vendredi 5 septembre 2025

Attention, sueurs froides Choses vues en France ces dernières 72 heures : A Martigues, un professeur de mathématiques a poignardé à deux reprises l’un de ses collègues dans la salle des profs du lycée. L’infirmière scolaire a prodigué les premiers soins à la victime tandis que les enseignants sur place ont immobilisé l’agresseur. Son discernement serait aboli d’après l’expertise psychiatre réalisée. Mais ses problèmes étaient vraisemblablement connus puisqu'il était “en rupture de traitement psychiatrique selon plusieurs sources”.Sa victime se porte heureusement bien, mais imaginez si cela s’était produit avec des élèves… A Rodez, un Malien de 22 ans, arrivé en France en 2019, a agressé sexuellement à deux reprises une éducatrice dans un foyer d’hébergement. Lors de son procès cette semaine, la procureur a requis une peine de 20 mois de prison et une Interdiction du Territoire Français de 10 ans. Des réquisitions satisfaisantes me direz-vous, sauf que la juge l’a finalement condamné à 10 mois de prison, une amende de 1000 euros, à une interdiction d’entrer en contact avec la victime. Une réprimande en guise de sanction aurait probablement le même effet… A Bagneux, à côté de Paris, Adrien, 45 ans, a été frappé à mort à coups de barre fer… D’après les premiers éléments de l’enquête, il semblerait que la victime ait reproché à Samba, 39 ans, de parler trop fort sous ses fenêtres. Glaçant. A Orange, dans le quartier de Fourchevieilles, une distribution de fournitures scolaires a été interdite par arrêté préfectoral. Pourquoi ? Parce que cette action “humanitaire” était organisée par les tenants d’un réseau de trafic de drogue. Les recrues des réseaux sont de plus en plus jeunes, certains guetteurs (ceux qui font le guet pour prévenir en criant si les policiers arrivent) sont à l’école primaire… A Marseille, enfin, un homme délogé d’un hôtel par son gérant pour impayés, a blessé 5 personnes avec un couteau. Alors qu’il s’en prenait ensuite aux policiers, il a été abattu par les forces de l’ordre. Son profil : 35 ans, tunisien, connu par le renseignement territorial comme non radicalisé mais nécessitant un suivi psychiatrique. Son ex-femme s’est livrée à la presse, il été accro au cannabis, à la cocaïne et violent. Il aurait notamment, d’après elle, agressé son neveu qu’il soupçonnait d’être homosexuel. Les officiels tunisiens pourraient être consternés d’apprendre que l’un de leurs ressortissants a causé tant de troubles (5 victimes poignardées tout de même) en France, mais c’est tout l’inverse ! Voici le communiqué lunaire du ministère des affaires étrangères tunisien : « La Tunisie considère cet incident comme un meurtre injustifié, et attend de la partie française toute la rigueur et la célérité nécessaires dans l’enquête ainsi que dans la détermination des responsabilités. La Tunisie envisage également d’entreprendre toutes les démarches afin de préserver les droits du défunt et de sa famille et de leur rendre justice ». Mais de qui se moque-t-on ? Ce communiqué en dit long. Il dit noir sur blanc que la France n’est plus ni respectée ni redoutée. Notre pays, serait-il devenu à la fois une poubelle et un paillasson ? Nous redeviendrons forts en remettant de l’ordre, de l’autorité et de la cohérence dans tous les postes régaliens. Et la Justice en priorité. Car nous courons à la catastrophe. Je suis désolée de vous l’écrire de façon si brutale, mais nous nous battons contre quelque chose qui nous dépasse. Les réseaux tentaculaires des trafiquants de drogue prospèrent aussi vite que l’ultraviolence, même les pays étrangers se rendent compte de la faiblesse de notre Etat. Vous lisez mes mails, je sais que vous avez conscience de la situation et que tout cela vous préoccupe. Nous avons aujourd’hui besoin que TOUS les Français ouvrent les yeux. Trop de dirigeants s’en prennent à ceux qui montrent la réalité. Eric Dupond-Moretti accuse ouvertement la chaîne CNews d’être à l’origine de la violence. C’en est presque risible. Non, ceux qui dénoncent ne sont pas responsables de l’insécurité, ils sont juste plus clairvoyants. Nous en faisons partie. Alors s’il vous plaît, partagez ce message à tous vos proches, et surtout ceux qui ne veulent pas voir l’ensauvagement de notre pays. Nous sommes tous concernés. Bien sincèrement, Axelle Theillier Présidente de l'Institut pour la Justice

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