mardi 17 décembre 2024
Plainte contre X devant M. ou Mme le Doyen des juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris 13 12 2024. (Selon que le présent blog a obtenu copie. Reproduction partielle).
Aux motifs de :
1. Usurpation d’identité.
2. Crime de faux par représentant de l’État.
3. Usage de faux.
4. Atteinte sexuelle et viol sur mineur par
personne ayant autorité.
5. Mariage illégal.
6. Usurpation de fonctions.
7. Escroquerie au jugement.
8. Crime d’atteinte aux intérêts
fondamentaux de la nation.
1. En substance
Un homme, né le 11 février 1945 à Amiens, aujourd’hui âgé de 79 ans, du nom de Jean-Michel Trogneux, usurpe depuis le milieu des années 1980 l’identité de sa plus jeune sœur Brigitte Trogneux, née le 13 avril 1953 à Amiens et aujourd’hui disparue depuis 1960 et ce en se présentant lui-même comme femme.
Cet homme dispose depuis plusieurs décennies de documents officiels d’identité, qu’il utilise et qui lui ont été fournis par des dépositaires de l’autorité publique ayant ainsi commis des faux criminels.
En septembre 1992, alors qu’il exerce le métier de professeur de français dans un collège-lycée d’Amiens, cet homme, se présentant comme femme en se faisant appeler Brigitte Trogneux, alors âgé de 47 ans, rencontre le jeune Emmanuel Macron, né le 21 décembre 1977 à Amiens et entame une relation de couple avec lui, alors que celui-ci n’est âgé que de 14 ans. Ce fait constitue une atteinte sexuelle et un viol sur mineur, par un adulte ayant autorité et plus de cinq ans de différence d’âge. Ni les agents de l’État ni les autres adultes ayant connaissance de cette situation ne la
dénonceront aux autorités compétentes comme la loi leur en fait obligation.
En 2007, M. Jean-Michel Trogneux contracte officiellement mariage avec M. Emmanuel Macron, alors même que le mariage entre deux personnes du même sexe n’est autorisé par la loi que depuis 2013. Ce mariage est donc illégal, nul et non avenu.
Depuis cette date, M. Jean-Michel Trogneux se présente comme « Brigitte Trogneux, épouse Macron » et bientôt, depuis 2017, comme l’épouse du Président de la République française, ce qui constitue formellement une usurpation de fonctions punie par la loi. Il déclare demeurer au Palais de l’Élysée, 55 rue du faubourg Saint-Honoré, 75008 PARIS.
En juin puis septembre 2024, M. Jean-Michel Trogneux se fait représenter devant la 17e chambre correctionnelle du Tribunal Judiciaire de Paris sous la double identité de Jean-Michel Trogneux et de Brigitte Macron, aux fins d’obtenir des dommages et intérêts des prévenues qu’il a poursuivies en diffamation. Ce fait constitue une escroquerie au jugement.
Cette affaire d’usurpation d’identité, faux et usage de faux, corruption de mineur, mariage illégal puis usurpation de fonctions et escroquerie au jugement est désormais connue par les autorités étatiques de la plupart des pays de la planète. Ce dossier offre ainsi à plusieurs États qui y ont intérêt le moyen d’exercer un chantage et d’imposer pressions et exigences économiques et politiques à l’État français, qui portent gravement atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation et met en cause la vie même de sa population.
Les citoyens et électeurs français sont victimes directes de cet ensemble de tromperies, crimes et délits tout particulièrement depuis 2017, lorsque M. Emmanuel Macron, que l’on considèrera comme victime de l’emprise psychologique de M. Jean-Michel Trogneux par abus de faiblesse, est élu Président de la République française.
La partie civile qui porte plainte aujourd’hui est citoyen français et électeur et fait donc partie des victimes de cette affaire.
Cette partie civile, membre d’associations politiques et citoyennes, entend représenter tous les citoyens et électeurs français qui se considèrent victimes de cette tromperie sur les qualités réelles d’une personne s’étant présentée comme candidat aux élections présidentielles de 2017 et de 2022.
En effet, M. Emmanuel Macron, actuel Président de la République, a mené ses campagnes électorales avec l’entier et très visible soutien médiatique de M. Jean-Michel Trogneux se présentant comme Brigitte Macron, alors même que celui-ci se présentait sous une fausse identité et qu’il trompait les électeurs sur son statut marital et son histoire de vie.
Au vu de ce qui précède, M. Christian Cotten déclare déposer plainte avec constitution de partie civile devant Mme ou M. le Doyen des juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, pour préjudices moral et matériel, au regard des atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation et de sa population et de l’ensemble des tromperies qui mettent formellement en cause jusqu’à la légalité des opérations électorales présidentielles de 2017 et 2022.
Au regard de l’intérêt public majeur que constitue la nécessite absolue de faire toute la lumière sur cette affaire délictuelle et criminelle par la mise en œuvre d’une instruction contradictoire approfondie, il est expressément demandé une dispense de toute consignation, au regard des faibles revenus de la partie civile (trois avis d’imposition ci-joints pour 2024, 2023, 2022, pièce n° 17).
De: Francis GOUMAIN
Objet: Fin de partie pour Jean-Michel ? Plainte devant le Tribunal de Paris
Date: 16 décembre 2024
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