vendredi 31 janvier 2025

Souveraineté ou complicité ? L’énigme du cartel du président Sheinbaum et l’indifférence du Mexique face à la crise du fentanyl aux États-Unis Depuis son entrée en fonction en 2025, le président Trump a déclaré la guerre aux cartels mexicains, les reconnaissant comme des organisations terroristes étrangères (FTO) et exposant leur rôle direct dans le trafic de drogue, le trafic d’êtres humains et les meurtres de masse. Cette désignation étend l’autorité des États-Unis pour saisir des biens, lancer des opérations militaires et imposer des sanctions paralysantes contre ces narcoterroristes et leurs facilitateurs, y compris les responsables mexicains corrompus. Pourtant, le président Sheinbaum résiste, revendiquant la « souveraineté ». Mais la souveraineté du Mexique a été perdue au profit des cartels il y a longtemps. Ces criminels possèdent des villes entières, financent des élections, corrompent des juges et surpassent vos militaires. La seule souveraineté que vous défendez est la leur. Fentanyl, migration de masse et profits du Mexique Le fentanyl provoqué par les cartels tue plus d’Américains que les accidents de voiture, mais Sheinbaum se plaint de l’intervention des États-Unis au lieu de lutter contre le poison qui traverse ses frontières. Son inaction est une complicité, et la corruption de son gouvernement fait du Mexique une partie du problème, et non de la solution. Trump a renforcé la sécurité aux frontières, déployé des moyens militaires et augmenté les expulsions, traitant la migration de masse comme une guerre financée par les cartels contre l’Amérique. Chaque caravane est une vache à lait de cartel, où les migrants paient des frais d’extorsion pour y passer, pour ensuite être marqués, réduits en esclavage ou victimes de la traite. Le gouvernement mexicain le permet parce qu’il en profite. Un gouvernement qui est le cartel La ligne de démarcation entre le gouvernement mexicain et les cartels est inexistante. Les cartels ne se contentent pas d’infiltrer la politique, ils font de la politique. Ils financent des campagnes, placent des loyalistes à des postes clés et contrôlent les forces de l’ordre. Les fonctionnaires corrompus détournent le regard pendant que les cartels font le trafic d’armes, de drogues et de personnes à travers notre frontière. Il ne s’agit pas seulement d’une activité criminelle, c’est d’un gouvernement de l’ombre qui contrôle l’économie mexicaine et dicte sa politique par le biais de pots-de-vin et de violence. Lorsque les responsables les contestent, ils sont réduits au silence. La main de la Chine dans la crise Le rôle de la Chine dans cette dévastation ne peut être ignoré. Le fentanyl qui inonde les rues américaines provient de fournisseurs chinois, qui expédient des produits chimiques précurseurs aux cartels mexicains pour une production de masse. Alors que Sheinbaum s’oppose à l’intervention américaine, son gouvernement renforce les liens commerciaux avec la Chine, donnant aux cartels plus de ressources, plus de protection et plus de poids mondial. La coopération du Mexique avec le PCC renforce l’empire des cartels, ce qui en fait une menace pour la sécurité internationale. Une chose est claire : l’Amérique mettra fin à cette crise des cartels, avec ou sans la permission du Mexique. 1. Travaillez avec nous – laissez les services de renseignement et l’armée américains démanteler ces réseaux et couper le financement des cartels. 2. Mettez-vous en travers de notre chemin, et le Mexique sera traité comme un régime hostile protégeant les terroristes. Les États-Unis ne permettront pas à cette guerre de se poursuivre sans contrôle. Si le Mexique n’agit pas, l’Amérique le fera, par tous les moyens nécessaires. C’est vous qui décidez, Madame la Présidente. Renard de vérité

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