Face à l'Algérie, ne baissons plus la tête ! Chers amis, chers compagnons, Depuis trop longtemps, la France baisse la tête face à l’Algérie. Un État-voyou qui humilie notre pays, méprise nos institutions et refuse de récupérer ses délinquants et criminels, tout en réclamant toujours plus de privilèges. Pendant que Boualem Sansal, immense écrivain français, croupit dans les geôles du régime algérien, que ce pays insulte nos mémoires et défie nos lois, le gouvernement de François Bayrou et Bruno Retailleau accorde des visas aux "récitateurs algériens du Coran" à l’occasion du Ramadan. Un symbole indécent d’une soumission que nous ne tolérerons plus. Nous devons rompre avec cette complaisance coupable. Je demande des mesures radicales : Le gel immédiat des visas algériens : plus aucune visa tant que l’Algérie refusera de reprendre ses clandestins. L’arrêt des transferts financiers vers l’Algérie, qui profite d’un système injuste au détriment des Français. La saisie des biens des dirigeants algériens en France, qui, tout en profitant des largesses de notre pays, se sont enrichis en pillant leur propre peuple. Nous devons cesser d’être les complices passifs d’un régime autoritaire qui nous insulte et nous défie. Mais qu’attend Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, pour agir ? Sa stratégie du mégaphone ne suffit pas : il faut des actes, pas des mots. Les Français en ont assez des déclarations d’intention aussitôt contredites. Bruno Retailleau affirme vouloir abroger les accords franco-algériens de 1968, mais Emmanuel Macron l’a déjà désavoué, précisant que rien ne serait fait en ce sens. Pendant ce temps, certains journalistes se livrent à des comparaisons ignobles. Jean-Michel Aphatie a osé assimiler la présence française en Algérie au nazisme ! Une insulte abjecte à notre Histoire et à nos morts. J’appelle l’ARCOM à se saisir de ces propos inacceptables. La France n’a pas à subir les diktats d’un régime hostile. Il est temps d’en finir avec cette lâcheté d’État et d’imposer une rupture nette avec l’Algérie et sa dictature militaire. Engagez-vous aux côtés de l'Union des droites pour la République afin de défendre la souveraineté et l’honneur de la France ! Adhérez ou renouvelez votre adhésion si vous ne l'avez pas encore fait, soutenez-nous par un don. Nous avons besoin de toutes les forces vives de notre pays pour enfin imposer l'alternance dans l'Union ! Avec sincérité et détermination, Éric Ciotti Président de l’Union des Droites pour la République (UDR)