Les auteurs de l'étude de l'IHU ont été menacés de sanctions en public par Mr Braun,ministre de la santé,au sénat,sans procés,sans défense!!! Sous le pretexte que le soin qui a sauvé tant de gens (dont on ne veut pas parler) aurait été un essai et non du soin de qualité. Les seuls cobayes sont ceux qui ont été les vaccinés, par un essai illegal du fait de l' absence de consentement sans contrainte. Les soignés et gueris n'ont pas été des cobayes mais des chanceux! Je n'ai pas peur, la verité circule et circulera, comptez sur moi!
Tous les auteurs (dont moi) du preprint qui fait si peur en montrant que l'on pouvait soigner,ont décidé ,par solidarité avec le Pr Lagier menacé par la direction, de retirer le preprint pour ne pas laisser croire à une trahison de sa part et pour protéger les plus jeunes. DIDIER RAOULT
Petit rappel à tous ceux qui nous saoulent avec les terribles expériences de l'IHU (une simple observation de 30 000 patients soignés), une vraie expérience utilisant des humains comme cobayes a bien eu lieu . Il s'agit de l'injection de l' ARN de la protéine spike avec TROIS INSERTS DU VIH , de subtypes différents. Les vaccinés ont ils donné un consentement livre et éclairé pour se faire injecter trois inserts du VIH?
Le 17 avril 2020, sur Cnews, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du virus responsable du sida, confirmait sa déclaration que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine.
Ce virus aurait été fabriqué en laboratoire à partir du virus du sida (VIH). « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH ».
Attaqué dans les médias et décrié par la communauté scientifique, Luc Montagnier et Jean-Claude Perez, docteur en mathématiques, présentent leurs conclusions qui confirment les déclarations initiales :
Il existe des bases communes et convergentes qui permettent de conclure à l’inclusion de parties d’origine étrangères dans le génome du coronavirus. Il existe aujourd’hui des technologies permettant de réaliser cette manipulation dénommée CRISPR/ARN.
L’analogie suivante permet d’illustrer cette conclusion : imaginons un puzzle principal « coronavirus » de 30 000 pièces et après plusieurs autres puzzles de 9000 pièces chacun que nous appellerons VIH 1, VIH 2 et SIV(rétrovirus proche du VIH-2 dont la cible est le singe). La preuve mathématique démontrée, peut être illustrée de la manière suivante : dans le puzzle de 30 000 pièces, à un endroit précis se trouvent trois pièces contiguës (côte à côte) issue chacune de l’un des trois autres puzzles. La probabilité que ce résultat soit naturel est nulle
Joseph Tritto est microchirurgien, expert en biotechnologie et nanotechnologie et président de la WABT (Académie mondiale des sciences et technologies biomédicales). « La chimère qui a changé le monde », est destiné à provoquer un débat mondial, car l’ouvrage montre, avec des preuves scientifiques, que le coronavirusSARS-Cov-2responsable de la Covid-19 était le résultat d’une ingénierie de laboratoire
« Dans plusieurs publications, par exemple dans l’étude des chercheurs de l’Indian Institute of Technology de New Dehli basée sur les génomes des patients, recueillis dans des bases de données mondiales, il est démontré que le SARS -CoV-2 n’est pas seulement un hybride entre le virus de la chauve-souris et le virus du pangolin. Mais, à l’intérieur, il y a de petits inserts de résidus d’acides aminés du virus VIH-1, responsable du sida. La présence de ces inserts dans un virus développé dans la nature ne pourrait jamais se produire. Et, ce n’est pas tout. Le génome du SARS -CoV-2 présente une autre modification sur ce qu’on appelle le furin intracellulaire, comme le confirment deux études, l’une Chinoise, l’autre franco-canadienne. Les deux inserts ont une fonction spécifique : l’insert VIH-1 permet au SARS-Cov-2 de s’ancrer à la cellule humaine et de pénétrer dans la cellule. Il est donc vraisemblablement responsable de la forte infectivité du virus. La modification du site de clivage furinique permet au virus de se multiplier dans la cellule et le rend hautement pathogène ».
"L'infection par le VIH conduit à la destruction progressive des lymphocytes T CD4+ entraînant une immunodéficience et le SIDA. La sélectivité de la destruction des cellules CD4+ est due à la liaison spécifique de la gp120, la glycoprotéine de l'enveloppe externe du VIH, aux CD4"
Quant à l'insert GAG du #VIH, il code pour les petits ailerons, permettant une hyper-affinité aux récepteurs ACE2 des cellules. Selon
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