par ceux qui comptaient dans leurs mains méprisées Le prix des reniements au plus juste salaire. Mon pays m’a fait mal par ses fables d’esclave, Par ses bourreaux d’hier et par ceux d’aujourd’hui, Mon pays m’a fait mal par le sang qui le lave, Mon pays me fait mal. Quand sera-t-il guéri ? Robert Brasillach, Poèmes de Fresnes, 18 novembre 1944 Mickaël SAVIGNY
1700 ans ! 1700 ans qu’il n’y a rien à retoucher, à retrancher ou à rajouter à un texte qui se lit en deux minutes, qui se chante en cinq tous les dimanches et qui harmonise tous les articles de foi qu’un catholique, s’il veut être tel, doit professer. Rien que ça pourrait être la preuve que la religion catholique est bien la seule vraie religion. Notre Credo est issu du concile de Nicée qui se déroula en 325 et développé ensuite par celui de Constantinople en 381. Et Lectures Françaises ne pouvait pas laisser passer un tel anniversaire. Le professeur Jean-Baptiste Geffroy, que nous remercions bien chaleureusement, a dès lors convoqué un concile pour célébrer dignement cet événement. Le père Jean-Dominique, de l’ordre des prêcheurs, le père Damien-Marie, chartiste, de la Fraternité de la Transfiguration et Thomas Deswarte, médiéviste de l’université d’Angers, vous invitent à une immersion totale en vous plongeant au cœur de la crise arienne, tandis que le professeur Geffroy en tirera les conclusions et en déterminera les influences dans notre monde moderne. Tout au long de l’année 2025, nous publierons leurs travaux sous forme de dossier dans différents numéros pour que le concile de Nicée n’ait plus aucun secret pour vous ! 2025 exhume au 6 février un autre anniversaire, dont nous sommes peu fiers et qui cependant nous est cher : le 80e de la mort ignominieuse de Brasillach. D’autres l’ont commémoré avant nous et d’abjecte manière : en souillant, dans la nuit du 7 au 8, la terre de Charonne où il repose. «Un bon faf est un faf mort » ! N’eussent-ils pu, ces cuistres, montrer un peu de talent, trouver dans leur odieuse propagande quelques vers élégants à servir à l’enfant des Quatre Jeudis, à ce Virgile des temps modernes, à ce Chénier de l’épuration ? Et non bien sûr, mais comme toujours, de leurs caberlots ne sort que ce qu’il y a de plus vil, et de plus lâche, et de plus mesquin. Quelques jours avant, eux ou leurs semblables, trinquaient à la mort de Le Pen – qui, en passant, clamait de mémoire les plus beaux poèmes de Brasillach – dont ils profaneront aussi le tombeau quelques jours plus tard. N’ont-ils pas un Corneille à eux, un Corneille rouge, pour leur enseigner qu’à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ? Qu’à combattre les morts, on finit comme Sancho Panza à pas très bien savoir quoi faire devant un moulin à vent ? Concluons avec notre poète, et partageons sa souffrance et son espérance : Mon pays m’a fait mal par ses fosses creusées Par ses fusils levés à l’épaule des frères, Et par ceux qui comptaient dans leurs mains méprisées Le prix des reniements au plus juste salaire. Mon pays m’a fait mal par ses fables d’esclave, Par ses bourreaux d’hier et par ceux d’aujourd’hui, Mon pays m’a fait mal par le sang qui le lave, Mon pays me fait mal. Quand sera-t-il guéri ? Robert Brasillach, Poèmes de Fresnes, 18 novembre 1944 Mickaël SAVIGNY
Colonel HOGARD et Xavier MOREAU: Ukraine : des militaires français désapprouvent Macron - Réseau International L’Europe abandonne l’idée d’envoyer des troupes en Ukraine selon Reuters https://reseauinternational.net/leurope-abandonne-lidee-denvoyer-des-troupes-en-ukraine-selon-reuters/.
Gold IRA Q&A: A Complete Guide to Precious Metals IRAs with JM Bullion https://youtu.be/4tW2l_riRKk?si=4looL5v5Y1rSCgCy via @YouTube
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🔥 Private Contact Info and Passwords of Trump’s Top Security Officials — Including Mike Waltz, Tulsi Gabbard, and Pete Hegseth — Reportedly Found Online via Hacked Data and Search Engines (🔥 Les coordonnées privées et les mots de passe des principaux responsables de la sécurité de Trump — dont Mike Waltz, Tulsi Gabbard et Pete Hegseth — auraient été trouvés en ligne via des données piratées et des moteurs de recherche)
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Le fabricant de composants électroniques Exxelia, qui fournit notamment l’avion Rafale, est passé sous le contrôle de l’entreprise américaine Heico. Le gouvernement a autorisé le rachat de 131 entreprises sensibles par des investisseurs étrangers en 2022 x.com/PCharniere/sta…
Communauté de communes : Personne n'est coupable Encore une justice dévoyée et incompétente ! La communauté d'agglomération du Gard Rhodanien verse 150 000 euros pour rien, ne se constitue pas partie civile et personne n'est poursuivi ! L’argent de la collectivité territoriale a bien été versé à l’association. Mais les travaux n’ont jamais été effectués. Et le prévenu à l’audience a été relaxé par le tribunal correctionnel ! Pourtant il a utilisé une partie de cet argent public pour payer des hôtels, restaurants, vacances et courses personnelles. Un procès en appel a été jugé ces derniers jours à Nîmes... Dans les faits, la communauté d'agglo du Gard Rhodanien avait au départ un projet numérique important à plusieurs millions d'euros. Au total 600 000 euros seront quand même budgétisés dont 150 000 euros attribués à une association sans véritable compétence dans le domaine informatique. Cette structure qui est dirigé par un seul homme qui se prétend ex-journaliste à l'audience de la cour d'appel, va recevoir à partir de 2016 trois versements d'argent public pour un total de 150 000 euros et alors qu'aucun travail n'a été effectué en réalité. En juin 2019, alors que les travaux commandés par l’agglomération n’ont jamais été réalisés, patatras… Une dénonciation au parquet de Nîmes évoque « un détournement d’argent public » de la part de l’association Interface 30 qui aurait reçu des subsides de la collectivité territoriale de Bagnols-sur-Cèze. Très rapidement, les enquêteurs vont donner du crédit à cette dénonciation, car dès le départ le projet a été dénoncé, avec notamment des voix qui contestaient le prestataire privé choisi pour réaliser le portail numérique. La chambre régionale des comptes va même enfoncer le clou en soulignant : « Suite à ces soupçons, la chambre régionale des comptes était alors saisie et concluait à l'absence de mise en concurrence sur les prestations informatiques, le manque de vigilance sur les risques d'une collaboration avec une association, une absence de contrôle du service, ainsi qu'une absence de contrôle des capacités financières et techniques du partenaire privé ». Mais la situation va encore s’envenimer en « grattant » sur cette association, véritable coquille vide selon les investigations réalisées par les gendarmes… « Il est mis en évidence que ce compte de l’association a été utilisé de mai 2012 (date de sa création) à décembre 2017 pour des dépenses de la vie courante. En effet, nous avons pu déterminer qu'environ 60 000 € sur les 100 000 € versés par la CAGR (communauté d’agglo) ont été dépensés en courses, hôtels, restaurants et achats divers et variés non liés à la création du site Internet pour lequel l'association était mandatée. Nous constatons également que les seules entrées d'argent sur ce compte sont les virements réalisés par la communauté d’agglomération », selon les investigations réalisées. Les enquêteurs ne trouveront aucun mouvement suspect permettant d’enrichir la trésorière de l’association. Mais par contre, l’argent allait sur le compte bancaire d’un homme, le président de l’association qui était lui sans emploi et qui vivait de prestations sociales. Cet individu, celui qui était « l’expert informatique » en charge des travaux, vivait au moment des faits dans un presbytère gardois et il n'avait aucun revenu. Personne n'a contrôlé ses "compétences" ! Comment une collectivité territoriale a-t-elle pu verser autant d'argent à ce charlatan ? C’est lui qui va être au cœur de l’enquête et de l’arnaque. Il a été renvoyé il y a quelques mois devant le tribunal correctionnel de Nîmes pour « abus de confiance » et « non-exécution de travaux ». Mais devant le tribunal correctionnel de Nîmes il a bénéficié d’une double relaxe ! Peut-être des amis parmi les magistrats ? Devant la cour d'appel il y a quelques semaines, et avec la décision tombée il y a quelques jours, la cour infirme le jugement et condamne le prévenu. Il est reconnu coupable d'abus de confiance au préjudice de l'association Interface 30 représentée aujourd'hui par son liquidateur judiciaire... Le prévenu doit payer 58 000 euros (sur les 150.000 empochés !) et il est sanctionné à hauteur de 6 mois de prison avec sursis. Par contre la communauté d'agglomération du Gard Rhodanien qui n'a pas fait appel du jugement de première instance (encore des amis ?) et qui n'était pas présente à l'audience d'appel ne récupérera pas un centime. Aucun fonctionnaire n'est mis en cause, aucune faute, aucune sanction. Le contribuable ne verra donc jamais le remboursement des 150 000 euros d'argent public dépensé pour rien. Et les incapables continueront de diriger la Communauté !
Ursula #VonDerLeyen vient de d’auto-augmenter de 2400 euros par mois, une énième fois, et touche maintenant 34 800 euros par mois ! 7è augmentation en 3 ans. Idem pour les 66 000 employés payés par l’UE. Commission, Parlement, BCE, Cour de justice.++ - Idem pour les 66 000 employés payés par l’UE. Commission, Parlement, BCE, Cour de justice. - C’est nous qui payons, surtout nous Français, contributeurs nets au budget européen ! - Au même moment l’UE nous réclame des milliards d’euros pour l’Ukraine ! Cette Union Européenne que nous avons refusé par référendum en 2005 mais que N.Sarkozy a retoqué pour nous l'imposer en le renommant "Traité de Lisbonne" nous a été imposé en 2007:
https://media.gettr.com/group8/getter/2025/03/27/10/d76e91a9-ac64-d812-042a-e135d98acb5b/81e613ca0fa2b57234e4c82a7539005c_768x0.png
The situation of Waqas Masih, who is still fighting for his life in the hospital, sadly embodies the fate of thousands of Pakistani Christians who live their faith in fear and constant danger. Refusing to renounce his Christian faith cost him dearly. In Sheikhupura, in Pakistan's Punjab, a 22-year-old worker was brutally stabbed by his superior for refusing to convert to Islam. This attack has revived the issue of the persecution of Christians in Pakistan. The tragedy occurred on Saturday, March 22, at the Subhan Paper Mills, where Waqas Masih worked under the supervision of Zohaib Iftikhar. During a private meeting, the latter violently stabbed the young Christian in the neck. According to the victim's family, who spoke to AEDE (Aid to the Church in Need), the attack was directly linked to Waqas's refusal to renounce his Christian faith despite relentless pressure from his superior. Waqas Masih's relatives report that Zohaib Iftikhar accused the young man of desecrating pages of the Quran found in the garbage. This accusation amounts to intimidation and sadly recalls the wave of blasphemy charges that regularly affect Christians in Pakistan. The attack was immediately classified as attempted murder by the local police, who arrested the assailant. Waqas Masih, seriously injured in the neck, was rushed to Mayo Hospital in Lahore, where he is receiving intensive medical care. Father Lazar Aslam, a Capuchin Franciscan priest in Pakistan, visited the injured young Christian and expressed his solidarity: “I prayed for his speedy recovery and for the well-being of his entire family. This attack is a stark reminder of the challenges facing religious minorities in Pakistan. We humbly call on the international community to pray for the victims and their families, and to raise awareness of the plight of marginalized communities in Pakistan, so that their voices may be heard and their rights protected.”
La situation de Waqas Masih, qui se bat encore pour sa vie à l’hôpital, incarne tristement le sort de milliers de chrétiens pakistanais qui vivent leur foi dans la peur et le danger constant. Refuser de renier sa foi chrétienne lui a coûté cher. À Sheikhupura, dans le Punjab pakistanais, un jeune ouvrier de 22 ans a été sauvagement poignardé par son supérieur pour avoir refusé de se convertir à l’islam. Une agression qui relance la question de la persécution des chrétiens au Pakistan. Le drame s’est produit samedi 22 mars dans l’enceinte de l’usine Subhan Paper Mills, où Waqas Masih travaillait sous la supervision de Zohaib Iftikhar. Lors d’une rencontre privée, ce dernier a poignardé violemment le jeune chrétien au niveau du cou. Selon la famille de la victime, qui s’est confiée à l’AEDE ( Aid to the Church in Need ), l’agression est directement liée au refus de Waqas de renier sa foi chrétienne malgré les pressions incessantes exercées par son supérieur. Les proches de Waqas Masih rapportent que Zohaib Iftikhar a accusé le jeune homme d’avoir profané des pages du Coran retrouvées dans les ordures. Une accusation qui relève de l’intimidation et qui rappelle tristement la vague d’inculpations pour blasphème qui frappe régulièrement les chrétiens au Pakistan.L’attaque a été immédiatement qualifiée de tentative de meurtre par la police locale, qui a procédé à l’arrestation de l’agresseur. Waqas Masih, grièvement blessé au cou, a été transporté d’urgence à l’hôpital Mayo de Lahore, où il reçoit des soins médicaux intensifs. Le Père Lazar Aslam, prêtre capucin franciscain au Pakistan, s’est rendu au chevet du jeune chrétien blessé et a témoigné de sa solidarité : « J’ai prié pour son rétablissement rapide et pour le bien-être de toute sa famille. Cette attaque est un rappel brutal des défis auxquels sont confrontées les minorités religieuses au Pakistan. Nous appelons humblement la communauté internationale à prier pour les victimes et leurs familles, ainsi qu’à sensibiliser sur la situation difficile des communautés marginalisées au Pakistan, afin que leurs voix soient entendues et que leurs droits soient protégés. »
"C’est Monseigneur Ulrich qui a accepté ma venue à Paris, j’ai donc de bonnes relations institutionnelles avec le diocèse, il n’y a eu aucune tension." Monseigneur Dominique Rey a accordé une interview exclusive à Tribune Chrétienne, où il a dévoilé son arrivée prochaine à Paris. Il exercera un ministère à Notre-Dame des Champs, dans le 14ème arrondissement. « J’exercerai un ministère à Notre-Dame des Champs à Paris dans le 14ème, tout est à composer, beaucoup d’écoute et d’accompagnement spirituel, mise en place de pèlerinages et tout ce qui concerne ma mission initiale, c’est-à-dire l’évangélisation », a-t-il déclaré. Monseigneur Rey a tenu à souligner que sa venue à Paris s’est faite en pleine collaboration avec le diocèse parisien : « J’ai de bonnes relations avec le diocèse de Paris, c’est moi qui ai demandé d’être à Paris sur cette paroisse, ils auraient très bien pu refuser… C’est Monseigneur Ulrich qui a accepté ma venue à Paris, j’ai donc de bonnes relations institutionnelles avec le diocèse, il n’y a eu aucune tension. » La présidence de la Conférence des Évêques de France : un fardeau lourd à porter Interrogé sur l’élection à la présidence de la Conférence des Évêques de France (CEF), Monseigneur Rey a exprimé sa préoccupation face aux responsabilités imposantes qui incombent à cette fonction : « Nous sommes dans une période difficile et délicate par rapport aux diverses orientations de la Conférence des Évêques de France. Mais la question principale est la disponibilité de l’évêque pour être président de la CEF. C’est très lourd d’assumer une charge épiscopale et une telle responsabilité au niveau national, avec toutes les missions que cela implique : coordination, gestion, relations avec le Saint-Siège à Rome… Cela suppose de nombreux déplacements. Il faut trouver quelqu’un qui accepte de porter cette charge et qui ait cette capacité de mobilisation sur un mandat de trois années reconductibles. » Sur les éventuels candidats pressentis, il s’est montré prudent : « Je ne peux pas me prononcer directement car je ne suis plus titulaire à ce poste, mais je pense qu’il faut quelqu’un qui ait une expérience de gestion d’un diocèse, une grande capacité relationnelle, un lien institutionnel avec les institutions publiques. ». Il a également souligné la reconnaissance par Rome des cardinaux Bustillo et Aveline et leur proximité avec le Pape François : « Ce sont des personnalités reconnues par Rome, à qui une mission a été confiée, mais cela repose aussi sur la disponibilité de la personne. » Un soutien total à la pétition de Tribune Chrétienne contre la vente des églises et contre les activités en tous genres Alors que la pétition lancée par Tribune Chrétienne approche les 20 000 signatures, Monseigneur Rey a exprimé son soutien sans réserve : « Je soutiens cette pétition et toute pétition qui va dans ce sens-là », a-t-il affirmé. « Tout ce qui peut favoriser le maintien de l’activité cultuelle doit être favorisé en lien avec l’église locale. Autrement, on pourrait faire appel à n’importe quelle secte ou autre. » Pour exemple , Monseigneur Rey a également évoqué le sort des lieux de culte aux Pays-Bas, où plus de 600 édifices historiques ont déjà été vendus, et a rappelé l’importance de « maintenir l’affectation cultuelle des églises » en France, même lorsque l’activité religieuse diminue. Il a suggéré des activités compatibles avec la sacralité des lieux, telles que des concerts de musique sacrée ou des visites patrimoniales qualifiées. Monseigneur Rey a également abordé la question des communautés traditionalistes ou plus conservatrices susceptibles d’animer des églises et s’y montre « favorable si cela se fait en plein accord avec Rome. » L’évéque a également évoqué les régions où les traditions culturelles sont encore vivantes, comme la Provence, la Corse, la Bretagne ou le pays basque : « Il faut savoir comment ces traditions peuvent aussi s’investir. La solution n’est pas uniquement cléricale, elle peut passer par des chrétiens engagés », a-t-il précisé, mentionnant les Bravades provençales, qui cultivent un lien spirituel à travers des chants et des musiques religieuses. Le pape François et la question de la renonciation Interrogé sur l’état de santé du pape François et la possibilité d’une renonciation, Monseigneur Rey a souligné son incapacité à se prononcer sans expertise médicale : « Je ne suis pas médecin, on voit que le Saint-Père est fatigué. Maintenant, va-t-il dire, compte tenu de ma fatigue, j’arrête, ou j’ai pris des dispositions dans l’organisation de ma vie avec certaines personnes qui m’entourent et j’ai la capacité de continuer ? On ne peut pas vraiment se prononcer sans être médecin et sans élément tangible. »Il a néanmoins ajouté que la force intérieure du pape semblait toujours présente : « Je crois qu’il a une certaine énergie, c’est clair. » Notons qu’en acceptant ce nouveau ministère à Paris, Monseigneur Rey témoigne d’une volonté de renouer avec l’évangélisation dans la capitale tout en exprimant son attachement à la préservation du patrimoine religieux et à l’unité des communautés chrétiennes, quelles que soient leurs sensibilités.
EXCLUSIF - Monseigneur Rey à Paris : un nouveau ministère à Notre-Dame des Champs "C’est Monseigneur Ulrich qui a accepté ma venue à Paris, j’ai donc de bonnes relations institutionnelles avec le diocèse, il n’y a eu aucune tension."
ETAT PIED-NOIR FEDERATION DES DEUX RIVES Nous remercions le Maire de Menton, Yves Juhel, pour l'organisation de cette cérémonie de Mémoire ainsi que Messieurs Alarcon et Dessenne, Présidents d'associations de Pieds-Noirs. Nous diffuserons à nos compatriotes tous les comptes-rendus des diverses manifestations qui nous sont adressés. Cher(e)s compatriotes 26 mars 1962 : le devoir de mémoire Publié le : 26 mars 2025 | Par : Ville de Menton #Associations / Clubs Services #Cérémonies / Hommages / CommémorationsLa cérémonie en mémoire des victimes de la fusillade de la rue d’Isly s’est déroulée le 26 mars à la stèle du Bastion, en présence d’élus, de Mentonnais et de porte-drapeaux. La commémoration a débuté par l’écoute d’un document sonore d’époque qui a permis de prendre la mesure de l’horreur vécue ce jour-là… La fusillade Jean-Claude Alarcon, président de la Maison des Pieds-noirs, des Harkis et de leurs amis (MPNHA) est revenu sur ce jour funeste : « Quelques jours après la signature des accords d’Evian, naît un espoir fragile pour la paix en Algérie. Mais pour les Français d’Algérie, ce sont l’incertitude et l’angoisse qui grandissent. Ce 26 mars, une manifestation pacifique est organisée à Alger, en soutien aux habitants du quartier de Bab El Oued, alors bouclé par l’armée française… Hommes, femmes et enfants demandent la levée du blocus… L’armée riposte en ouvrant le feu… Le bilan officiel fera état de 80 morts et 200 blessés. » Des plaies profondes « Ce drame a longtemps été porté sous silence, oublié, relégué dans les marges de l’histoire officielle. Il a laissé des plaies profondes dans la mémoire des familles des victimes et des Français d’Algérie, a poursuivi le président. Se souvenir, ce n’est pas raviver les blessures, c’est donner un sens. Ces vies ne doivent jamais être oubliées et cette tragédie doit être regardée en face par la nation entière. Il n’y a pas de paix sans reconnaissance de la vérité. Une plaie ne peut pas être cicatrisée quand on feint de nier son existence. » Ne pas oublier « Comme vous tous ici présents, je pense que l’on est glacé d’émotion lorsque l’on entend les premiers sons de cette dramatique fusillade. Je ne peux que partager à 100% la déclaration que vient de faire Jean-Claude Alarcon, a ensuite déclaré le maire, Yves Juhel. Ne pas oublier, c’est ce que nous faisons chaque année à Menton et que nous continuerons à faire d’autant plus que l’actualité nous rattrape, un peu, de manière différente mais nous rattrape. » Impensable de ne pas négocier… « Il n’est pas pensable que l’État français ne puisse pas négocier avec l’État algérien sur un certain nombre de points qui nous sont chers. C’est-à-dire quand des gens qui commettent des crimes et qui doivent quitter le territoire français, leur pays d’accueil doit les reprendre. Même s’il y a des problèmes, on en discute mais on ne prend de haut ces demandes en disant qu’il est hors de question d’en discuter et qu’à la place, on préfère emprisonner des écrivains et des littéraires comme c’est le cas actuellement. En ce qui me concerne, je rejoins le président de la MPNHA : les vérités, il faut les dire parce qu’aucune peine n’est possible si on ne dit pas la vérité. Et quand un État se veut un État de droit, il applique le droit. Et pour moi, aujourd’hui, ce n’est pas le cas. » Recueillement En conclusion de son allocution, Yves Juhel a avoué apporter son soutien « en tant que maire, particulièrement, aux positions du ministre de l’Intérieur. Les discussions doivent avoir lieu et si elles n’aboutissent pas, il doit y avoir des mesures de rétorsion pour qu’elles aboutissent. » Deux gerbes ont été déposées au pied de la stèle dont celle de la Ville par le maire. La gerbe de la MPNHA par son président et Henri Dessenne, présent lors de la fusillade. Le chant des Africains puis l’hymne national ont ensuite résonné, clôturant ainsi ce 63e douloureux anniversaire.

mercredi 26 mars 2025

Michel Maffesoli est né le 14 novembre 1944 à Graissessac (Hérault). Il est marié à Hélène Strohl. Il a 4 filles, Raphaële, Sarah-Marie, Emmanuelle et Gabrielle et 8 petits-enfants. Michel Maffesoli est né et a grandi dans un village minier du Sud de la France, où son grand-père et son père ont été mineurs de fond. Il y a toujours sa maison natale et de nombreux amis. Il a souvent souligné l’importance de cet ancrage populaire dans l’orientation de son œuvre et notamment la distinction essentielle qu’il fait entre pouvoir institué et puissance populaire. Il a fait ses études secondaires à Béziers (Lycée Henri IV) et Montpellier (Collège St Roch). Ses études ont été interrompues par un séjour de deux ans au sanatorium du Plateau d’Assy où il a approfondi son goût de la lecture et de la méditation. Après son baccalauréat de philosophie, il part à Lyon où il suit des cours à la faculté de théologie catholique (Baccalauréat de philosophie scholastique, 1967) et entame une licence de philosophie à l’Université. En 1967, il part continuer ses études à Strasbourg, pour se rapprocher de l’Allemagne dont il admire la philosophie, notamment Heidegger. Il suit des cours à la faculté de théologie protestante (baccalauréat de théologie protestante en 1969) et à la faculté de philosophie. (Licence de philosophie puis maitrise de philosophie et sociologie, avec Lucien Braun et Julien Freund, La Technique chez Marx et Heidegger.) C’est à Strasbourg qu’il rencontre sa femme, Hélène Strohl et noue des contacts avec les situationnistes. En Mai 68, il participe du courant d’ultra-gauche critique du léninisme inspiré par les expériences « conseillistes » allemandes. Après un court séjour à Lyon, il obtient un premier poste universitaire à Grenoble, comme assistant chercheur à l’Institut d’urbanisme. Il y fonde, avec Pierre Sansot l’Équipe de sociologie urbaine. (ESU) C’est à Grenoble qu’il rencontre Gilbert Durand sous la direction de qui il soutiendra ses deux thèses et qui l’initiera aux études sur l’imaginaire. (Gilbert Durand, Les Structures anthropologiques de l’imaginaire, 1968) Thèse de sociologie (troisième cycle) : L’histoire comme fait social total, 1973 ; Thèse d’État ès lettres et sciences humaines, La dynamique sociale, sous la direction de G. Durand, soutenance le 10 juin 1978. Jury : Julien Freund, Georges Balandier, Jean Duvignaud, Pierre Sansot. En 1978, il est nommé, grâce à Julien Freund, maître-assistant à l’Université de Strasbourg. Il y enseignera durant trois ans. Il succède à Julien Freund à l’institut de polémologie et dirige ses premières thèses. En 1981, Il est nommé professeur à la Sorbonne (Université René Descartes, Sorbonne-Sciences humaines). Il y aura pour collègues et amis, Georges Balandier, Louis-Vincent Thomas, André Akoun. En 2008, il est nommé membre Senior de l’Institut Universitaire de France. A sa retraite, en mars 2014 il a été nommé professeur émérite à la Sorbonne. Enseignement et encadrement d’étudiants. Il fera toute sa carrière dans la même université, y occupant la chaire d’Émile Durkheim. Il a animé un séminaire de maîtrise et de doctorat pendant toutes ces années, mais également dispensé des cours en premier cycle. Il a suivi plus de 120 doctorants, Français et étrangers : LISTE DES THÈSES : En 1982, il fonde, avec Georges Balandier le Centre d’Études sur l’Actuel et le Quotidien Petit laboratoire par le nombre de postes et le financement, le CEAQ a rayonné en France et dans le monde, accueillant de nombreux étudiants en master, doctorat et postdoctorat. Le CEAQ a été un laboratoire très actif : doctorants, anciens étudiants français et étrangers y débattaient des thèmes tels la socialité, les nouveaux modes de vie, la vie quotidienne, les nouvelles technologies, la musique, le corps en France et en Europe, au Brésil, au Mexique, en Corée etc. dans de nombreux groupes de recherche thématiques. Enfin beaucoup d’anciens docteurs de Maffesoli au CEAQ ont fondé des « CEAQ » à l’étranger, réseau international dont les membres restent toujours en contact. Directions Michel Maffesoli est fondateur et ancien directeur de Sociétés, revue internationale des sciences humaines et sociales, éd. DeBoeck, Louvain ; Président (fondateur avec Gilbert Durand) des Cahiers Européens de l’Imaginaire, CNRS Éditions, N° 1 à 10 : LISTE DES REVUES Il est Vice-Président de l’Institut International de Sociologie (II.S) ; Il est Membre élu de l’Academia Scientiarum et Artium Europaea ; Il est Membre du Jury du Prix Européen des Sciences Sociales (Premio Amalfi). Edgar Morin, Michel Maffesoli et Jean Baudrillard à Rio (Journal do Brazil) Activités internationales — Il a été Professeur invité et conférencier dans de nombreuses universités : Amsterdam, Athènes, Belo-Horizonte, Berlin, Beyrouth, Bologne, Brasilia, Bratislava, Brighton, Bruxelles, Bucarest, Cambridge, Campinas, Casablanca, Chicoutimi, Chicago, Columbia, Düsseldorf, Fez, Fortaleza, Freiburg /Brisgau, Genève, Helsinki, Joao Pessoa, Kyoto, Lausanne, Lima, Londrina, Los Angeles, Louvain, Madison, Marrakech, Mexico, Milan, Mineapolis, Montréal, Natal, Neuchâtel, New-York University, Harward, Oran, Ottawa, Palerme, Perugia, Porto Alegre, Prague, Puebla, Pusan, Quebec, Rabat, Recife, Rimouski, Rio de Janeiro, Rome, Salerno, Salonique, Santiago, San Diego, São-Paolo, Séoul, Sobral, Tokyo, Toronto, Trèves, Tunis, Vancouver. Distinctions • Légion d’honneur (chevalier). Mérite national (officier). Mérite agricole (chevalier) Arts et Lettres (Officier). Palmes Académiques (Chevalier) • lL est titulaire du Prix de l’Essai André Gautier. 1990 (Au Creux des Apparences) et du Grand Prix des Sciences Humaines de l’Académie française 1992 (La Transfiguration du Politique). • Il est Docteur Honoris Causa des Universités de Bucarest, de la PUC-Porto Alegre, de Braga, de l’UAEM-Mexico, de Canoas (Brésil), de Rio de Janeiro, de l’Unisinos de S. Leopoldo (Brésil). • En 2006, une chaire « Michel Maffesoli » a été créée à l’Université « De las Americas » à Puebla. Mexique.
France : Macron et Zelensky nous terrorisent avec Poutine… Mais un avertissement glaçant nous arrive de Russie : ‘Priez pour qu’il reste au pouvoir’.
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Et si l'arc-en-ciel, ce symbole de paix et d'harmonie, cachait une mécanique bien plus sombre ? Dans cet essai percutant et provocateur, Martin Peltier explore les coulisses d'un monde en mutation où idéologies et agendas mondiaux se croisent pour redéfinir nos sociétés. Avec pour guide la question simple de Péguy : que vois-je ? Derrière les grandes peurs, wokisme, islamo gauchisme, changement climatique, pandémies, et les grandes ambitions ("big reset"), l'auteur dévoile la cohérence insoupçonnée d'un système global aux accents orwelliens..https://static-assets-1.truthsocial.com/tmtg:prime-ts-assets/media_attachments/files/114/232/730/965/353/418/original/21aacc0c12ea372e.png
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RAOULT ....https://static-assets-1.truthsocial.com/tmtg:prime-ts-assets/media_attachments/files/114/230/876/339/991/009/original/316bb3ca78bdd972.png
Jérôme Viaud Grasse remporte le concours "Le Plus Grand Musée de France" ! La Ville de Grasse est fière d'annoncer sa victoire au concours "Le Plus Grand Musée de France", organisé par l'association La Sauvegarde de l'Art Français avec le soutien d’Eric MARTIN d'Allianz France. 🔹 Avec 63 % des suffrages (2 151 votes), notre projet de restauration des vantaux de la porte principale de la cathédrale Notre-Dame du Puy s'impose face à Valréas (27 %, 915 votes) et Bollène (10 %, 322 votes). Une mobilisation exceptionnelle pour le patrimoine grassois Grâce à l'enthousiasme et à la mobilisation des habitants, des amoureux du patrimoine et de tous les soutiens de la Ville, cette victoire permettra de réunir une aide de 8 000 € pour la restauration de cet ouvrage exceptionnel. ⁉️ Réalisée en 1721 par les ébénistes grassois Dechamps et Raybaud, cette porte monumentale en noyer massif témoigne d'un savoir-faire unique. Sculptée de motifs rococo, de putti, de rubans, de feuillages et d'objets liturgiques, elle représente un véritable joyau du patrimoine religieux de notre cité. Cependant, après plus de trois siècles d'exposition aux intempéries, elle présente des fissures et des fragilités menaçant son intégrité. 🔹 Un avenir assuré pour un chef-d'œuvre Cette victoire marque une étape décisive dans la préservation du patrimoine grassois. Grâce à cette aide, la Ville de Grasse pourra engager la restauration de cet élément emblématique et assurer sa transmission aux générations futures. Je tiens à remercier chaleureusement toutes celles et ceux qui ont participé à cette mobilisation et qui, par leur vote, ont contribué à la sauvegarde d'un trésor de notre histoire locale. Un immense merci au service Grasse, Ville d'Art et d'Histoire de Laurence Argueyrolles à Eric MARTIN d'Allianz France et à tous les votants pour leur soutien et leur engagement !
UKRAÏNE !Les " mercenaires" DCD ont les Têtes et mains coupées par les Kiéviens pour ne pas les identifier https://www.patreon.com/posts/des-corps-une-de-125195273?utm_medium=social&utm_source=twitter&utm_campaign=postshare_fan&utm_content=web_share
À qui profite le crime ? Objectivement, la CIA et l’industrie de l’armement ont été les grands gagnants de l’assassinat de JFK. Balle magique, mort de Kilgannen, changement d’itinéraire… On décrypte les zones d’ombre 80 000 doc's Déclassifiés https://youtu.be/7mel9Exo2wA?si=Gyy5vKddIExgoQ3G via @YouTube
Bruxelles : la Capitale de l'Europe qui s'effondre sous nos yeux Bruxelles est entrée dans une ère de Far West. Chacun ne compte que sur lui-même pour sa sécurité et a renoncé à s'en remettre aux « autorités » défaillantes. Photo : la police s'efforce de dégager une rue au milieu de violentes émeutes, le 27 novembre 2022, à Bruxelles, en Belgique. (Photo de Nicolas Maeterlinck/Belga/AFP via Getty Images) En 2016, le président Donald Trump avait comparé Bruxelles (Belgique) à un « enfer ». Ce parallèle avait suscité un certain émoi, sauf au sein d'une certaine « élite » de l'Union européenne qui a réagi avec ce mélange de mépris, d'ignorance et de déni de la réalité qui la caractérise. Trump avait tenu ces propos dans le cadre de discussions sur l'immigration et la sécurité, estimant que la situation à Bruxelles avait empiré au fil des ans, principalement en raison d'une submersion migratoire incontrôlée et sans règle qu'aucun dirigeant européiste ne reconnait. Déjà, à l'époque, les faits lui avaient donné raison. En 2025, la libanisation de Bruxelles apporte la preuve que ce jugement était visionnaire. Explosion de la criminalité Partout à Bruxelles, le taux de criminalité augmente, notamment dans la zone Bruxelles-Midi (Saint-Gilles, Forest, Anderlecht) ou les fusillades sont fréquentes. Entre 2022 et 2023, rapporte le journal L'Echo, les vols et extorsions ont augmenté de 23 %, les vols sans armes de 34 %, les vols à la tire de 27 % et les vols à main armée de 53 %. Cette zone abrite cinq des 15 « points chauds » du trafic de drogue de Bruxelles. Ces points chauds brûlent au point que même la police hésite à s'y rendre. La zone Bruxelles-Midi se caractérise – comment s'en étonner – par une grave pénurie de policiers. Un poste sur cinq demeure vacant tant le taux élevé de criminalité fait fuir les candidats. On ne parle pas ici de Mexico, mais de Bruxelles. En 2023, les fusillades entre gangs ont fait 7 morts et 131 blessés. « Peut-être se passe-t-il quelque chose à Bruxelles. Cette hypothèse n'est pas à exclure », a risqué le Parquet. Bruxelles est un grand centre urbain, attractif donc, mais disposant d'une structure policière sans efficacité apparente. C'est la seule ville au monde qui dispose de six corps de police et d'une police fédérale, ce qui n'est pas un gage de bonne gestion. La dispersion des moyens a rendu la sécurité coûteuse » – et inexistante. Les criminologues comme Vincent Seron, de l'Université de Liège, et Dieter Burssens, de l'Institut national de criminalistique, expliquent que pour décrire la criminalité qui règne à Bruxelles, les chiffres ne suffisent pas. Il est essentiel de prendre en compte le « chiffre noir » de la criminalité affirment-ils : « Le concept de « chiffre noir » signifie que les délits enregistrés par la police ne représentent pas fidèlement la criminalité sur le terrain. Les statistiques policières, par définition, ne comptabilisent que les infractions portées à la connaissance de la police. Or, la police ne peut pas être partout, être témoin de tout et donc n'enregistre pas tous les délits. » Par ailleurs, toutes les victimes ne portent pas plainte, nombre d'entre elles estimant que « cela ne sert à rien » compte de l'impunité générale qui règne à Bruxelles. Bruxelles est devenu un Far West où le chacun pour soi est devenu la règle. La population tente de se protéger du mieux qu'elle peut et a renoncé à faire appel à des « autorités » défaillantes. Faillite La situation financière de Bruxelles est également alarmante. La dette publique de la Région de Bruxelles-Capitale est passée en six ans de 3,4 milliards d'euros en 2018 à 14,5 milliards d'euros en 2024. En 2024, les recettes du gouvernement régional s'élevaient à 5,69 milliards d'euros, tandis que les dépenses atteignaient 6,99 milliards d'euros, soit un déficit de plus de 20 %. De plus, entre 2017 et 2022, les dépenses du gouvernement régional ont augmenté de 17,4 %, dépassant de loin la hausse des recettes. Avec un taux de croissance annuel moyen de 8,83 %, la dette brute consolidée devrait augmenter de plus de 8 milliards d'euros, passant de 14,5 milliards d'euros en 2024 à environ 22 milliards en 2029. Cette augmentation constitue un défi majeur, susceptible de générer un « effet boule de neige », exacerbé par une éventuelle hausse des taux d'intérêt. Pour parler crûment, la Région de Bruxelles-Capitale est en faillite. Au cours de la dernière législature, les frais de personnel de la Région de Bruxelles-Capitale ont augmenté de près de 50%, passant de 1,2 milliard d'euros à 1,8 milliard d'euros. Ces données ne sont pas disponibles auprès de l'Institut bruxellois de statistique et d'analyse. C'est le libéral flamand Frédéric De Gucht, président de l'Open VLD Brussels, qui les a discrètement rendues publiques. « Au cours des cinq dernières années », a-t-il déclaré au quotidien De Standaard, « le nombre de fonctionnaires à Bruxelles a augmenté de près de 34% » comme dans le reste de l'Europe. Le cas de la STIB, l'opérateur local de transport public à Bruxelles est particulièrement révélateur, explique Lode Goukens, doctorant à l'Université libre de Bruxelles. Sous l'impulsion de Groen et d'Ecolo, deux partis écologistes d'extrême gauche membres du gouvernement régional bruxellois, le nombre de collaborateurs de la STIB est passé de 8.798 en 2018 à 10.407 fin 2023. Dans le même temps, le nombre de voyageurs a diminué. Pour Frédéric De Gucht, candidat à la présidence du parti libéral flamand Open VLD, une telle situation rend caduque le statut de Bruxelles comme « entité souveraine ». La Région de Bruxelles-Capitale devra compter sur le parrainage du gouvernement fédéral pour assurer son financement. « Quelqu'un d'autre devra co-signer nos emprunts avec nous », a-t-il admis. Inéluctablement, le gouvernement régional sera placé sous la tutelle du gouvernement fédéral, lui-même soumis à une forte pression en raison de son endettement. Tsunami migratoire permanent En 2024, sur 40.000 demandes d'asile au total, la Belgique a reçu plus de 3.200 demandes émanant de Palestiniens – soit la moitié de toutes les demandes d'asile palestiniennes de l'Union européenne –. La secrétaire d'État à l'Asile et à la Migration, Nicole de Moor, qualifie cette situation de « ni normale ni tenable ». Beaucoup de ces demandeurs ont déjà obtenu l'asile dans un autre pays, en Grèce le plus souvent, ce qui pose problème. Pourquoi préfèrent-ils la Belgique ? Selon les chiffres cités par la députée Darya Safai, le Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides (CGRA) accorde l'asile à 9 demandeurs sur 10. Comment s'étonner que le CGRA se voit reprocher de pratiquer une « reconnaissance collective » sans réelle évaluation du danger encouru par chaque demandeur dans son propre pays ? Nicole de Moor a rejeté ces accusations en bloc, mais a admis que le nombre de demandeurs d'asile palestiniens posait problème, surtout parce qu'ils avaient déjà été admis ailleurs en Europe. Tous réclament de venir en Belgique en raison de garanties sans équivalent en Europe. La secrétaire d'Etat « espère » que le Pacte sur la migration et l'asile de l'UE aidera à répartir ces demandes entre les pays membres de l'UE. Répartir les problèmes c'est une solution ? Blocage politique Depuis les élections du 9 juin 2024, la Région de Bruxelles-Capitale est pointée du doigt en raison de son incapacité à former un gouvernement en état de marche. Sans entrer dans les détails du tissu institutionnel belge, la mise en place d'un gouvernement à Bruxelles suppose qu'une majorité émerge dans les deux groupes linguistiques – francophone et néerlandophone – du Parlement régional de Bruxelles-Capitale. Or, ces deux groupes ne s'entendent pas entre eux, et ni l'un ni l'autre ne réussit à dégager une majorité en son sein. Le rôle joué par les islamistes à Bruxelles, mérite également d'être mentionné. Ils agissent soit par l'intermédiaire d'un parti politique qui leur est propre, soit par « entrisme » dans les partis de gauche et d'extrême gauche. Depuis l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, ces islamistes ont normalisé dans les rues et les médias de Bruxelles un discours décomplexé de haine des juifs qui ne se donne même plus le prétexte de « la lutte contre le sionisme ». Quand sur un plateau de LN24, la chaîne de télévision bruxelloise, Vinz Kanté, éditorialiste, qualifie « le peuple élu » (les juifs) de raciste et de xénophobe, seuls les réseaux sociaux réagissent. Ce commentateur haineux lui, est maintenu à l'antenne. Ca ne vous rappelle rien ? La capitale de l'Union européenne s'effondre sous nos yeux et le fait d'avoir maintenant dans tous les gouvernements des socialos, des communistes, des musulmans et ....beaucoup de femmes extrémistes n'arrange rien. Il faut vite tout changer, et tant pis pour l'état de droit (dévoyé) et la soi-disant égalité républicaine !